« Notre société est née en 2003, animée par une passion pour le liège, un matériau isolant éco-responsable. »
Hélène Dicharry
Voici une entreprise de six collaborateurs passionnés : Hélène, Yannick, Céline, David, Sébastien et Lola.
Ensemble, ils mettent en avant des produits sains et écologiques dont l’utilisation est très variée dans le neuf ou la rénovation : isolation des toits, murs intérieurs ou extérieurs (avec ou sans enduits de finition), planchers, plafonds et mise en oeuvre de dalles chaux/liège.
Le liège : un isolant ultra-performant
Sa structure en cellules remplies d’air lui permet de retenir la chaleur en hiver et de limiter la surchauffe en été ; expansé que l’on fournit jusqu’à une épaisseur de 200mm est idéal pour l’isolation thermique ;
Ses grands points forts : imputrescible il résiste à l’humidité ; durable, il ne se détériore pas, reste intact et stable en conservant ses propriétés isolantes pendant plusieurs décennies.
Il est aussi l’un des meilleurs isolant phonique, grâce à sa structure alvéolaire il absorbe sons et vibrations.
Le liège expansé est obtenu en chauffant du liège brut à la vapeur de 300°C : les particules de liège gonflent, piègent de l’air et s’agglomèrent avec leur propre sève. Conductivité thermique A=0,040W/m.K
Le liège : un isolant sain et respectueux de l’environnement
Sans aucun liant chimique, il est 100% naturel. Contrairement aux isolants synthétiques, il ne dégage aucun composé organique volatil (COV).
Le liège est issu de l’écorce du chêne-liège, récoltée sans abattre ni blesser l’arbre. Tout au long de sa croissance, cet arbre absorbe du CO2, contribuant ainsi à réduire son empreinte carbone.
Entièrement biodégradable et recyclable, le liège est l’un des isolants les plus écologiques du marché.
Le liège : Côté DÉCORATION et BOUCHONS
Revêtements de sol : dalles à coller, et parquets à clipser.
Dalles murales et plafonds : élégants, acoustiques et thermiques.
Bouchons : pour vins tranquilles, effervescents et spiritueux
Notre équipe vous attend dans son Show Room où vous découvrirez l’Univers du Liège
475 rue du Pays d’Orthe – Saint GEOURS DE Maremne 05 58 47 67 67 – www.ameduliege.com
Nous concevons des écosystèmes régénératifs qui favorisent la nourriture, l’eau et la vie florissante pour vous et votre communauté
En tant que conceptrice en permaculture design, Eléonore vise à reconnecter les gens avec la nature, en favorisant l’abondance et l’harmonie tout en exploitant leur plein potentiel en tant qu’êtres humains.
Elle a conçu, géré et installé des projets de permaculture partout dans le monde, éduquant et conseillant les propriétaires fonciers, les communautés, les entreprises et les centres de villégiature sur les pratiques de vie durables, englobant la production de nourriture, l’eau et les ressources énergétiques. Ceux-ci incluent les forêts nourricières, les systèmes agroforestiers, la gestion régénérative de l’eau, la restauration des écosystèmes, l’intégration des animaux et bien plus encore.
Diplômée en ingénierie de l’efficacité énergétique et en gestion d’affaires internationales, elle aborde le domaine régénératif avec un œil scientifique et innovant. Elle continue d’apprendre auprès de mentors tels que Geoff Lawton, Veda Austin et toutes les personnes avec qui elle travaille.
L’éducation est un pilier de sa démarche. Elle s’engage auprès d’entreprises, d’écoles et de plateformes en ligne, partageant ses connaissances sur les principes, le style de vie et les techniques de la permaculture.
Au fil de ses voyages, Eléonore a appris des techniques inestimables auprès des communautés locales qu’elle applique et adapte à ses projets selon les besoins.
Eléonore a fondé et gère aujourd’hui le réseau mondial Architects of Life, elle opère en tant que consultante dans les climats tempérés, méditerranéens et tropicaux.
Qu’il pleuve, qu’il vente… Ou que le soleil tape trop fort : vous voulez profiter de votre terrasse, et ce, quelles que soient les conditions météo ? Modulable et esthétique, une pergola bioclimatique pourrait vous aider à tirer parti de cet espace extérieur au fil des saisons.
Une adaptabilité hors pair
Lorsqu’on bénéficie d’un espace extérieur, on veut pouvoir l’apprécier au fil des quatre saisons, et ce, plus encore depuis les épisodes de confinement sanitaire.
À l’instar des pergolas classiques, la pergola bioclimatique protège ainsi du soleil, du vent et de la pluie. Mais cette structure modulable a un sérieux atout en plus puisqu’elle s’adapte aux conditions météorologiques grâce à ses lames inclinables, qui permettent également de réguler la température.
Avec la bonne inclinaison, vous profiterez alors de légères brises lorsqu’il fait trop chaud, tandis qu’en hiver, une structure fixée contre la maison laissera entrer les rayons du soleil à l’intérieur.
Et par temps pluvieux, il vous suffira de refermer ses lames pour que l’eau de pluie s’écoule par les gouttières prévues à cet effet ! Attention néanmoins à ne pas négliger l’étanchéité du mur auquel elle est adossée.
La pergola bioclimatique offre en outre une alternative économique à la construction d’une véranda, notamment dans les régions méridionales où il peut vite y faire trop chaud.
Un abri personnalisable
Adossée à la maison, une pergola bioclimatique peut tout à fait faire office d’entrée informelle, offrant un espace intermédiaire entre l’intérieur et l’extérieur.
On peut sinon l’imaginer comme un recoin abrité au cœur du jardin en choisissant un modèle autoportant qui sera ancré dans le sol grâce à quatre poteaux ou plus, selon les dimensions souhaitées.
Côté matériaux, l’aluminium brille par sa résistance, sa facilité d’entretien et son aspect moderne, quand le bois, légèrement plus onéreux, donne plutôt dans le registre du naturel et de l’authenticité.
De nombreux fabricants proposent également des options de personnalisation poussées : éclairage LED, couleurs, dimensions ou encore système automatisé avec capteurs de vent et de pluie, les finitions choisies achèveront de créer un abri sur mesure.
