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Techno Pieux dispose de plus de 30 ans d’expérience dans la fondation. Née au Canada, cette technique s’adapte parfaitement à nos types de sol (argileux, sableux). Installé depuis près de 15 ans dans le Sud-Ouest, Techno Pieux est la solution à vos projets de construction en ossature bois, métal ou béton.
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L’entreprise EGUR LAN est installée à ASCAIN dans les Pyrénées-Atlantique. Situé en bordure de départemental , nos locaux sont visibles et accessibles très facilement.
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La société EGUR LAN conserve l’esprit familial, tout en développant de nouvelles technologies, mais aussi en utilisant du matériel et des matériaux respectueux de l’environnement.
C’est bien connu, l’humidité s’infiltre et s’installe partout où elle le peut. Avec le temps, la présence d’humidité peut entraîner des conséquences graves, aussi bien sur votre bien immobilier, que sur la santé de votre famille. Ne laissez pas l’humidité vous gâcher la vie !
Remontées capillaires : définition
Les remontées capillaires sont dues à un phénomène physique électromagnétique lié au potentiel électrique de l’eau naturellement présente dans la terre.
Celles-ci sont le plus souvent consécutives à l’absence ou à la dégradation de la membrane d’étanchéité à la base des murs et fondations qui est en fait responsable du problème.
Les matériaux poreux et un sol insuffisamment drainé vont également favoriser les remontées capillaires. Elle se propage ensuite par capillarité dans les différents matériaux de constructions.
La remontée capillaire est également appelée humidité ascensionnelle. Il faut rester très vigilant, car en plus de provoquer de graves problèmes d’humidité dans votre intérieur elles sont susceptibles de s’attaquer à la structure même de la bâtisse.
Quand l’humidité s’installe, elle s’accompagne souvent de champignons et de moisissures qui polluent votre logement.
De fines particules de ces parasites sont alors présentes dans l’air que vous respirez pour finir dans vos poumons. Ces particules, constituées de spores et de mycotoxines sont toxiques pour la santé et peuvent provoquer des maladies respiratoires, particulièrement chez les enfants et les personnes fragiles.
L’humidité peut également nuire au confort de toute la famille par la présence d’odeurs nauséabondes ou la sensation permanente de froid. Mais ce n’est pas tout !
Un air humide est beaucoup plus difficile à chauffer et par conséquence représente une perte énergétique importante.
Repérer les remontées capillaires :
Le plus souvent, vous découvrez les remontées capillaires tardivement à la suite de problème d’humidité et dégâts sur les murs de votre maison. Mais aussi et plus grave encore suite à des problèmes de santé déclarés chez nos enfants.
Au départ c’est le bas des murs qui cloque, s’effrite, avec parfois des moisissures et du salpêtre laissant des traces blanches ou noires, qui donne l’alerte.
Par la suite et sans intervention d’un professionnel, cette humidité ascensionnelle continuera à monter pour atteindre l’étage supérieur.
Une solution efficace, sans gros travaux et définitive existe : L’inverseur de polarité électromagnétique « IPE ».
On sait maintenant que l’eau chargée en électricité positive permet à celle ci présente dans la terre de remonter par effet de capillarité dans vos murs et dalles.
L’inverseur de polarité électromagnétique « IPE » inverse la polarité en envoyant, cette fois-ci, des ondes négatives en très basses fréquences qui ont la particularité d’empêcher les molécules d’eau de monter par capillarité en les repoussant vers le sol de manière définitive.
Le rayon d’émission de l’appareil s’étend de 30m2 à plusieurs centaines de mètres carrés selon la version installée. Cette solution sans gros travaux est aussi la solution la moins contraignante et la plus économique.
Les effets après l’installation de l’inverseur de Polarité « IPE » sont immédiats. Le phénomène de remontée est stoppé définitivement et de suite. Vous pourrez enfin réparer les dégâts causés par l’humidité après trois mois et obtenir une sèche totale avec une humidité normalisée au bout de six mois à 24 mois selon l’épaisseur des murs.
De plus, avec l’IPE vous obtiendrez un air plus sec et une humidité contrôlée des murs de votre habitation vous permettant, au niveau chauffage, jusqu’à 25% d’ économie d’énergie.
Vous pensez avoir des problèmes d’humidités, contactez un professionnel afin d’éviter les dégâts coûteux.
Alors que le fioul est désormais une énergie non grata et que les tarifs de l’électricité flambent, le bois tire largement son épingle du jeu comme mode de chauffage économique et performant. Et si vous l’adoptiez vous aussi ?
Qu’il se présente sous forme de bûches naturelles, densifiées ou reconstituées, de plaquettes ou encore de granulés, le bois a plus que jamais la cote !
La France est d’ailleurs le premier pays européen utilisateur de bois énergie, essentiellement grâce au chauffage domestique.
Fortement encouragés par l’État et plébiscités par les ménages, poêles et chaudières modernes au bois se vendent ainsi comme des petits pains ces dernières années. Reste à choisir l’équipement le plus adapté à vos besoins.
Sous le feu des projecteurs
La situation du chauffage au bois domestique est assez paradoxale.
En effet, il était responsable de 43 % des émissions nationales de particules fines appelées PM 2,5, ainsi que de plus de la moitié des très fines émissions en PM 1,0 en 2018 d’après les chiffres du gouvernement. Or, ces particules seraient responsables de 40 000 décès par an en France selon Santé publique France.
Pourtant, l’État ne cesse d’encourager les foyers à adopter ce combustible !
Et pour cause, il s’agit d’une énergie renouvelable, neutre en carbone et de surcroît abordable.
Si les équipements les plus vétustes et vieilles cheminées à foyer ouvert sont peu efficaces, polluants et même dangereux pour notre santé, les appareils actuels ont ainsi gagné en performance et en sécurité, et ce, dans le respect de l’environnement.
Dès lors, les autorités poursuivent un double objectif : renouveler mais aussi étendre le parc de chauffage domestique au bois.
