Aérovoltaïque, le nouveau photovoltaïque

S’il se confond facilement avec le photovoltaïque, l’aérovoltaïque a l’avantage de chauffer et de ventiler l’habitat en plus de produire de l’électricité. C’est en revanche une installation coûteuse dont le rendement énergétique reste à améliorer.

Si le photovoltaïque est désormais une technologie bien connue et en constante progression depuis plusieurs années, l’aérovoltaïque s’impose comme le petit nouveau en matière d’énergie solaire. Ce système hybride combine l’efficacité des panneaux photovoltaïques et thermiques pour à la fois produire de l’électricité et chauffer l’habitat. Cette innovation a ainsi pour prétention d’exploiter 80 % du potentiel solaire au lieu de 20 % pour le photovoltaïque seul. Une solution intéressante mais qui reste encore très coûteuse…

Un système deux en un

L’aérovoltaïque permet de fournir de l’électricité dans la maison, mais également de récupérer l’énergie thermique produite par les rayons du soleil pour chauffer l’habitation. Avec cette méthode, les deux faces du panneau solaire sont optimisées pour multiplier ses performances. Ainsi, elle permet d’augmenter la production d’électricité de 10 % par rapport à un équipement photovoltaïque classique. Elle offre aussi un système de rafraîchissement de l’air l’été, car elle combine les fonctions de chauffage et de climatisation. Enfin, cette technologie permet de ventiler l’habitat et de le purifier, en filtrant l’air extérieur insufflé à l’intérieur du logement.

À quel prix ?

Si l’aérovoltaïque est un système tout-en-un plutôt intéressant pour réduire sa facture énergétique, c’est toutefois une installation très coûteuse, bien plus d’ailleurs que le photovoltaïque.

Le prix correct de cet aménagement oscille entre 15 000 et 18 000 € TTC pour des panneaux offrant 3 kWc (kilowatt-crête, l’unité de mesure de ces kits solaires), environ 24 000 € pour un 6 kWc et 40 000 € pour un 9 kWc. Évidemment, tout dépend ici du matériel posé, des difficultés liées à l’installation et des entreprises qui sont encore très peu nombreuses à proposer ce type de panneaux solaires, et donc très peu compétitives.

Quelle rentabilité ?

Tout comme le photovoltaïque, la rentabilité de votre équipement aérovoltaïque va d’abord dépendre de votre lieu d’habitation. En effet, la production d’énergie sera plus performante si votre maison bénéficie d’un ensoleillement important tout au long de la journée et de l’année.

De même, l’isolation de votre habitat va beaucoup jouer : les logements anciens ont davantage tendance à minimiser les effets bénéfiques de ce type d’aménagement, à l’inverse des logements neufs ou rénovés répondant aux normes RT2012.
Quant à l’aspect financier, l’Ademe a réalisé une étude démontrant que les économies pour le chauffage sont seulement de 3 à 10 % pour les maisons anciennes et jusqu’à 27 % dans le neuf. Aussi, il ne faut pas vous attendre à rentabiliser votre investissement avant sept ou huit ans après la pose des panneaux solaires.
Il faut donc bien penser l’aérovoltaïque comme un système complet qui permet de faire des économies d’électricité et de chauffage, mais surtout qui offre en supplément une meilleure qualité de l’air intérieur et un effet de climatisation l’été. Si seules les performances énergétiques vous intéressent, il est plus judicieux de se tourner vers le photovoltaïque, moins cher et plus compétitif à l’heure actuelle.

Un équipement éligible au crédit d’impôt

Depuis 2014, le photovoltaïque ne bénéficie plus du crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE). Ce n’est heureusement pas le cas pour l’aérovoltaïque qui vous permet de déduire de votre impôt sur le revenu une partie des dépenses engagées pour l’installation de cet équipement. En revanche, le montant maximum accordé est de 1 200 € jusqu’à la fin de l’année 2019. Une somme très modique pour un aménagement qui coûte plusieurs milliers d’euros…

Lire aussi : Bien entretenir sa cheminée ; Réchauffer son intérieur ; Bien régler son climatiseur ; Poêles Granuleco ; Chauffage : les équipements les plus économiques

Feuilletez le mag n°18

Automne hiver 2019/2020

Idées au logis

Retrouvez ici tous les articles du magazine Idées au logis : magazine haut de gamme semestriel gratuit, dédié à la construction, à l’aménagement intérieur, extérieur et à la décoration au Pays Basque et dans les Landes. Une sélection des tendances habitat, des meilleurs artisans et commerçants du Pays Basque et des Landes.