Certains modèles sont aussi équipés de lames rétractables pour une ouverture totale, idéale pour les beaux jours, tandis qu’en région pluvieuse, on envisagera davantage un abri pourvu de vitres, fixes ou amovibles.
Si votre structure est motorisée ou comprend des luminaires, n’oubliez pas de prévoir le raccord à l’électricité, ou mieux encore, pensez aux panneaux solaires pour une pergola autonome !
Installation : le guide pratique
Bien que certains modèles soient vendus en kit, l’installation d’une telle structure requiert souvent le concours d’un professionnel, la mise en place du système de lames mécaniques demandant un bon coup de main. Ce qui va inévitablement faire monter son prix : comptez environ 15 000 € pour une surface de 25 m² et un modèle basique.
Si la pergola bioclimatique reste un abri haut de gamme, elle permet de réaliser des économies en matière de climatisation et de chauffage lorsqu’elle est conçue en prolongement de la maison. Elle nécessite cependant un terrain plat et stabilisé, donc des travaux en amont si tel n’est pas le cas de votre jardin.
Côté formalités, cette pergola adaptable demande les mêmes types de précautions juridiques que sa version classique : prenez connaissance du plan local d’urbanisme (PLU) pour connaître ses éventuelles restrictions et renseignez-vous auprès de votre mairie pour savoir s’il faut demander un permis de construire ou effectuer une déclaration préalable de travaux.
Entre des prix de l’énergie élevés et une conscience environnementale croissante, les Français sont de plus en plus nombreux à miser sur les panneaux photovoltaïques pour faire baisser leur facture d’électricité.
L’objectif : autoconsommer au maximum leur production.
Gratuite et illimitée, l’énergie issue du soleil est synonyme de solution d’avenir. Et les Français l’ont bien compris puisque le nombre de sites photovoltaïques grimpe en flèche depuis plusieurs années !
Au 30 septembre 2024, le ministère de la Transition écologique dénombrait 611 107 installations de moins de 3 kWc (la puissance la plus courante pour les logements individuels) raccordées au réseau, sachant que 30 587 étaient en file d’attente.
Or, si la tendance était auparavant à la revente d’électricité, c’est désormais l’autoconsommation qui motive les projets (56,4 % de la totalité des installations).
Un phénomène en plein essor qui souffre néanmoins de freins financiers importants.
Plébiscite unanime
Particuliers, associations et agences environnementales publiques, tout le monde reconnaît les avantages de la technologie photovoltaïque qui permet de produire de l’électricité à partir de la lumière du soleil.
En mai 2024, une étude Odoxa révélait que 9 Français sur 10 avaient une opinion positive du solaire, tandis que 59 % étaient favorables à l’installation de panneaux photovoltaïques.
Utilisant une ressource renouvelable, cette solution est en effet rentable puisqu’elle permet de contrer la volatilité des prix de l’électricité et de réaliser des économies.
Ainsi, sur l’année 2024, « le coût de production du solaire photovoltaïque d’une installation de 3 à 9 kWc était de l’ordre de 13 à 19 centimes d’euros par kWh, alors que le prix du kWh acheté via une offre de fourniture classique avoisine aujourd’hui 25 c€/kWh », comme l’a rappelé l’Agence de la transition écologique (Ademe) dans un avis du 29 janvier 2025. Le gain économique est clair !
Transformation des usages
L’association UFC-Que Choisir a elle aussi mis en avant ce gain financier en sondant 1 556 lecteurs ayant opté pour des panneaux photovoltaïques.
D’après cette enquête publiée le 7 janvier 2025, les foyers qui se sont équipés avant 2015 l’ont essentiellement fait pour revendre l’électricité produite avec un tarif bloqué à plus de 60 centimes d’euros le kWh pendant 20 ans. De quoi permettre de « dégager des revenus importants de l’ordre de 1 200 € par an ».
La revente totale n’est toutefois plus intéressante en raison de tarifs de rachat dérisoires (0,10 € le kWc pour une installation de moins de 3 kWh fin 2024).
Face à la flambée des prix de l’électricité, c’est alors l’autoconsommation qui s’est développée pour devenir le modèle dominant.
« Les particuliers qui se sont équipés entre 2019 et 2022 disent économiser 500 € par an en moyenne sur leur facture, grâce à l’autoconsommation, et dégager 200 € de revenus via la vente de surplus. Un gain de 700 € au total », explique l’étude d’UFC-Que Choisir.
Si le tarif de rachat est ici plus avantageux (0,13 € pour une installation de moins de 9 kWc fin 2024), l’objectif est donc surtout de combler ses besoins électriques grâce à sa production photovoltaïque afin de réduire au maximum sa facture d’énergie.
Le coût d’installation toujours bloquant
Mais encore faut-il pouvoir s’offrir cette solution ! Car si les progrès de cette technologie (plus puissante pour moins de panneaux) et sa démocratisation ont permis une baisse de prix, elle reste très onéreuse. Pour une puissance de 3 kWc installée par un professionnel en surimposition sur la toiture (technique la plus courante), il faut compter 10 500 € en moyenne selon l’étude d’UFC-Que Choisir, soit une quinzaine d’années pour la rentabiliser… Afin de s’équiper à moindres frais, on peut sinon se tourner vers des solutions à poser soi-même au sol, en façade ou sur un toit plat grâce aux kits solaires « plug and play ». Mais gare aux déceptions car plus l’installation sera réduite, moins les économies seront importantes.
Dès lors, 91 % des personnes interrogées par Odoxa jugent l’installation de panneaux photovoltaïques trop chère et 88 % souhaitent un renforcement des aides de l’État.
Un sentiment confirmé en décembre 2024 par un sondage OpinionWay pour Monabee, dans lequel 81 % des participants veulent que cet équipement bénéficie des mêmes aides que la rénovation énergétique. En effet, contrairement à un système de chauffage solaire, les panneaux photovoltaïques ne sont éligibles ni à MaPrimeRénov’ ni aux primes énergie.