Outre le remplacement des vieux poêles et cheminées, l’ambition est en effet d’atteindre « les 9,5 millions de logements chauffés au bois d’ici 2023, puis 10,2 à 11,3 millions en 2028, à consommation de bois constante », comme le souligne l’Agence de la transition écologique (Ademe).
Cheminée, poêle ou chaudière ?
Le moins qu’on puisse dire, c’est que les Français sont réceptifs aux appels du pied du gouvernement ! En 2021, quelque 422 930 appareils de chauffage domestique au bois ont en effet été vendus, d’après le suivi réalisé par l’Observatoire national des énergies renouvelables. Face à un choix pléthorique, certains repères sont alors bien utiles.
Si vous avez déjà une cheminée mais qu’elle a un foyer ouvert, la solution la plus économique est d’y ajouter un insert pour optimiser ses performances. L’alternative consiste sinon à changer d’équipement de chauffage.
Vous pouvez alors jeter votre dévolu sur un foyer fermé moderne et efficace ou opter pour un poêle à bûches, à granulés (pellets) ou à accumulation (plus efficace mais plus coûteux).
Design, peu encombrant et, en général, moins cher qu’une cheminée, cet appareil offre un rendement qui varie entre 70 et 90 % selon les modèles.
En revanche, si vous souhaitez une autonomie confortable, oubliez les bûches qui ne durent que quelques heures. Dans tous les cas, sachez que vous pouvez également recourir à un système de gaines reliées au poêle pour distribuer la chaleur dans les pièces éloignées.
Dans une grande maison, il peut toutefois être plus judicieux de se tourner vers une chaudière à bois dans le cadre d’un chauffage central qui pourra aussi produire de l’eau chaude.
L’investissement est évidemment bien plus important mais vous pourrez alimenter tous les radiateurs de la maison et réaliser ainsi de précieuses économies d’énergie – et donc de factures – sur le long terme.
Focus : Quel coût ?
Si l’on trouve des inserts de cheminée et des poêles à bûches dès 1 000 €, les versions à granulés peuvent atteindre 6 000 €, tandis que les modèles à accumulation se monnaient entre 5 000 € et 16 000 €.
Quant aux chaudières à bois, leur prix varie du tout au tout en fonction de la technologie et du combustible utilisés (de 5 000 € à 20 000 €), les bûches restant encore et toujours les moins onéreuses mais les moins performantes. Privilégiez dans tous les cas un appareil estampillé Flamme verte 7 étoiles ou équivalent.
Ce label qualité vous garantit un haut rendement énergétique, en contrepartie de très faibles émissions polluantes. Pour faire baisser la facture, pensez enfin à solliciter les aides publiques telles que MaPrimeRénov et les certificats d’économie d’énergie attribués par les fournisseurs d’énergie.
Renseignez-vous auprès d’un conseiller France Renov au 0 808 800 700 (numéro non surtaxé) ou en ligne sur France-renov.gouv.fr.
Actualité : anticipez vos achats de bois
Entre la hausse de la demande et la crise en Ukraine, le bois est victime de risque de pénurie, comme beaucoup de matières premières.
En tête de liste, les sacs de pellets (granulés) peuvent être compliqués à trouver en plein cœur de l’hiver.
Mieux vaut donc anticiper la période froide en se fournissant avant !
Alors que le béton est de plus en plus décrié pour son impact environnemental, un autre matériau, solide, peu onéreux et aisé à produire, semble capable de le remplacer.
Fabriquée à partir de terre compressée, la brique de terre crue pourrait être une solution durable. Décryptage.
Aujourd’hui incontournable dans le secteur de la construction, le béton est responsable de 4 à 8 % des émissions mondiales de CO2 et considéré comme le matériau le plus destructeur et le plus polluant par les associations environnementales.
Parmi les alternatives plus respectueuses de la planète qui commencent à se développer, un petit challenger pourrait changer la donne.
La brique de terre crue, facile à fabriquer, recyclable et bon marché, pourrait ainsi être l’avenir du bâtiment. On fait le point sur ses nombreux avantages.
Une matière naturelle
Ressource quasi inépuisable et disponible en très grande quantité, la terre est le composant majoritaire des briques de terre crue. Celles-ci sont obtenues à partir de terre de chantier – autrefois souvent considérées comme un déchet – mélangée avec de la chaux, pour la stabilisation, et de l’eau, puis simplement compressée et séchée. Très simple, ce processus de fabrication est aussi peu énergivore. Les briques sont ensuite assemblées et collées les unes aux autres par un mélange de sable, de terre et d’eau, selon la technique ancestrale du pisé.
De grandes qualités d’isolation
Grâce à sa porosité naturelle, la brique en terre crue possède une très bonne inertie thermique. Elle est capable de stocker les surplus de calories en hiver, afin de garder la chaleur à l’intérieur des habitations.
En captant la vapeur d’eau, elle retient également l’excès d’humidité et le restitue naturellement dans la maison lorsque l’air devient plus sec, aidant ainsi à réguler l’hygrométrie. Enfin, en été, elle conserve la fraîcheur.
De multiples utilisations
Très dures, denses et solides, les briques en terre crue peuvent être utilisées aussi bien pour les cloisons intérieures que pour ériger des murs, qu’ils soient capteurs, d’inertie thermique (afin d’accumuler la chaleur, derrière un poêle ou une cheminée par exemple) ou même porteurs. Elles peuvent également servir au remplissage des combles. Attention toutefois, ces briques sont assez lourdes et nécessitent donc d’être posées sur une chape suffisamment robuste.
Le règne du made in France
Plusieurs entreprises locales françaises misent aujourd’hui sur la production de briques en terre crue. Si le marché reste confidentiel, il connaît néanmoins une forte croissance, permettant ainsi de développer l’économie régionale et de valoriser des savoir-faire.
Le coût de production, un frein majeur ?