Retrouvez nos magazines dans nos nombreux points de diffusion (lien à ajouter vers la carte de diffusion bientôt présente sur le site Caméléon communication)ou sur abonnement.

Décoration et habitat Pays Basque et Landes

Aménagement extérieur, paysagiste, terrasse, piscine, spa, stores, véranda Pays Basque et Landes

Aménagement intérieur, meubles, cuisine, dressing, peinture, chauffage, climatisation, carrelage Pays Basque et Landes

Construction maison Pays Basque et Landes

Lire aussi : Magazine n°19 ; Magazine n°18 ; Feuilletez le Magazine N°17

Feuilletez le Magazine N°17

Printemps été 2019

Décoration et habitat Pays Basque et Landes

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la cabane aux grillades

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Quels matériaux pour mon bardage ?

BARDAGE BOIS

Le bardage est un parement extérieur ou intérieur qui isole, protège et embellit l’habitation. Les matériaux employés sont nombreux et dépendent du projet et du budget de chacun. Petit tour d’horizon.

Si sa première fonction est d’isoler et de protéger du froid, des UV, des intempéries et des chocs, le bardage est également un élément de décoration à part entière. Le matériau à utiliser ne sera pas le même pour l’aménagement d’un toit-terrasse ou pour la rénovation d’une façade.

Pour se décider, on prendra en compte certains critères, en commençant par la performance : quelle isolation thermique et quelle longévité souhaitons-nous obtenir ? Quel est l’effet esthétique recherché, moderne ou authentique ? Au niveau de l’entretien, est-on prêt à investir du temps et de l’argent pour prendre soin d’un matériau particulier ou choisit-on la facilité ?

Enfin, le coût peut varier énormément en fonction des matériaux mais aussi des accessoires et de la technicité de la pose. Verticale, horizontale, oblique, emboîtée ou à claire-voie, voici tout ce qu’il faut savoir…

Le bardage en bois : traditionnel et varié

Très employé par nos ancêtres mais aussi dans les pays nordiques et certaines régions des États-Unis, le bardage en bois est plus que jamais dans l’air du temps. Écologique et recyclable, il minimise l’empreinte carbone et charme par son authenticité. Un toucher chaleureux, des couleurs et des veinages uniques apportent beaucoup d’originalité et de naturel à la maison, qui se veut à la fois traditionnelle et contemporaine. Faisant le bonheur des architectes, il se décline sous plusieurs formes : en clins, en panneaux ou en bardeaux. Il peut être massif, contrecollé ou un dérivé de la matière brute. On a le choix entre de nombreuses essences de bois, aux aspects et aux propriétés variées, qui sont répartis en cinq classes d’emploi, du plus fragile au plus résistant. Par exemple, l’épicéa, le Red Cedar, le pin douglas, le pin maritime, le peuplier, le mélèze ou le châtaigner, tous de classe 4, supportent un taux d’humidité supérieur à 20 % et sont donc à privilégier pour les façades exposées au nord, tout comme le teck, star des aménagements extérieurs.
Selon son essence, le bois est bon marché et accessible. Idéal pour un intérieur cosy type chalet, il nécessite en revanche un entretien régulier, surtout à l’extérieur.