À moins d’un coup de pouce régional, il faut se contenter d’un taux de TVA réduit à 10 % pour une installation de 3 kWc posée par un professionnel labellisé RGE, d’une prime à l’autoconsommation versée par EDF un an après la mise en service (660 € pour une puissance de 3 kWc fin 2024) et de l’obligation de rachat pour le surplus de votre production.
Aménager un abri de jardin pour en faire une extension de son habitation permet d’allier praticité, confort et ouverture vers l’extérieur. Voici quelques idées et conseils pour vous aider à vous lancer !
Vous avez besoin de mètres carrés supplémentaires ?
Prolongez la maison en transformant un abri extérieur en un espace de vie ! Bureau, atelier, chambre d’ami ou encore salle de jeu, plusieurs possibilités s’offrent à vous.
Un traditionnel chalet en bois, une cabane au style insolite et bohème, un mini-studio au look contemporain, il y en a pour tous les goûts.
Mais avant toute chose, rappelons que cette surface indépendante habitable est soumise à une réglementation précise. Pour connaître vos possibilités d’aménagement, consultez le plan local d’urbanisme (PLU) de votre commune.
Si l’abri de jardin ne dépasse pas 20 m², une déclaration de travaux suffit en principe. Au-delà, il faut faire une demande de permis de construire.
Et si vous possédez déjà un abri de jardin, que vous comptez rénover et aménager, vous devez également déclarer ce changement d’affectation en mairie.
1/ Une chambre supplémentaire
Vous manquez d’espace pour héberger des proches de passage ? Pourquoi ne pas aménager une chambre supplémentaire dans un abri extérieur ?
Vos invités bénéficieront d’un endroit bien à eux, idéal pour préserver un peu d’intimité. Ce lieu un peu à part du foyer principal peut également être une réponse aux envies d’indépendance et de liberté d’un adolescent.
De la chambre basique, simplement dotée d’un ou plusieurs couchages et de quelques meubles, à la suite type studio tout confort équipé d’une salle d’eau et d’un coin cuisine, votre abri peut devenir un véritable petit chalet cocooning et être adapté, selon sa taille et votre budget, à vos besoins.
Et si cet espace nuit supplémentaire s’avère souvent inoccupé, pourquoi ne pas le louer ? Afin de compléter leurs revenus, de plus en plus de propriétaires optent en effet pour la location, de façon périodique, à la saison, au séjour ou à la nuit.
2/ Un espace de travail fonctionnel
Solution intéressante pour celles et ceux qui font du télétravail ou du freelance, le bureau de jardin permet d’avoir un espace à soi, à l’écart du bruit et de l’agitation de la maison, et de bien séparer le temps dédié à l’activité professionnelle et la vie privée.
Pour cette fonction, une surface comprise entre 10 et 20 m² est généralement suffisante. Afin qu’il soit à la fois pratique et confortable, cet espace de travail doit être pourvu de fenêtres suffisamment grandes pour être lumineux et comporter au minimum un bureau et une assise, ainsi que des rangements fonctionnels.
Vous pouvez même envisager de créer un coin cuisine, voire un salon, bienvenus pour les petites pauses ou si vous êtes amené à recevoir ponctuellement des collaborateurs ou des clients.
Cet abri peut également être utilisé en tant qu’atelier. Peinture, poterie, couture ou encore bricolage ou mécanique, les activités manuelles nécessitent généralement un peu d’espace et de matériel devant être stocké dans un endroit protégé et sûr.
3/ Une salle de loisirs
Vous rêvez d’un petit local destiné à vos loisirs ? Transformez un abri extérieur en salle de jeux confortable pour les petits et grands enfants, un studio de répétition musicale, où trônera votre collection d’instruments, un atelier d’artiste, idéal pour laisser libre cours à votre créativité, ou une salle de sport réservée à vos séances d’entraînement. De la même façon, il peut être emménagé en un coin détente, grâce à quelques fauteuils, tapis et du mobilier adéquat, pour lire, méditer ou encore, pourquoi pas, accueillir un mini-spa grâce à quelques aménagements supplémentaires !
Conseils pratiques
Tout d’abord, ne négligez pas la préparation de la surface qui accueillera votre abri : pour accueillir des plots ou une dalle de béton, celle-ci doit être dure et stable.
Les chalets dits « habitables » sont le plus souvent construits en bois. Ce matériau solide résiste aux intempéries et isole bien s’il est correctement traité.
Pour une isolation efficace, optez plutôt pour un modèle doté de doubles parois, d’au moins 44 mm d’épaisseur, et d’un plancher d’au moins 20 mm.
Certains abris sont vendus déjà isolés, ou en partie, mais d’autres nécessitent une isolation par vos soins, grâce à un isolant dense, comme de la laine minérale (roche, verre…) ou de la fibre de bois.
Le toit doit aussi être parfaitement étanche, et vous pouvez ajouter à la couche de bitume incluse un revêtement supplémentaire. Pour les fenêtres et les portes, privilégiez les grandes ouvertures, qui assurent une meilleure aération, et du double vitrage.
Si vous envisagez d’installer des toilettes, une salle de bains ou une cuisine, réfléchissez en amont à la question du raccordement à l’eau et à l’électricité.
Le plus simple est d’utiliser les réseaux de votre maison, en prévoyant des passages au sein de la dalle de béton avant de la couler.
Enfin, n’oubliez pas l’accès à internet, indispensable pour un bureau !
Déclinable à l’envi, de toutes tailles et adapté à tous les styles, le tapis outdoor floute les frontières entre l’intérieur et l’extérieur. C’est l’accessoire déco pas cher qui séduit tous les aficionados de déco dès l’arrivée des beaux jours !
Voilà plusieurs années maintenant qu’il est de tous les jardins et balcons dès que les premiers rayons de soleil estivaux pointent le bout de leur nez.
Le tapis d’extérieur est en effet désormais un « must-have » en déco ! Coloré, graphique, à franges ou tressé, en thermoplastique traité anti-UV ou en fibres naturelles, il valorise le mobilier et structure l’espace pour un coût dérisoire.