Seule ombre au tableau, la brique de terre crue coûte actuellement 20 à 25 % plus cher que le béton. Cette différence peut toutefois être compensée sur le long terme grâce aux économies d’énergie réalisées grâce à ses qualités d’isolation. Enfin, étant produite à partir de terre, elle n’est pas concernée par la pénurie de matériaux qui touche de plein fouet le secteur du bâtiment et fait flamber les prix de nombreuses matières premières. Elle devrait donc rester abordable, voire devenir davantage accessible au fur et à mesure que la production se développe. Autre bémol mineur, la brique ne bénéficie pas pour le moment d’une norme comme le béton, même si la procédure est en cours.
Pourquoi limiter sa terrasse à une utilisation purement estivale ? En la cloisonnant, elle peut devenir un lieu de vie agréable et confortable été comme hiver. On vous dit ce qu’il faut savoir pour vous lancer. Nombreux sont ceux et celles qui regrettent les moments estivaux de détente passés sur leur jolie terrasse.
Et si l’on pouvait en profiter toute l’année ? Véritable lien entre l’intérieur et l’extérieur, cet espace peut être fermé par un toit (elle est alors dite couverte) mais aussi par des cloisons, afin de devenir un lieu de vie supplémentaire, de façon permanente ou non. Zoom sur les différentes solutions qui existent.
Les parois vitrées, pour un maximum de lumière
Fermer sa terrasse peut entraîner une perte de lumière dans la maison. Si vous voulez éviter ce désagrément, choisissez plutôt des matières transparentes, qui ouvrent la vue sur l’extérieur. Le verre est ainsi souvent conseillé car il cloisonne, tout en conservant la luminosité extérieure. S’il est feuilleté ou trempé, il est encore plus résistant aux chocs qu’un verre ordinaire.
Ce matériau a l’avantage de protéger des intempéries, du vent et du bruit, et de capter la chaleur en hiver (en outre, certains types la filtrent pour la période estivale).
Élégant, discret et design, il s’adapte à toutes les terrasses, qu’elles soient classiques ou plus contemporaines. Enfin, si on choisit des portes vitrées pivotantes, battantes ou coulissantes, on pourra à nouveau ouvrir largement l’espace au retour des beaux jours.
Le rideau de verre, une innovation maligne
Plusieurs fabricants proposent de nos jours de fermer les terrasses au moyen d’un « rideau de verre ». Grâce à ce système innovant de vitrage sans montants verticaux, on peut fermer complètement l’extérieur (terrasse, balcon, véranda ou encore pergola…) pour en profiter toute l’année sans avoir l’impression d’être enfermé.
Le principe est simple : on pose des panneaux de verre autour de la terrasse, et lorsqu’on veut rouvrir et libérer l’espace, on fait glisser et pivoter ces vantaux pour les stocker discrètement sur les côtés.
Les bâches enduites PVC, pratiques et abordables
Pour fermer les côtés d’une terrasse et se protéger des intempéries, les bâches enduites de PVC apparaissent comme une solution à la fois pratique et plus économique que les panneaux de verre. Ce sont celles que les restaurateurs utilisent pour abriter leurs clients à l’extérieur. On les trouve totalement ou partiellement transparentes.
Leurs points forts : elles sont faciles à installer (et à démonter en été), elles s’ouvrent et se referment facilement tout au long de la journée et n’impliquent aucune autorisation d’urbanisme. Imputrescibles et étanches, elles protègent efficacement des intempéries (vent, pluie) mais aussi des UV.
L’option se mi-fermée
En outre, dans certaines régions où l’hiver n’est pas trop rigoureux et où on vit facilement dehors presque toute l’année, on peut opter pour un cloisonnement partiel de la terrasse.
Des panneaux de bois installés du côté où le vent souffle le plus fort, des brises vues ou des paravents qui limitent l’ouverture vers l’extérieur tout en permettant de profiter du plein air et du soleil…
On l’aura compris, plusieurs configurations sont possibles pour créer un lieu à la fois protégé et agréable en toute saison.
Astuce : Une terrasse modulable
Pour clôturer votre terrasse, vous pouvez également mélanger les systèmes et les matériaux, en combinant par exemple des surfaces vitrées fixes et des portes vitrées coulissantes, ce qui permettra d’ouvrir partiellement ce nouvel espace de vie vers l’extérieur.
Certaines cloisons vitrées sont même escamotables. En optant pour du double ou du triple vitrage, vous bénéficiez en plus d’une parfaite isolation thermique et acoustique. On peut également mixer des parois en dur (métal, bois) et des surfaces transparentes.
Focus : gare aux contraintes légales
Dès lors que le système de fermeture de votre terrasse est provisoire (cas des bâches PVC), vous pouvez agir librement. En revanche, sachez que les installations extérieures fixes, comme une pergola ou une toiture par exemple, nécessitent d’en passer par une déclaration préalable de travaux en mairie lorsque leur emprise au sol est comprise entre 5 et 20 m2.
Plus encore, si vous décidez de fermer complètement votre terrasse, façon véranda fixe, l’autorisation d’urbanisme est indispensable. Elle consistera en une déclaration préalable jusqu’à 20m2, voire 40m2 si la surface totale de l’habitation ne dépasse pas 150m2 en cas de plan local d’urbanisme. Au-delà, il faudra déposer une demande de permis de construire.
En outre, si vous résidez en copropriété, des restrictions supplémentaires peuvent être imposées. De même, un vote en assemblée générale sera obligatoire si la transformation nécessite le percement de murs porteurs.
Vous avez décidé de vous lancer dans des travaux de rénovation énergétique d’ampleur et vous manquez de fonds ? Grâce à l’éco-prêt à taux zéro, vous pouvez financer avantageusement votre chantier.
Et, bonne nouvelle, le complément offert par MaPrimeRénov permet de réduire la facture ! Alors que la bataille contre les passoires thermiques bat son plein, de nombreux propriétaires se lancent dans des travaux, parfois considérables, afin de remettre en état un logement ancien qu’ils ont trop longtemps négligé ou encore une demeure vétuste obtenue par héritage.