Le bois composite et le PVC : modernes et pratiques

Conçu avec des essences de bois associées à des résines ou d’autres matériaux, le composite est ultrarésistant et imputrescible. Offrant une large gamme de couleurs, il ne grisera pas avec le temps et résistera très longtemps.
Attention toutefois à privilégier les produits sans composé chloré ou composés organiques volatils, cancérigènes et polluants, pour préserver l’environnement !
Pour isoler et looker l’intérieur de la maison, optons pour le PVC ou le polystyrène. À coller directement au mur ou à poser sur une armature, ils offrent un large choix de coloris et de motifs. Leur poids plume est également parfait pour faire un faux plafond. Dehors, le PVC a plusieurs avantages : moins onéreux, il est facile à poser et ne nécessite aucun entretien.

L’acier, la terre et les autres

Pour un aspect design et contemporain, on peut se tourner vers l’acier galvanisé, de plus en plus utilisé dans les constructions modernes.

Décliné en plusieurs formes – plaques, tôles planes ou nervurées — et en de nombreux coloris, il est très résistant aux intempéries, aux UV et est ultra-durable dans le temps. Les moins : relativement cher, il peut être bruyant par temps de pluie battante et se marie mal avec les maisons anciennes.
Pour un effet naturel et ancien, citons entre autres le bardage en terre cuite, peu utilisé mais naturel et résistant au gel et au feu, le bardage en pierre naturelle (basalte, marbre, ardoises) absolument superbe ou encore le bardage en béton, moins esthétique mais très isolant.

Bien protéger son bardage

Le bois non traité grise toujours avec le temps. Si l’on veut garder la même nuance, on peut le traiter tous les deux à quatre ans avec une lasure incolore ou légèrement teintée qui maintient la couleur naturelle. On peut également protéger le bardage avec une peinture extérieure. Un traitement contre la rouille est obligatoire pour l’acier. La pierre et la terre cuite ne nécessitent quant à eux pas d’entretien particulier. Enfin, avec l’arrivée des produits composites, on a une meilleure résistance aux UV et aux intempéries.

Lire aussi : Quel toit ? ; Durou & fils ; Assurance ; Cocoynacq ; Quel portail

Entreprise du Paysage Pépinière Brethes

Confiez-nous votre jardin et vos espaces verts Particuliers – Professionnels – Communes

Notre métier et notre savoir-faire depuis 38 ans !
L’aménagement de vos espaces verts.

Ce qu’il faut savoir

Là, vous trouverez certes des plantations pour parcs et jardins, à destination de particuliers comme de professionnels, mais aussi des arbres, des arbustes, des conifères, des plantes, exotiques ou pas, des rosiers, des terres de bruyère, n’en jetez plus. En tout quelque 500 variétés déployées.

Dotés de la main verte, c’est assurément un paradis verdoyant qui s’ouvre à vous ici. Le tout, comme ils disent « à prix logique », c’est-à-dire sans le coup de bambou, mais d’une qualité certifiée.

Le plus, c’est la qualification de « paysagiste », susceptible d’aménager vos parcs et jardins, airials, abords de piscines, avec élégance et savoir-faire. Tout le talent de l’artisan, dont on relève ici le socle commun étymologique avec celui de l’arti-ste

Un parfum de roses, sans les piquants

Didier Brethes propose à ses clients la création et l’entretien des aménagements extérieurs : jardins, parcs, espaces verts. Nos professionnels de la pépinière assurent tous vos travaux de plantation d’arbres, fleurs, etc. Nous réalisons la taille de haies pour vos jardins chez les particuliers.

En véritable paysagiste, nous vous conseillons et réalisons vos aménagements extérieurs. Venez nous rendre visite à Benquet dans les Landes.

Clientèle Particulier · Collectivité · Commune
Zone commercial · Habitat Collectif

À la pépinière, vous retrouverez un assortiment unique d’arbres d’ombres, fruitiers, à fleurs, conifères, arbustes, plantes de terre de bruyère, rosiers, arbustes méditerranéen : oliviers, palmiers. Pour en savoir plus sur nos productions et nos aménagements de jardins et de parcs, Cathy et Didier vous conseillent pour l’achat de vos végétaux. Vous découvrirez nos productions en plein air.