L’accessoire qui fait la différence
Il suffit parfois d’un petit rien pour épater la galerie ! Le tapis outdoor est l’accessoire idéal pour métamorphoser sa terrasse, son balcon ou son patio.
Il habille non seulement votre extérieur mais permet également de le structurer visuellement, en séparant le coin détente de l’espace repas par exemple. Il fait aussi son petit effet autour d’une piscine, glissé sous un transat.
Fabriqués la plupart du temps en fibres synthétiques (notamment en polypropylène), les tapis d’extérieur résistent très bien aux aléas de la météo, ainsi qu’à l’humidité et aux moisissures, ce qui n’est pas forcément le cas des fibres naturelles qui absorbent l’eau.
Conçus pour ne pas se décolorer, ils conservent donc leur couleur malgré l’exposition solaire et sont en outre résistants aux taches. Le tout pour une somme très modique puisque l’on trouve sans mal de nombreux modèles de qualité à partir d’une vingtaine d’euros.
Pour tous les styles
Côté look, le tapis d’extérieur répond à toutes les envies. Il habille aussi bien les terrasses faites de bois ou de pierre, sans oublier le carré de pelouse et le béton.
Colorés, à rayures, avec des motifs géométriques et graphiques, façon carreaux de ciment ou « tie & dye », mais aussi à franges ou à pompons pour les plus fantaisistes, les tapis outdoor se déclinent dans tous les styles du moment : scandinave, bohème, brut et tropical.
On n’hésite donc pas à jouer sur les textures (jute, raphia, thermoplastique, coton…) et les coloris pour personnaliser son extérieur, en prenant soin d’accorder son tapis avec les autres accessoires, tels que les coussins, les bougeoirs ou le petit mobilier.
Bref, le tapis de jardin permet de transformer son coin de verdure en un espace déco à part entière !
Tour à tour chaleureux, fonctionnel et design, l’éclairage extérieur est un élément de décoration à part entière qui contribue à rendre votre jardin accessible et agréable tout au long de l’année. Autant de raisons de bien le soigner !
Avoir un bout de verdure rien qu’à soi fait rêver bon nombre de foyers ! Mais si vous avez la chance de profiter de votre petit jardin d’Éden personnel, encore faut-il l’aménager de façon judicieuse pour qu’il se transforme en véritable paradis où l’on a plaisir à s’alanguir et à recevoir ses proches.
Et justement, les luminaires font partie des équipements indispensables pour parfaire l’ambiance. Voici quelques pistes pour éclairer votre lanterne !
Pleins feux sur les chemins d’accès
Trop souvent négligé, l’éclairage technique doit pourtant être votre priorité ! Pour évoluer dans votre jardin sans vous soucier de l’heure, il faut en effet pouvoir circuler sans risquer un accident.
S’il est nécessaire de laisser une partie de votre terrain dans le noir pour ne pas déranger la petite faune sauvage et les nombreux insectes nocturnes, les allées, escaliers et autres chemins délimités par des bordures susceptibles de vous faire trébucher doivent donc être correctement éclairés.
Ciblez notamment les voies stratégiques qui mènent à la maison, au garage, à la terrasse, à la piscine, etc.
On conseillera ici de privilégier des sources de lumière en partie basse pour attirer le regard vers les obstacles, du type bornes et potelets. De nombreux modèles à éclairage LED ou solaire à planter ou à fixer au sol permettent de répondre à toutes les envies et contraintes techniques.
Afin d’apporter des points de repère aux visiteurs, tout en valorisant la façade, il est également judicieux de disposer des appliques aux points d’entrée de votre habitation, en veillant alors à les harmoniser avec le design de vos ouvertures.
Une ambiance chaleureuse
Pour que les festivités en famille ou entre amis puissent se poursuivre une fois la nuit tombée, il est essentiel de bien éclairer les zones extérieures que vous comptez dédier à vos moments de convivialité.
On pense évidemment à la terrasse, mais cela peut aussi concerner la plage entourant la piscine ou un adorable kiosque au fond du jardin dans lequel vous aimez vous réunir pour des sessions de musique endiablées !
Dans cette optique, il va falloir concilier efficacité et ambiance chaleureuse.
C’est pourquoi il est judicieux de mixer et multiplier les sources d’éclairage.
Suspensions, guirlandes lumineuses mais aussi lampadaires s’invitent ainsi désormais en extérieur pour distiller une atmosphère cocooning, féerique ou joyeuse en misant sur une lumière plus chaude, tirant sur le jaune voire l’orangé, et en imitant les codes de la décoration d’intérieur.
Les finitions métallisées ou en bois sont alors reines afin d’insuffler du style. Et pour parfaire le décor, misez sur des lanternes et autres lampes à poser portatives, en version LED ou solaire, qui apportent un charme fou en diffusant une lumière tamisée.
Accessoire pratique et agréable pour profiter encore plus de sa terrasse ou de son jardin, le brasero créé une ambiance à la fois chaleureuse et conviviale. Zoom.
Avec les beaux jours arrive l’envie de passer de plus en plus de temps dehors. Mais parfois, les températures sont encore un peu fraîches. Installer un brasero permet de faire durer le plaisir des soirées en plein air, tout en créant un espace confortable pour accueillir famille et amis.
Cet équipement prend en effet la forme d’un grand bol ou de bassin en métal dans lequel on fait brûler un feu de bois afin de se réchauffer et pourquoi pas de cuisiner ! Il en existe de différents types, des plus simples aux plus design, capables de s’adapter à votre extérieur comme à vos besoins. Tour d’horizon.
Chauffage et barbecue, le deux en un
Si vous voulez vous réunir autour d’un feu de bois pour profiter de cette expérience authentique dans votre jardin, vous avez l’embarras du choix !
Les fabricants font aujourd’hui preuve de créativité et proposent de nombreux types de braseros. Notez également que plusieurs types de combustibles permettent d’alimenter votre feu : le bois, le charbon de bois, le gaz ou le bioéthanol, sans oublier les versions électriques.
Le format classique de brasero se présente sous la forme d’une coupe ou d’une coupelle à demi fermée ou découverte. Très courant et de petite hauteur pour mieux diffuser la chaleur, il est posé directement sur le sol, un support en pierre ou un petit trépied.