Pour financer ces chantiers très onéreux, les ménages peuvent heureusement compter sur des aides publiques, en tête desquelles MaPrimeRénov, ou des prêts bancaires avantageux, et notamment l’éco-prêt à taux zéro. Mieux encore, ils peuvent cumuler ces deux dispositifs !
Une enveloppe évolutive
L’éco-prêt à taux zéro, dit éco-PTZ, est un emprunt octroyé sans aucun intérêt sur 15 ans maximum (voire 20 ans dans certains cas) par des banques partenaires. Il est ouvert à tous les propriétaires, occupants ou bailleurs, indifféremment de leurs revenus.
Ce crédit peut être sollicité pour financer des travaux de rénovation énergétique dès lors que le logement a été achevé depuis plus de 2 ans et qu’il s’agit de votre résidence principale ou que vous comptez le mettre à la location à ce titre.
Le montant octroyé dépend alors du type de chantier entrepris, sachant que l’intervention d’un professionnel RGE (reconnu garant de l’environnement) est dans tous les cas obligatoire.
Ainsi, vous pouvez emprunter jusqu’à 7 000 € pour remplacer vos fenêtres et jusqu’à 15 000 € pour la réalisation de travaux d’isolation (toiture, murs extérieurs, portes, plancher bas) ou pour le remplacement d’un système de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire par un dispositif plus performant ou utilisant une énergie renouvelable.
Plus encore, l’enveloppe peut atteindre 25 000 € si vous faites réaliser deux travaux parmi cette liste d’actions éligibles et 30 000 € si vous en réalisez trois ou plus. Et depuis le 1er janvier 2022, l’aide est même passée de 30 000 € à 50 000 € pour des travaux qui apportent un gain énergétique minimum de 35 % et permettent de sortir une habitation du statut de passoire énergétique.
L’aide d’abord, le prêt ensuite
Si l’éco-PTZ permet d’obtenir une somme conséquente pour financer ses travaux, il s’agit toutefois d’un emprunt qui devra être remboursé.
Afin de limiter son montant, il est donc judicieux de solliciter également toutes les aides publiques auxquelles vous pouvez prétendre.
Ce dispositif peut en effet se cumuler avec les certificats d’économie d’énergie attribués par les fournisseurs (prime ou de bons d’achat), les subventions de l’Anah et des collectivités territoriales ou encore son cousin le prêt à taux zéro dans le cadre de l’accession à la propriété.
Quant aux bénéficiaires de MaPrimeRénov, ils peuvent solliciter l’octroi d’un éco-PTZ grâce à une procédure simplifiée depuis le 1er juillet 2022, afin de pouvoir s’acquitter du reste à charge.
C’est ainsi une nouvelle catégorie de chantiers éligibles qui s’ajoute aux cas de figure déjà présentés. Dans ce cadre, la demande de prêt doit intervenir au plus tard dans les 6 mois qui suivent l’accord de l’Agence nationale de l’habitat (Anah) pour l’attribution de MaPrimeRénov.
Et tandis qu’il faut d’ordinaire fournir à la banque un descriptif et un devis détaillés des travaux envisagés pour obtenir l’éco-PTZ, une copie de la décision de l’Anah suffit ici pour constituer le dossier !
Les travaux peuvent d’ailleurs être déjà commencés. À la clé, vous pouvez alors emprunter jusqu’à 30 000 € sans intérêt. Une facilité de plus bienvenue pour tous ceux qui songent à se lancer dans la rénovation énergétique.
Focus : vers qui se tourner ?
L’éco-prêt à taux zéro n’est distribué que par des banques habilitées. Néanmoins, cela concerne en réalité la plupart des établissements traditionnels.
C’est notamment le cas du groupe BPCE qui réunit, entre autres, les Banques Populaires et Caisses d’Épargne, mais aussi de BNP Paribas, du Crédit Agricole, du Crédit Mutuel, du CIC, de la Société Générale, du Crédit du Nord, de la Banque Postale ou encore d’Axa Banque.
La liste de tous les établissements de crédit affiliés est disponible en ligne sur 2.sgfgas.fr. D’autre part, pour obtenir vous faire accompagner sur votre projet de rénovation, vous pouvez contacter un conseiller France Rénov au 0 808 800 700 (numéro non surtaxé) ou vous renseigner sur France-renov.gouv.fr.
Alors que l’interdiction de louer des passoires thermiques se profile à l’horizon, le compte à rebours est lancé pour réaliser des travaux de rénovation énergétique. Petits ou grands chantiers, c’est une affaire de budget, d’habitation et de vision à court ou long terme.
Vous projetez de vendre, de louer ou d’investir dans un logement mal noté au diagnostic de performance énergétique (DPE) ? Alors que l’étau se resserre autour des passoires thermiques, vous avez tout intérêt à agir sans tarder pour éviter le couperet à venir.
Le triptyque classique consiste ainsi à cibler l’isolation du logement, le chauffage et la ventilation. Ceci dit, la donne n’est pas la même en fonction du type d’habitation et de votre budget. Il va donc falloir prioriser.
Le casse-tête de la copropriété
Une copropriété impose d’importantes contraintes en termes de travaux puisque tout ce qui touche au commun, tel que l’isolation extérieure, le chauffage collectif et même l’installation d’une VMC, nécessite un vote en assemblée générale.
« Les travaux à la main du copropriétaire peuvent être l’isolation par l’intérieur, le changement des radiateurs par des modèles dits intelligents et le remplacement des ouvrants, fenêtres et portes, à condition de respecter le code couleur et les matériaux imposés par la copropriété », détaille Eve Antoine, co-fondatrice de Circuméo, une start-up spécialisée dans le processus d’investissement locatif.