Pépinières Brethes
56 Chemin des Oiseaux
BENQUET – 06 08 31 99 50
www.pepiniere-brethes-paysagiste.fr
pepinieresbrethe@orange.fr

Lire aussi : Un potager d’intérieur ; Envie de jardin au printemps ; Paysagiste Pépinière Brethes

Maisons d’en France

Depuis 1986, Maisons d’en France Sud-Ouest, est devenu un acteur incontournable de la construction dans les Landes et le Pays Basque.

Réputé pour son savoir-faire et son expertise terrain, Maisons d’en France Sud-Ouest saura vous accompagner quel que soit votre projet.

Artisans et fournisseurs locaux fidèles depuis plus de 30 ans. Un réseau de professionnels reconnu pour leur savoir-faire, leur sérieux et leur professionnalisme.

Des maisons personnalisées, traditionnelles, contemporaines, adaptées à tous les budgets avec des matériaux de qualité.

Un suivi assuré par une équipe de conducteurs de travaux compétents. Une équipe de concepteurs créatifs vous garantissant réactivité dans l’étude de votre projet.

Un prix ferme et non révisable, contrat de construction réglementé, le CCMI vous garanti la possibilité de construire l’esprit tranquille.

Faire construire avec Maisons d’en France, c’est :

· Être accompagné tout au long de votre projet par un interlocuteur unique
· Bénéficier de la meilleure offre et des dernières innovations selon votre projet
· Disposer d’une maison à prix et délai convenus
· Être couvert par + de garanties
· Profiter du savoir-faire de constructeurs implantés en région et de leur réseau d’artisans

64 Rue Neuve
DAX – 05 58 56 30 40

37, Rue du Pont Neuf
CASTETS – 05 58 35 50 30

2 Rue du Presbytère
LABENNE – 05 24 33 82 90

www.maisonsdenfrance-dax.fr

Lire aussi : Créateur de Maisons à Vivre… ; L’Atelier V ; Maison d’en France

Conseils d’expert pour bien régler son climatiseur

En été, régler convenablement sa clim est essentiel pour des raisons de confort thermique comme pour des questions de consommation énergétique. Ce réglage peut toutefois s’avérer un véritable casse-tête. Vous vous réjouissez des beaux jours qui arrivent… mais pas des températures caniculaires. Il fait si chaud que vous passez vos mois d’été cloîtré à l’intérieur, prostré sur le canapé et volets fermés.

Un système de climatisation peut alors être une solution efficace… à condition de bien savoir le faire fonctionner. Suivez les recommandations de notre expert pour optimiser l’efficacité de votre climatiseur et garder votre maison fraîche malgré la chaleur estivale.

Quel appareil choisir ?

Avant même de s’intéresser aux réglages, il convient de choisir un climatiseur adapté à son logement et à ses besoins. L’un des éléments déterminants est de sélectionner le bon dimensionnement selon la taille de la pièce à climatiser.

« Généralement, pour une hauteur sous plafond standard de 2,50m avec une isolation de type années 1980-1990, on prend une puissance d’environ 80 watts par m2 » recommande Joachim Pommeret. Par exemple, pour une chambre de 10 m2, mon appareil doit pouvoir restituer 800 watts. Si l’on choisit un appareil moins puissant, on lui en demandera trop et il va s’user prématurément. Idem avec un climatiseur trop puissant, qui se mettra en permanence en arrêt, ce qui finira par l’endommager. « En revanche, dans les maisons récentes qui, construites selon les normes de la RT2012, sont donc mieux isolées, on sera plutôt sur un ratio de 40 à 50 watts par mètre carré ». Autres paramètres à prendre en ligne de compte : l’exposition du bâtiment et la surface vitrée. Dans une pièce de style véranda, le soleil va taper plus fort et il faudra donc un appareil plus puissant.

Quelle est la température idéale ?

Trop souvent, les usagers règlent leur climatiseur sur l’option la plus froide possible, sans se soucier de la température extérieure.

Cette erreur très commune peut avoir des conséquences sur votre bien-être mais aussi sur votre consommation d’énergie et donc votre facture.

Le bon réglage ? « En journée, on évite d’avoir un décalage de plus de 6 ou 7 degrés par rapport à l’air extérieur », explique Joachim Pommeret. « Cela permet d’éviter un changement trop brutal ».