Tendance, le brasero ajouré en forme de panier rond, carré ou ovale ajoute un joli effet lumineux. Il existe même des cheminées d’extérieur, idéales pour les soirées fraîches, voire les nuits d’hiver, et les grands jardins.
Mais ce n’est pas tout ! Car le brasero moderne a su évoluer pour permettre également de cuisiner. Très populaire pour son design et sa praticité, le brasero plancha réchauffe l’extérieur et s’utilise aussi comme un appareil de cuisine. Sa surface de cuisson circulaire fait en effet office de barbecue et de plancha, sur lesquels on peut faire griller ou réchauffer de bons petits plats.
Citons aussi la populaire cheminée mexicaine, souvent fabriquée en argile ou en terre cuite, qui se présente comme une sorte de grande jarre ouverte à l’avant pouvant servir de four, et d’une cheminée à l’arrière.
Quel matériau choisir ?
Le choix du matériau se fait en fonction du budget et du degré de solidité voulu. Si vous êtes à la recherche d’un brasero peu onéreux, l’acier, qui est aussi léger et donc facile à transporter, est une bonne solution. Peint ou émaillé, on trouve des modèles dans de nombreuses formes et tailles, à partir d’une trentaine d’euros.
Néanmoins, le plus répandu est sans doute le brasero en fonte. Robuste et durable, ce matériau résiste à de très hautes températures, stocke la chaleur et présente un rapport qualité/prix intéressant puisqu’on peut généralement en trouver à partir de 80 €.
De plus en plus plébiscité, le brasero en corten (acier rouillé naturellement) séduit par sa haute résistance ainsi que son aspect brut et sa belle couleur brun orangée, due à l’oxydation. Cette patine de rouille protectrice évolue avec le temps et résiste durablement à la corrosion.
Les prix des modèles peuvent ici facilement grimper pour des versions haut de gamme. Enfin, n’oublions pas les braseros en terre cuite, rustiques et respectueux de l’environnement, en pierre ou encore fabriqués dans un mélange de bois et de métal.
Conseils d’installation
Le choix d’un brasero dépend également de l’espace disponible sur votre terrain. En effet, il faut que vous puissiez circuler facilement autour de l’appareil et, dans l’idéal, que vous ayez la place d’installer des sièges.
Pour une petite terrasse, le mieux est d’opter pour un modèle compact et léger, comme un brasero électrique ou un brasero mexicain, qui occupe surtout de la place à la verticale. Si vous avez un vaste jardin, vous pouvez vous permettre un format plus grand, comme un foyer à gaz ou un barbecue de type kamado, une sorte de réchaud japonais traditionnel utilisant du bois ou du charbon de bois.
D’autre part, la sécurité est essentielle. Renseignez-vous sur la réglementation locale au sein des espaces résidentiels car certaines communes imposent des restrictions spécifiques, et évitez les zones à risque d’incendie. Respectez une distance de quelques mètres avec les bâtiments, les structures environnantes et les éléments pouvant s’enflammer facilement (meubles, végétation…).
Choisissez un emplacement abrité du vent, pour éviter que celui-ci attise les flammes ou ne propage des étincelles. Si les sols en dur (béton, pierre, carrelage) sont les plus sécurisés pour l’usage d’un brasero, il convient de prendre quelques précautions avec les revêtements en bois ou le gazon, sur lesquels vous pouvez installer une dalle isolante ou une plaque de protection en métal. Garder un extincteur à proximité peut aussi être judicieux.
Votre maison dispose d’un toit plat et vous aimeriez y créer un rooftop ? Comme on vous comprend… Cela dit, vivre haut perché ne s’improvise pas ! L’aménagement d’un toit terrasse demande quelques précautions tant sur le plan pratique que légal.
Qu’il s’agisse d’y siroter un cocktail en regardant le coucher de soleil ou de profiter d’un potager bien exposé, un toit plat gagne à être pensé comme une extension à part entière de votre habitation. Si cet espace extérieur s’avère d’autant plus appréciable en ville ou dans les maisons de village sans jardin attenant, son aménagement ne doit pas être pris à la légère !
Avant de vous lancer, faites impérativement appel à un professionnel pour vérifier l’étanchéité et la solidité de votre toit. Son verdict est positif ? Des exigences légales aux conseils pratiques, suivez le guide pour sublimer votre terrasse.
Des prérequis légaux
L’aménagement du toit d’une maison ou d’une extension nécessite une autorisation d’urbanisme. A minima, une déclaration préalable de travaux sera en effet exigée. Mais, en fonction de votre projet (dimensions, surélévation, etc.), il faudra peut-être en passer par un permis de construire.
Renseignez-vous auprès de votre mairie et consulter le plan local d’urbanisme (PLU) pour connaître les dispositions locales. Tenir compte de son voisinage est également bienvenu : assurez-vous que cet aménagement ne lui cause pas de tort, en termes d’ombre, de vis-à-vis ou de nuisances sonores, et qu’il respecte les règles de distance par rapport à vos limites de propriété.
Contraintes techniques et pratiques
Une fois ces obligations légales satisfaites, certaines règles pratiques doivent être respectées. Étape cruciale pour assurer votre sécurité, là-haut sur la terrasse : l’installation d’un garde-corps, dont la hauteur doit être au minimum comprise entre 1 m et 1m10, conçus en bois, verre, métal, béton ou brique. Pour plus de discrétion, ces installations pourront être dissimulées avec des canisses ou des jardinières étoffées.
La répartition des charges se fera suivant la solidité de votre toit. Faites-vous pour cela accompagner d’un professionnel qui vous conseillera sur les revêtements les plus appropriés pour votre projet, en fonction de l’étanchéité et de la capacité portante de la toiture. Selon ce qu’il vous indique, votre terrasse pourrait même abriter une véranda pour profiter du panorama à l’année, ou, comble du luxe, un jacuzzi !