Mais attention, l’isolation des murs va grignoter plusieurs centimètres de surface, ce qui peut entraîner une diminution des mètres carrés et donc du prix du bien…
Dès lors, il faut mûrement réfléchir à son projet de travaux et se renseigner auprès du syndic. Comme le précise Thomas Charrier, le gérant du cabinet de diagnostic immobilier B2I Expertises, partenaire de Circuméo : « On ne va pas conseiller de s’attaquer à l’isolation intérieure si la copropriété a déjà prévu des travaux d’isolation extérieure d’ici deux ou trois ans. »
De même, avec un appartement situé en étage, et qui a donc peu de surface en contact avec l’extérieur, le remplacement des radiateurs et des ouvrants peut parfois suffire à remonter le niveau d’un mauvais DPE au-dessus des seuils autorisés.
Ce peut alors être une solution à moindre coût pour des propriétaires, occupants ou bailleurs, désireux de revendre à court terme.
Rénover un pavillon à long terme
La logique est différente pour une maison individuelle. Dans le cadre d’une vision à moyen ou long terme, il peut être intéressant de profiter de l’effet d’aubaine actuel autour de la rénovation globale pour faire réaliser des travaux importants afin de gagner directement plusieurs lettres sur son DPE.
« Il faut commencer par isoler la toiture et les combles (responsables de 30 % des déperditions de chaleur), puis les murs (20 à 25 % des déperditions) », nous explique Nicolas Moulin, le fondateur de Primesenergie.fr, l’un des sites agréés pour financer les travaux des particuliers grâce au dispositif des certificats d’économie d’énergie.
Il conviendra également de remplacer le vieux système de chauffage par un équipement moderne.
« Dans un budget très contraint, une chaudière gaz à très haute performance énergétique (THPE) peut alors suffire », selon l’expert. Enfin, ajouter une bonne ventilation est un complément efficace et peu coûteux.
Avec un budget plus confortable, vous pourrez aussi prévoir l’isolation des planchers bas et des fenêtres et pourquoi pas opter pour une pompe à chaleur ou une chaudière biomasse.
Mais attention car l’addition grimpe très vite ! « En moyenne, il faut compter entre 40 000 et 60 000 € pour la rénovation globale d’une maison de 100 m2 », précise Nicolas Moulin.
Heureusement, le cumul de MaPrimeRénov et du « coup de pouce rénovation globale » permet de prendre en charge plus de 50 % de la facture pour un ménage lambda et jusqu’à 70-80 % pour un foyer modeste.
Faites le point sur votre projet
Si le DPE pose un diagnostic de l’état de votre logement, il ne permet pas à lui seul de déterminer les travaux de rénovation à entreprendre. Pour ce faire, vous pouvez opter pour un DPE projeté.
Plus poussée, cette version consiste à réaliser une simulation de gain énergétique après chantier. Cette projection est notamment courante dans le cadre d’une demande d’éco-prêt à taux zéro.
Pour aller encore plus loin, vous pouvez sinon faire réaliser un audit énergétique, qui sera d’ailleurs rendu obligatoire courant 2023 dans le cadre de la vente d’une habitation individuelle.
Cette étude permet de repérer les sources de gaspillage énergétique et d’évaluer le montant des améliorations à apporter. Afin d’être guidé dans votre projet, n’hésitez pas à contacter un conseiller France Rénov au 0 808 800 700 (numéro non surtaxé) ou via le portail du service public France-renov.gouv.fr.
Focus : Quel intérêt à agir ?
Il est désormais interdit d’augmenter le loyer des biens en cours de location classés F ou G par le DPE, tandis qu’il sera tout bonnement défendu de louer ou relouer des habitations affichant plus de 450 kWh d’énergie finale/m²/an au 1er janvier 2023.
L’interdiction s’appliquera ensuite à tous les logements classés G en 2025, puis F en 2028 et E en 2034.
En parallèle, la « valeur verte » compte de plus en plus lors de la vente d’un bien immobilier. La note du DPE peut ainsi avoir un réel impact à la hausse ou à la baisse sur le prix de votre logement.
Enfin, si rien n’est programmé pour l’instant, l’idée d’augmenter les droits de mutation des habitations les plus mal classées fait aussi son chemin parmi les politiques…
Retrouvez ici tous les articles du magazine Idées au logis version Automne Hiver 2022-23 : un magazine haut de gamme semestriel gratuit qui est dédié à la construction, à l’aménagement intérieur, extérieur et à la décoration au Pays Basque et dans les Landes. Une sélection des tendances habitat, des meilleurs artisans et commerçants du Pays Basque et des Landes.
Ce magazine gratuit est à retrouver chez tous nos dépositaires, ainsi que par simple demande par courrier ou par email : contact@cameleon-communication.fr.
Construire sa première maison et devenir propriétaire en Gironde ou dans les Landes, représente souvent le rêve d’une vie pour de nombreuses familles. Etre primo-accédant aujourd’hui est parfois complexe, la notion de budget étant souvent la première contrainte à analyser avant de pouvoir vous proposer un projet viable.
Investir dans sa maison, créer son capital immobilier, peut faire l’objet de plusieurs étapes, par la construction d’une première maison et pourquoi pas, à moyen terme d’une deuxième, puis d’une troisième !
C’est pourquoi nous avons conçu plusieurs modèles de pavillons pouvant vous permettre d’accéder à la propriété, dans des budgets raisonnables et adaptés à vos possibilités financières.
Nos modèles de base, confortables et qualitatifs, respectent les mêmes critères de qualité actuels que l’ensemble de nos constructions : qualité des matériaux, mise aux normes RT 2012, suivi et garanties. Des modèles attractifs, de nombreux plans de maison à votre disposition.
Pensez également à personnaliser votre maison, notre bureau d’études est à votre disposition pour vous proposer d’autres modèles, plus adaptés à vos envies.
Constructeur de maisons en Gironde et Landes sur les secteurs de Bordeaux et Mont de Marsan, la société LCA (Les Constructions d’Aquitaine) est implantée sur la région depuis plus de 30 ans et à l’origine de plus de 3000 constructions de maisons.
Notre expérience de la maison individuelle nous positionne comme un acteur incontournable du marché de la construction, notre savoir-faire et une quête constante d’innovations vous offrant un interlocuteur unique, pour réaliser votre projet de construction dans les meilleures conditions.