Ainsi, s’il fait 35 °C dehors, on règle notre climatiseur au plus froid sur 28 °C. Mieux vaut ne pas risquer un choc thermique désagréable et gâcher vos vacances d’été avec un gros rhume ! La nuit, même s’il est difficile de dormir lorsqu’il fait trop chaud, on évitera de programmer son appareil en dessous de 3 ou 4 degrés par rapport à la température extérieure. Cela suffira à vous assurer un bon confort.

Où placer mon climatiseur ?

possible, la circulation de l’air ne doit pas être entravée. On ne place donc pas de meuble – bibliothèque, placard… – devant son climatiseur pour ne pas gêner la diffusion du froid.

Enfin, même si cela semble évident, veillez à bien fermer vos portes et ouvertures lorsque vous allumez votre climatiseur. Sinon, cela reviendrait littéralement à jeter votre argent par les fenêtres !

Lire aussi : Bien entretenir sa cheminée ; Réchauffer son intérieur ; Bien régler son climatiseur ; Poêles Granuleco ; Chauffage : les équipements les plus économiques

L’éco-prêt à taux zéro voit plus grand 

Pour inciter les ménages à calfeutrer leur logement et à en finir avec les courants d’air, l’État a renforcé le dispositif de l’éco-prêt à taux zéro.

Tour d’horizon des changements

À chaque nouvelle loi de finances, ses ajustements de dispositifs existants. Et la mouture 2019 ne fait pas exception à la règle ! Entre autres modifications, le législateur a notamment prorogé l’éco-prêt à taux zéro, dit éco-PTZ, jusqu’en 2021. L’occasion, au passage, d’élargir un peu plus ce crédit à taux nul destiné à financer vos travaux de rénovation énergétique. On fait le point.

Les bénéficiaires potentiels

À l’inverse d’une kyrielle de subventions soumises à des conditions de ressources, l’avantage de ce programme est qu’il est ouvert à tous les propriétaires, occupants ou bailleurs, indifféremment de leurs revenus. Même les copropriétaires y ont droit depuis 2014, à travers l’octroi d’un prêt collectif.

Quant aux foyers modestes, ils peuvent coupler les aides du programme « Habiter mieux » de l’Agence nationale de l’habitat avec un microcrédit accompagné, afin de financer à un taux nul le reste à charge de leurs travaux. Enfin, l’éco-prêt peut aussi se cumuler avec le crédit d’impôt transition énergétique.

Côté logement, en revanche, il s’agit ici de cibler les habitations les moins bien isolées et par conséquent les plus anciennes. C’est pourquoi l’éco-PTZ ne concernait jusqu’à présent que les résidences principales construites avant 1990. Mais c’était compter sans la loi de finances pour 2019 qui met ce principe aux oubliettes ! À compter du 1er juillet 2019, ce dispositif sera ouvert « à tous les logements achevés depuis plus de deux ans ».

Moins de travaux à prévoir

Le point le plus fâcheux de l’éco-prêt concerne le chantier. Pour bénéficier de ce coup de pouce, les ménages avaient auparavant trois possibilités.

D’abord, réaliser un bouquet de travaux, en combinant au moins deux des six catégories suivantes : isolation thermique de la toiture, des murs donnant vers l’extérieur, des portes et des fenêtres, installation ou remplacement d’un chauffage, d’une production d’eau chaude sanitaire ou d’un système utilisant les énergies renouvelables.

Seconde option : choisir d’atteindre un certain niveau de « performance énergétique globale ». Il s’établit à 150 kWh/m² par an si votre consommation d’énergie était de plus de 180 kWh/m² annuels avant chantier ou de 80 kWh/m² par an si elle était de moins de 180 kWh/m².

Dernière possibilité : procéder à des travaux de réhabilitation du système d’assainissement non collectif par des dispositifs ne consommant pas d’énergie.

À partir du 1er mars 2019, la condition de bouquet de travaux est cependant supprimée ! La réalisation d’un seul de ces chantiers permet donc également de prétendre à cette aide.