Gardez aussi à l’esprit que cet espace sera constamment exposé aux intempéries. Il sera donc judicieux de choisir un mobilier étanche et résistant aux UV. Et plus haute la terrasse, plus proche le soleil ! Si la perspective peut faire rêver les citadins, n’oubliez pas d’aménager des zones ombragées, grâce à des parasols ou des installations en dur selon la faisabilité.
Un rooftop sur mesure
Place aux réjouissances : l’aménagement d’un nouvel espace de vie qui vous ressemble. Vous rêvez d’un salon en plein air et de dîner à la belle étoile ? Installez un coin lounge et un barbecue, voire plusieurs plans de travail contre vos garde-corps. Une solution pratique pour préparer le repas si votre cuisine se trouve plusieurs étages au-dessous !
Si vous avez plutôt la main verte, profitez d’un toit végétalisé, en pensant toutefois à l’abriter un minimum du vent. Et pourquoi pas mêler jardinage, détente, sport et tout ce qui vous chante si vous bénéficiez d’une grande surface à aménager ? Dans ce cas, le cloisonnement à l’aide de claustras ou de plantes imposantes aidera à délimiter des espaces dédiés. Au sol, on peut également ajouter des tapis pour un style folk ou bohème et du mobilier cosy (coussins épais, poufs).
Enfin, ne négligez pas l’éclairage ! Les guirlandes hautes en couleur sont tout indiquées pour créer une ambiance conviviale façon guinguette, de même que les spots encastrés aux tons chauds pour éclairer vos pas.
Quelle liberté d’accès en copropriété ?
Vous êtes copropriétaire d’un immeuble disposant d’un toit aménageable ? Bonne nouvelle, ce dernier est en principe considéré comme un espace commun, conférant à chacun des copropriétaires un droit de jouissance partagé.
L’aménagement de ce dernier ne peut toutefois se faire sans l’accord préalable du syndic. Dans certains cas, le toit peut aussi être une partie commune à jouissance privative ou exclusive, généralement à la demande d’un propriétaire.
Ce qui signifie que le toit ne lui appartient pas, mais qu’il est le seul à pouvoir en profiter. Cette demande, à formuler à l’assemblée générale des copropriétaires, pourrait bien arranger ceux dont l’accès au toit se fait par le logement ou qui occupent le dernier étage du bâtiment.
Mais parce qu’un barbecue est toujours plus sympa entre voisins, notez que s’il s’agit d’un projet collectif, la répartition des charges liées aux travaux sera faite entre les copropriétaires, en fonction de leur degré de jouissance. De quoi donner l’envie de partager cet espace !
Version réduite d’une véranda classique, la mini-véranda est conçue pour offrir un espace supplémentaire qui peut avoir plusieurs fonctions selon vos besoins. Zoom sur ses principaux atouts et les possibilités d’aménagement.
Dans la famille des vérandas, on demande la version mini !
D’une taille généralement comprise entre 5 et 15, voire 20 m², cette extension compacte et fonctionnelle permet, si elle est bien aménagée, de pouvoir profiter d’un espace de vie supplémentaire à la fois pratique et agréable.
De plus en plus populaire, ce type de véranda répond à la demande de particuliers qui ne disposent ni d’un grand jardin ni d’un gros budget. Installé dans de petits extérieurs ou sur des toits-terrasses, cet espace permet ainsi au plus grand nombre de profiter du confort d’une véranda traditionnelle.
Des formalités simplifiées
Outre son accessibilité, la mini-véranda comporte quelques atouts non négligeables.
En effet, sachez qu’une construction de moins de 5 m² ne nécessite aucune autorisation ni formalité. De plus, les travaux sont moins importants et votre véranda échappera à la taxe d’aménagement.
De même, si votre zone d’habitation est couverte par un plan local d’urbanisme (PLU), une déclaration préalable de travaux à déposer en mairie (ou à réaliser grâce à un téléservice en ligne) sera suffisante tant que l’emprise au sol et la surface de plancher de votre extension sont inférieures à 40 m².
En dehors d’une zone urbaine ou d’un PLU, cette démarche s’applique jusqu’à 20 m².
Tenez toutefois compte de l’augmentation de la superficie existante de votre maison : si avec cette nouvelle véranda, la superficie totale dépasse les 150 m², il faudra obligatoirement faire appel à un architecte !
Différentes utilisations modulables
La mini-véranda est couramment utilisée pour offrir un lieu de détente chaleureux. Le plus souvent réalisé en aluminium, en bois ou en PVC, cet espace de vie supplémentaire est alors vitré sur la majorité de ses côtés pour faire entrer un maximum de lumière. Plusieurs formes sont également possibles, du carré au rectangulaire en passant par le L.
Si votre porte d’entrée donne directement dans la pièce principale, la mini-véranda peut faire office de sas d’entrée, pratique pour se déchausser, décharger les courses et accueillir les invités tout en étant à l’abri des intempéries.
Vous pouvez aussi y créer des rangements pour déposer chaussures, manteaux, vestes et autres outils de jardinage.
Si vous souhaitez gagner quelques précieux mètres carrés dans votre séjour, utilisez sinon cet espace pour créer un coin repas afin de recevoir davantage de convives.
Les amateurs de plantes pourront également concevoir cette véranda miniature comme un jardin d’hiver lumineux qui permettra de faire pousser leurs fleurs favorites tout en se détendant.
Cet espace réduit peut encore devenir un coin lecture cocooning utilisable toute l’année, grâce à un fauteuil douillet, une jolie bibliothèque et quelques accessoires bien choisis.
De même, il peut être transformé en bureau, idéal pour travailler au calme à la lumière naturelle, tout en appréciant la vue sur le jardin ou l’extérieur. Enfin, pourquoi ne pas y aménager un petit spa abrité en installant un jacuzzi ?
Conseils d’aménagement
Compte tenu de sa taille restreinte, l’aménagement d’une mini-véranda est essentiel pour qu’elle ne devienne pas une pièce fourre-tout. Le but est d’agrandir visuellement l’espace.
Évitez une décoration surchargée et des meubles imposants et privilégiez plutôt un style minimaliste.