Outre notre expérience, construire avec LCA est pour vous un gage de sécurité, que nous avons matérialisé par des garanties concrètes et contractuelles, intégrant les nouvelles normes environnementales.
Le Coworking : tout un concept, pour vous, professionnels de la construction ! Pourquoi travailler seul quand on peut travailler ensemble !
Le parfait mélange entre liberté et collectivité
Vous avez certainement dû entendre parler de ce nouveau concept : le CO-WORKING qui signifie travailler-ensemble.
Cette nouvelle vision du travail qui allie autonomie et collaboration au sein d’un open-space ouvert à tous, entrepreneurs individuels, startuppers ou consultants, tout le monde y trouve sa place, du plus petit au plus grand, sans distinction, c’est ça LE CONCEPT !
Installez-vous à LA SABLIÈRE !
Louez un espace dès maintenant au mois, à la semaine, à la journée ou la demi-journée et rencontrez la communauté du coworking.
LE LIEU IDÉAL
Situé à proximité des plages et des centres-villes de Capbreton et d’Hossegor.
LA SABLIÈRE est un petit cocon de verdure et de calme idéalement situé pour vous accueillir dans un espace à la fois de travail et de détente.
La société SAS CELTI est une entreprise familiale qui intervient auprès des particuliers et de professionnel (entreprise, mairie, architecte, hôtel, restaurant, magasin, cabinet médical…) dans le domaine de l’électricité.
Logement :
– Construction de maison neuve – Rénovation d’appartement ou maison – Pose de panneau photovoltaïque auto consommation – Domotique – Alimentation coffret piscine – Motorisation de portail – Installation de borne de recharge pour voiture électrique – Chauffage (vente et installation) et ventilation
Tertiaire public et privé :
– Courants forts et courant faibles – Equipement armoire industrielle – Maintenance des installations – Automatisation – Réalisation d’entretien éclairage de sécurité, alarme incendie et coupure d’urgence – Réalisation câblage coffret remorque TP et citerne – Dépannage station d’irrigation , pivot
Informatique :
– Câblage réseau fibre optique
Dépannage tous types électriques
Faites appel à nos services (secteurs 32, 40, 64 & 65) : Celti Sas – 668 Chemin de Robert – Saint-Loubouer 05 58 44 73 21 – 06 48 91 20 70 – jlc.celti@orange.fr
Originaire de Bordeaux, j’ai vécu pendant près de 20 ans dans de grandes villes : Londres, Marseille, Toulouse pour mon travail en tant que gestionnaire de patrimoine pour deux grands groupes bancaires ; puis un petit retour à Bordeaux en tant que négociatrice en immobilier de prestige pour une entreprise familiale.
La vie professionnelle de mon époux nous a amené dans les Landes avec nos deux jeunes enfants et notre choix a été de vivre à Dax.
Quelques années plus tard, au fil de mon travail, de mes passions, j’ai croisé la route de Cathy, le courant est vite passé, elle m’a présenté Karen, la gérante de BLISS IMMOBILIER ; ne voulant plus quitter cet agréable coin du Sud-Ouest, c’est tout naturellement et avec enthousiasme que j’ai rejoint Cathy pour développer Bliss dans les Landes.
Cathy
Native des Landes, de la Chalosse je connais bien ce département. Je l’ai longtemps parcouru lorsque je pratiquais le Basket.
Après des études de tourisme et quelques petits jobs j’ai travaillé pendant dix ans au sein d’une multinationale au service commercial. Puis, j’ai ensuite dirigé en famille une carrosserie/station-service.
La vie m’a par la suite amenée au gré des rencontres à travailler dans l’immobilier. Forte de mes expériences passées, de ma rencontre avec Valérie, » mon binôme « , et de la relation privilégiée que j’ai avec l’agence Bliss, j’essaie au quotidien d’exercer mon métier avec sérieux et efficacité.
COMMENT NOUS FAISONS LA DIFFÉRENCE
Notre parfaite complémentarité, doublée d’une totale liberté d’action, sont nos et vos meilleurs atouts pour la concrétisation de tous vos projets immobiliers.
Entièrement autonomes et sans aucune limite géographique, nous prenons en charge votre projet de vente ou d’achat dans sa globalité en vous accompagnant jusqu’à la signature finale chez le Notaire.
Renforçant notre maîtrise technique au fil des évolutions de la législation et de la technologie, nous vous accompagnons et vous conseillons à chaque étape de votre prise de décision.
Plurilingues (anglais, espagnol), nous sommes également habituées à la clientèle internationale auprès de laquelle nous intervenons régulièrement.
Plus que de seconder nos clients, nous sommes de véritables facilitateurs de projets.
Parce qu’une relation de confiance véritable et durable est essentielle, nous devons à nos clients la transparence la plus parfaite.
BARDOS (64) – Maison de style Basque, avec gîte indépendant
Clé de voûte de votre cuisine, l’évier est un investissement majeur pour la vie quotidienne. En plus d’être pratique et résistant, il se doit de s’harmoniser avec le style de votre cuisine.
Cela tombe bien, il en existe une multitude de modèles. Indispensable dans toute cuisine, l’évier n’est pas seulement un outil pratique et ergonomique, c’est aussi désormais un accessoire design qui met en valeur le plan de travail.
Et il existe autant de modèles qu’il y a de cuisines !
En granit, en inox, en grès ou en résine, encastrable ou à timbre d’office, il n’est pas simple de faire son choix tellement les possibilités sont vastes.
Voici un petit guide pour vous aider à trouver la meilleure option.
Encastrable, à poser ou timbre d’office
L’évier encastrable, que l’on insère dans le plan de travail découpé aux bonnes dimensions, est sans aucun doute le modèle le plus courant dans nos cuisines.
Il a l’avantage de pouvoir se poser où bon vous semble, même dans les angles, et de s’installer aussi rapidement que facilement.
Seul impératif à respecter : le rendre étanche avec un joint spécial afin d’éviter les infiltrations d’eau.
L’évier à poser, lui, est plus rare car pas forcément très esthétique, mais il est sans doute le moins cher du marché.