Optez pour des murs aux couleurs lumineuses, claires, neutres ou pastel, ainsi qu’un éclairage adapté et chaleureux.
Enfin, installez des meubles bas pour laisser passer la lumière à travers les vitres et ajoutez quelques plantes vertes afin d’apporter un peu de fraîcheur à l’ensemble.
Que ce soit parce que vous ne possédez pas de garage ou pour libérer de la place dans celui-ci, installer un carport sur votre terrain est une solution simple et efficace pour protéger votre véhicule.
Appréciable aussi bien en hiver qu’en été, le carport permet de protéger voiture, moto ou encore vélos et camping-car des diverses intempéries, telles que pluie, grêle, neige et vents violents, mais aussi du soleil et de la chaleur.
Il peut être composé d’un simple toit ou encore être partiellement fermé avec des panneaux latéraux, autoporté (indépendant) ou adossé à la maison. Suivez le guide.
Un abri fonctionnel et malin
L’abri de voitures a plusieurs avantages. Tout d’abord, il s’installe assez facilement.
Composée généralement de simples poteaux et d’un toit, cette structure légère, robuste et étanche nécessite des fondations solides pour qu’elle soit stable et résistante dans le temps, mais les travaux sont généralement simples.
Facile à utiliser au quotidien puisque sans portail à ouvrir ou fermer, il est plus ventilé qu’un garage et demande également peu d’entretien, même si celui-ci dépend du matériau choisi.
Solution relativement abordable pour ceux qui ne possèdent pas d’autre solution de parking abritée, le carport est proposé en différents modèles, matériaux et tailles et s’adapte à toutes les bourses. On peut également le personnaliser en fonction des besoins et goûts.
Quels carport choisir ?
Pour la structure, plusieurs matériaux sont envisageables. Ainsi, le bois (traité autoclave pour une meilleure résistance) charme par son aspect traditionnel, élégant et chaleureux. Léger et relativement facile à installer, ce matériau naturel demande néanmoins des traitements réguliers, contre les nuisibles notamment, pour conserver sa beauté. Un peu moins onéreux, les modèles en acier galvanisé ou en aluminium sont souvent plus simples à monter.
Si l’acier doit être traité contre la rouille tous les ans, l’aluminium se contente d’un nettoyage régulier à l’eau et au savon.
Offrant une bonne résistance aux intempéries et aux UV, ces matériaux métalliques de haute qualité jouissent d’une belle popularité et apportent une touche design et contemporaine. Quant au PVC, moins esthétique mais plus abordable, il est également résistant et disponible en plusieurs teintes.
Côté toiture, elle peut être réalisée en tuiles (pour les carports aux toits pentus), avec des bardeaux de bois, des panneaux dits « sandwichs » (composés de plaques d’aluminium et de polystyrène extrudé), en bac acier, en polycarbonate ou encore en shingle.
Véritable innovation, le carport solaire permet en outre d’allier protection de la voiture et production d’énergie renouvelable.
Les panneaux photovoltaïques intégrés à la toiture permettent ainsi de fabriquer de l’électricité tout en optimisant l’espace.
Conseils d’installation
Si la construction d’un carport est plus simple que celle d’un garage, elle est tout de même soumise à des formalités administratives.
Pour un carport de 5 m² à 20 m², vous devrez faire une déclaration préalable de travaux, tandis qu’un permis de construire sera nécessaire au-delà de ce seuil. De même, le plan local d’urbanisme peut imposer certaines restrictions.
Avant toute chose, renseignez-vous donc bien auprès de votre mairie pour savoir ce que vous êtes autorisé à faire ou non.
Sachez enfin que pour assurer des fondations stables, on pose généralement le carport sur une dalle de béton, coulée au préalable dans les règles de l’art, ou sur des plots en béton.
Si vous êtes un bricoleur averti, vous pourrez alors installer vous-même une structure en kit.
Sinon, faites appel à un artisan professionnel qui pourra aussi vous conseiller sur le choix du modèle le plus adapté à vos besoins.
Notre équipe de charpentiers expérimentés met tout en œuvre afin de répondre au mieux à vos projets.
De la conception à la réalisation, nous mettons notre savoir faire à votre service.
Très attachés à notre territoire, nous travaillons en collaboration avec des fournisseurs locaux.
« J’ai acquis un SAVOIR-FAIRE avec les Compagnons qui m’ont transmis l’Amour du Bois et l’Exigence du Travail bien FINI. Comme par exemple, des lames arrondies pour que l’eau ne stagne pas, bardages vissés et couvre joints… pour des ouvrages robustes dans le temps !
Ma Philosophie : je travaille le PIN issu de notre Forêt d’Aquitaine pour un IMPACT CARBONE RÉDUIT et le soutien de notre ÉCONOMIE LOCALE.»
Jonathan Aladenise
Votre Charpentier à UCHACQ-ET-PARENTIS, MONT-DE-MARSAN et 70 km alentours
En 1982, Fernando Almeida crée l’Entreprise de Maçonnerie Générale à Mont-de-Marsan, puis en 1986, ses 2 fils, Victor et Pierre, maçons, se spécialisent dans la Piscine. C’est en 2021 que Lucie, sa petite fille, prend la relève.
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Retrouvez ici tous les articles du magazine Idées au logis version Automne Hiver 2024 : un magazine haut de gamme semestriel gratuit qui est dédié à la construction, à l’aménagement intérieur, extérieur et à la décoration au Pays Basque et dans les Landes. Une sélection des tendances habitat, des meilleurs artisans et commerçants du Pays Basque et des Landes.
Ce magazine gratuit est à retrouver chez tous nos dépositaires, ainsi que par simple demande par courrier ou par email : contact@cameleon-communication.fr.
Magazine édité par Caméléon Communication 2 Allées Boufflers – 64100 BAYONNE 05.59.31.41.17 contact@cameleon-communication.fr Directeur de publication : Benjamin DURAND
Robuste, intemporel et versatile, le tissu du jean n’est plus réservé qu’à l’habillement. En 2024, il vient décorer nos intérieurs avec originalité et élégance.