Il se pose sur un meuble bas sous-évier, et doit donc correspondre exactement à la taille du meuble qui lui sert de support.
Enfin, l’évier à timbre d’office fait un retour en trombe dans nos intérieurs !
Ce modèle vintage habille généralement les cuisines les plus spacieuses, qui disposent d’un grand plan de travail.
Il s’installe entre deux meubles afin de dévoiler son allure massive qui ne passe pas inaperçue.
La farandole des matériaux
Côté matériaux aussi, il y a de quoi contenter toutes les envies ! Particulièrement hygiénique, l’inox reste le symbole d’un style industriel et d’un design contemporain.
Il est cependant sujet aux rayures et aux traces d’eau tenaces, et ne conviendra donc pas aux plus maniaques des utilisateurs.
Pour un effet plus authentique, on misera sur le grès, durable, résistant à la chaleur, aux entailles et aux attaques chimiques. Il est inaltérable et garde sa couleur originelle.
Les éviers en céramique, eux, sont les plus répandus. Il est cependant conseillé d’opter pour de la porcelaine vitrifiée : sa composition est similaire à la céramique mais une couche translucide recouvre sa surface et augmente la résistance aux taches.
La vraie révolution se situe néanmoins dans le panel proposé par les matériaux de synthèse à base de résine.
Ce liant se marie avec différents éléments qui impriment leurs caractéristiques et créent des alliages divers : fibre de verre, sable, quartz ou poudre de granit.
Ces éviers sont de résistance et de qualité variables, mais présentent des avantages : entretien facile, résistance aux chocs thermiques et à la flexion. Un atout sur le long terme !
Un ou deux bacs ?
Si vous avez l’embarras du choix quant à la forme et au matériau de votre évier, vous l’aurez également quant à sa taille.
Que vous ayez une grande ou une petite cuisine, vous trouverez toujours votre bonheur parmi la pléthore de dimensions disponibles.
Pour compenser un manque de place, on optera pour un évier à un bac, idéal si vous n’avez qu’un usage limité de votre cuisine.
L’évier à deux bacs, lui, répond à des exigences plus pointues et siéra aux cordons-bleus qui ont besoin d’espace pour cuisiner.
Enfin, égouttoir ou non, c’est là un choix très personnel !
Ceci dit, les éviers qui en sont pourvus permettent de faire sécher la vaisselle et vous évitent la corvée d’essuyage.
Sésame incontournable pour n’importe quel projet d’agrandissement, d’extension ou de construction important, le permis de construire n’est pas toujours évident à décrocher.
Suivez nos conseils pour mettre toutes les chances de votre côté.
Sur le papier, la délivrance d’un permis de construire peut aller très vite.
En effet, le délai d’instruction est en principe de 2 mois pour une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres projets.
Encore faut-il présenter un dossier en béton pour éviter de voir la procédure traîner en longueur, ce qui est loin d’être aisé…
Connaître ses droits
Rappelons que l’obtention d’un permis de construire est indispensable à partir du moment où votre projet implique la construction nouvelle, même sans fondations, de plus de 20 m2 de surface de plancher ou d’emprise au sol, et ce, qu’il s’agisse d’agrandir votre maison (sauf exception dans certaines zones) ou d’y ajouter une annexe comme un garage.
De même, les très grandes piscines sont elles aussi concernées (abri de plus de 1,80 m de haut ou bassin de plus de 100 m2).
Dès lors, la construction projetée doit respecter les règles du plan local d’urbanisme, ou PLU, en vigueur dans la commune et qui encadre non seulement la nature des bâtiments mais aussi leur aspect extérieur.
Couleur de la façade, des volets ou encore type de matériaux de couverture à utiliser et degré d’inclinaison de la pente du toit peuvent notamment être dictés par le PLU.
Renseignez-vous donc dès le début de votre projet auprès de votre mairie ou consultez son site internet pour en prendre connaissance.
De même, la plateforme officielle Geoportail-urbanisme.gouv.fr recense bon nombre de PLU de communes, même s’ils ne sont pas encore tous en ligne.
Un dossier détaillé
Toute demande d’autorisation d’urbanisme, qu’il s’agisse d’une déclaration préalable de travaux ou d’un permis de construire, nécessite de constituer un dossier complet (en quatre exemplaires, sans compter des copies supplémentaires pour certaines pièces) réunissant un certain nombre de documents essentiels, faute desquels la requête aura tôt fait d’être rejetée.
L’objectif est en effet de donner les moyens à la municipalité d’évaluer si votre projet respecte bien les prescriptions locales. Il s’agit donc de décrire les matériaux prévus, les coloris, les hauteurs, le type d’implantation, etc.
Certaines pièces sont notamment obligatoires, à commencer par une notice décrivant le terrain et présentant le projet.
S’y ajoutent plusieurs documentations graphiques comme le plan de situation du terrain à l’intérieur de la commune, le plan de masse des constructions, le plan en coupe qui précise l’implantation du bâtiment par rapport au profil du terrain, le plan des façades et des toitures pour tous les projets, ainsi que des croquis ou simulations informatiques du projet et autres photos du terrain à même de le situer.
Attention : la mairie peut vous réclamer des pièces manquantes ou supplémentaires dans le mois qui suit le dépôt du dossier. Vous disposerez alors de 3 mois pour le compléter, sans quoi votre demande sera considérée comme rejetée.
Un affichage réglementé
Une fois l’arrêté de validation obtenu, il faudra encore installer un panneau d’affichage réglementaire sur votre terrain servant à informer le voisinage de votre futur chantier et laissant à toute personne s’estimant lésée un délai de 2 mois pour contester l’autorisation qui vous a été accordée.
Et mieux vaut pouvoir prouver que le panneau a bien été apposé dans les règles, sans quoi votre projet restera opposable pendant 6 mois après l’achèvement des travaux !
Pour éviter tout litige ultérieur, il est donc recommandé de faire appel à un huissier de justice pour établir un constat légal d’affichage dès l’installation du panneau effectuée.
Le recours à un pro de rigueur
Entre la lecture fastidieuse du PLU, règlement juridique peu compréhensible pour des néophytes, la complexité du dossier du permis de construire et le respect de délais légaux rédhibitoires, cette procédure administrative est particulièrement difficile à mener à bien pour les particuliers.
Pour mettre toutes les chances de son côté, mieux vaut donc déléguer ces tâches à un professionnel.
C’est notamment le rôle de l’architecte, dont le recours est de toute façon obligatoire au-delà de 150 m2 de surface de plancher.
En dessous de ce seuil, le propriétaire peut sinon mandater l’entreprise chargée de conduire le chantier pour effectuer la demande de permis.
Autre option : passer par une société spécialisée dans la facilitation des procédures légales à l’image de Permettez-moi de construire.
Depuis 2016, la start-up en ligne se propose en effet de prendre en charge l’intégralité du processus, depuis l’analyse des règlements d’urbanisme à la constitution du dossier ainsi que son envoi et jusqu’à la fourniture du panneau d’affichage pour que les travaux puissent commencer.
Mis en place fin 2020, le « Coup de pouce rénovation performante d’une maison individuelle » entend soutenir les ménages qui entreprennent des travaux énergétiques d’ampleur dans leur logement. On vous explique comment il fonctionne.
Vous avez acheté une maison ancienne nécessitant d’importants travaux de rénovation ?
Vous résidez dans une vieille bâtisse pleine de courants d’air et qui vous coûte les yeux de la tête à chauffer depuis des années ?
Plutôt que de vous contenter de petits travaux d’appoint, l’heure est peut-être venue de voir les choses en grand.
Bonne nouvelle, la prime « Coup de pouce rénovation performante d’une maison individuelle » peut justement vous aider à régler la facture du chantier.
55 % de gain énergétique
Ce dispositif a été mis en place en octobre 2020 dans le cadre des offres « Coups de pouce » qui consistent à bonifier les « primes énergie » versées par les fournisseurs d’électricité, de gaz et autres carburants aux particuliers pour la réalisation de leurs travaux de rénovation énergétique.
Partenariat gagnant-gagnant, ce sponsoring permet d’alléger la facture des ménages, tandis que les opérateurs peuvent ainsi remplir leurs obligations d’économies d’énergie vis-à-vis de l’État.
Alors que les autres primes ciblent un poste de chantier spécifique, cette formule entend inciter les propriétaires d’une maison individuelle à améliorer de façon globale leur habitation.
En effet, les travaux entrepris doivent permettre de diminuer la consommation d’énergie primaire – comprenez ici le chauffage, la climatisation et l’eau chaude – d’au moins 55 % par rapport au niveau relevé avant le chantier.
Un bouquet de travaux nécessaires
Pour y parvenir, il va falloir réaliser un bouquet de travaux déterminé par un audit énergétique préalable obligatoire.
C’est ainsi un spécialiste certifié RGE (reconnu garant de l’environnement) qui va se charger d’examiner votre demeure sous toutes les coutures afin d’en évaluer les caractéristiques énergétiques et thermiques, puis de préconiser les améliorations susceptibles de doubler sa performance énergétique.
Remplacement de votre chauffage par un modèle plus performant, remise à neuf de votre système de ventilation ou de l’eau chaude sanitaire, isolation des murs… de nombreuses solutions sont possibles. Bien entendu, il s’agit ici de suggestions que vous êtes libre d’accepter ou non.
Sachez toutefois que pour prétendre au « Coup de pouce rénovation performante », vous devez effectuer au moins deux travaux dont un qui doit concerner l’isolation, au choix, des murs, de la toiture ou des planchers bas, le tout en intervenant sur 75 % de la surface.
Des montants d’aides variables
Si tous les propriétaires de maison individuelle peuvent bénéficier de cette prime de rénovation globale, son montant varie toutefois en fonction de la nature des travaux réalisés et du niveau de ressources.
Pour les ménages modestes (27 896 € de revenu fiscal de référence pour un couple en région), la subvention doit au minimum s’élever à 300 € par mégawatt-heure (MWh) de consommation annuelle d’énergie finale économisée une fois la maison rénovée, lorsque le chantier a, entre autres, permis de remplacer un équipement au charbon ou au fioul.
Dans cette même hypothèse, les foyers plus aisés touchent pour leur part 200 € par MWh.
Par ailleurs, lorsque les travaux n’ont pas impliqué ce type de changement, l’aide atteint 250 € par MWh pour les particuliers précaires, contre 150 € par MWh pour les autres.
Enfin, un bonus supplémentaire s’applique lorsque le gain de performance énergétique s’accompagne d’un taux de chaleur renouvelable d’au moins 50 % dans la maison après chantier (le taux requis n’était que de 40 % avant mars 2021).
La prime est alors comprise entre 300 et 500 € par MWh selon le cas de figure.
Focus : le cas pratique
TotalEnergies, Oktave, Premium Energy, EDS Energies, ou encore Butagaz font partie des nombreux opérateurs à proposer le « Coup de pouce rénovation performante d’une maison individuelle ».
Et parce que rien ne vaut la preuve par l’exemple, Primesenergie.fr, lui aussi distributeur de l’offre, donne même un cas pratique sur son site.
Pour un coût de travaux (audit compris) évalué à 19 200 €, la prime peut ici atteindre 12 352 €, soit un reste à charge de 6 848 € qui peut encore être diminué grâce au cumul de l’aide avec le dispositif MaPrimeRénov.
Au final, le chantier revient ainsi à 2 170 € selon les estimations de l’opérateur.
Le conseil : avant de vous lancer, renseignez-vous auprès de la plateforme officielle Faire.gouv.fr au 0 808 800 700 (numéro non surtaxé) et faites plusieurs devis comparatifs.
Attention enfin aux mauvaises surprises puisque la prime peut prendre la forme d’un règlement pécuniaire ou d’un simple bon d’achat selon le fournisseur d’énergie.
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