Des bûcherons et chercheurs d’or aux célébrités d’Hollywood, des cowboys aux hippies, des rock stars à la haute couture, le blue-jean a su se diversifier et se réinventer depuis sa création il y a deux siècles en s’exportant dans le monde entier pour habiller toutes les classes sociales. Réalisé originellement en coton sergé, avec un tissage très serré mêlant des fils blancs et des fils indigo, il se décline aujourd’hui en de multiples coloris, brut ou délavé, en différentes formes et coupes.
Pièce incontournable d’une garde-robe de par sa versatilité, conférant au look un style décontracté ou très chic, le denim n’est plus l’apanage de la fashion sphère et fait désormais son chemin dans la décoration d’intérieur. Utilisé de manière classique et rustique, en récup, ou totalement détourné, découvrez comment l’inviter dans votre maison.
La matière brute
Exploité au XVI° siècle par la marine de la ville de Gênes pour sa robustesse, le jean est idéal pour des revêtements et accessoires textiles de la maison. En effet, avec son caractère durable et résistant, il convient parfaitement aux canapés, banquettes et autres assises en tant que tissu d’ameublement solide. Il apporte du caractère et de la personnalité aux intérieurs.
Avec son aspect neutre, le denim peut s’harmoniser avec n’importe quel style, même s’il s’accorde particulièrement bien avec du blanc.
En total look, il offre une ambiance singulière et fantaisiste mais aussi chaleureuse et réconfortante, avec son côté old school vintage. Pour une touche plus discrète, il peut recouvrir des coussins ou un jeté de lit, qui peuvent d’ailleurs être fabriqués maison.
De l’indigo et des nuances
Si la toile de jean ne vous dit rien, vous pouvez simplement vous inspirer de sa couleur indémodable ! Même si le denim peut aujourd’hui prendre de nombreux coloris, le bleu reste en effet sa teinte première, et notamment l’indigo, une nuance foncée et puissante.
Sur un mur, en peinture, en papier peint, en carreaux ou en mosaïque, elle apporte du dynamisme et de la fraîcheur à la pièce, tout en lui donnant une nouvelle profondeur.
Les teintes bleutées sont pleines de nuances que vous pouvez faire varier selon vos envies, de manière plus ou moins claire, en dégradé ou unies, pour illuminer un salon, une cuisine, une chambre ou une salle de bains ou colorer la vaisselle, les luminaires ou autres élé- ments décoratifs.
Agréable et esthétique, la mini-piscine est plus que jamais tendance ! Avec notre besoin toujours grandissant de profiter davantage du moindre bout de jardin, sa cote de popularité a explosé.
Voici tout ce que vous devez savoir si vous souhaitez en installer une. Pour vous rafraîchir lors des chaudes journées d’été, vous rêveriez de pouvoir faire quelques brasses dans un bassin privé. Hélas, les dimensions réduites de vos espaces extérieurs ne vous le permettent pas.
De toutes tailles et de toutes formes
Conscients que les mini-piscines sont destinées à des espaces parfois très restreints, mais aussi des terrains biscornus ou en pente, les piscinistes proposent une grande variété de bassins pour s’adapter exactement à vos besoins.
Outre la classique forme rectangulaire, vous pouvez opter pour un modèle personnalisé, conçu et maçonné sur mesure, triangulaire, ovale, en huit ou encore façon point d’eau naturel pour un effet oasis très esthétique.
Pour ce qui est de la taille, les mini-piscines mesurent généralement moins de 20 m2, et certaines peuvent même avoir une superficie inférieure à 10 m2 si elles doivent par exemple occuper une terrasse ou un patio urbain. La profondeur sera le plus souvent comprise entre 1,30 et 1,60 m.
Un cadre légal plus souple
Moins contraignante à faire creuser qu’une piscine aux dimensions classiques, la mini-piscine ne nécessitera pas de déclaration préalable de travaux en dessous de 10 m2, sauf si elle est implantée dans un site classé.
Question sécurité, elle est en revanche soumise aux mêmes normes que ses grandes sœurs. Vous devrez donc la faire assurer et installer un dispositif de sécurité adéquat tel qu’une barrière avec un système de verrouillage, un volet couvrant, une alarme à ultrasons ou un abri de piscine.
Le choix des matériaux
Parmi les modèles de mini-piscines enterrées, le plus répandu est sans nul doute le béton, qui offre une remarquable longévité, une infinité de formes et tous les avantages des grands bassins classiques.
Armé, projeté ou coulé, ce matériau est le plus résistant mais aussi le plus cher. Vous pouvez ensuite le recouvrir d’un enduit décoratif ou d’une mosaïque. Également appréciée pour sa solidité mais plus abordable, la piscine en acier tire son épingle du jeu et peut s’installer très facilement.
Toutefois, il s’agit de modèles encastrables, que vous ne pourrez pas modeler exactement selon vos souhaits. Même chose pour les piscines monocoques en polyester, résine ou acrylique, livrées selon un moulage précis même si de nombreuses formes sont proposées. On apprécie en revanche ici la facilité et la rapidité d’installation.
Enfin, la piscine en bois, qui offre un bel aspect naturel et apporte une touche conviviale au jardin, a l’inconvénient de nécessiter un entretien régulier pour conserver sa beauté originelle.
Des options haut de gamme
Outre le gain de place, posséder une piscine de taille réduite présente un autre intérêt : celui de pouvoir s’offrir plus facilement des équipements luxueux ! Ainsi, pour profiter de votre bassin toute l’année, vous pouvez faire installer un système de chauffage économique de l’eau : le volume de liquide à maintenir à bonne température étant moindre, les dépenses d’énergie le seront aussi.
ous aimez la natation et souhaitez pouvoir faire des longueurs dans votre petite piscine ? Misez sur un système de nage à contre- courant, réglable en puissance, pour vous adonner à cœur joie à la brasse ou au crawl.
Enfin, si vous êtes amateur de balnéothérapie, offrez-vous des moments relaxants grâce à des buses de massage, des jets, des LED colorées ou encore des diffuseurs d’air qui transformeront votre mini-piscine en bain bouillonnant façon spa, pour le plus grand bonheur de vos muscles endoloris.
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