De plus, dès le mois de juillet, l’isolation des planchers bas sera elle aussi prise en compte.

Dans tous les cas, rappelons qu’il faut faire appel à une entreprise labellisée RGE (« reconnu garant de l’environnement ») pour réaliser ces rénovations.

La question du remboursement

Le montant de ce crédit à taux nul peut atteindre 30 000 € maximum. Et alors qu’il fallait le rembourser sur dix ou quinze ans, la durée d’emprunt sera uniformisée à quinze ans pour tous les éco-prêts en juillet. La demande peut d’ailleurs être faite en même temps que celle d’un crédit classique visant à acheter un logement ancien. La proposition d’éco-PTZ de la banque sera alors intégrée à l’offre globale.

Bien qu’un seul éco-prêt puisse être accordé par logement, rappelons enfin qu’il est possible d’obtenir une enveloppe de financement complémentaire lorsque le premier chantier était d’un montant moindre que le plafond légal.

Néanmoins, à partir de juillet, il faudra attendre cinq ans, et non plus trois, après la fin des travaux précédents pour y prétendre.

À savoir : pour tout renseignement, vous pouvez contacter un conseiller de la plateforme officielle Faire (anciennement Rénovation info service) au 0 808 800 700 (prix d’un appel normal).

Lire aussi : Adresses utiles ; Éco-prêt

Psycho test : Avez-vous la main verte ?

Plantes et fleurs habillent nos intérieurs, nos terrasses ou nos jardins et nombreux sont ceux qui les trouvent esthétiques ou même relaxantes. Mais pour en posséder, encore faut-il être capable d’en prendre soin. Avec ce test, découvrez si vous avez la main verte…

Gardening - Gardener Planting Pansy With With Flowerpots And Tools

1/ Vous êtes plutôt…
A/ Salopette et chapeau de paille
B/ Jean boy-friend et chapeau melon
C/ Jupe crayon et lunettes de soleil

2/ Dans votre salon, il y a…
A/ Cinq grands pots en terre cuite contenant des plantes vertes
B/ Deux petits pots de fleurs en plastique
C/ Un bouquet de fleurs dans un vase en verre

3/ Quand vous occupez-vous de vos plantes d’intérieur ou de votre jardin ?
A/ Tous les jours
B/ Tous les week-ends
C/ Deux fois par mois, voire moins

4/ Quel jardin vous fait le plus rêver ?
Choisissez parmi ces 3 images.

5/ Vous préférez que vos mains soient en contact avec…
A/ De la terre
B/ De l’eau
C/ Des cailloux

6/ Pour votre anniversaire, vos proches vous offrent un bonsaï de votre âge…
A/ Je cherche toujours la place idéale pour ce petit trésor !
B/ Quelle belle attention, c’est original !
C/ J’aurais préféré qu’ils m’invitent au restaurant !

7/ Dans votre jardin, que ressentez-vous ?
A/ De la joie
B/ De la sérénité
C/ De l’ennui
8/ Quel salon préférez-vous ?
Choisissez entre ces 3 images…

9/ Parmi ces trois mots, lequel décrit le mieux une plante pour vous ?
A/ Vie
B/ Nature
C/ Forêt

10/ Lors d’un voyage en Chine, vous découvrez une nouvelle variété de fleurs…
A/ Je les admire longuement, malheureusement, elles risquent de ne pas survivre dans mon jardin
B/ J’achète ces fleurs en magasin pour les planter dans mon jardin
C/ Je prends ces fleurs en photo, elles sont jolies tout de même

11/ Les plantes, vous les préférez…
A/ Dans la terre
B/ Dans un pot
C/ En plastique

12/ Le sol idéal dans un jardin, c’est…
A/ Du gazon naturel
B/ Un plancher naturel
C/ Du gazon synthétique

Vos résultats

Majorité de A : Vous avez la main verte !
Les plantes n’ont absolument aucun secret pour vous. Non seulement vous aimez prendre soin de la végétation, mais, en plus, vous avez un feeling indéniable pour faire pousser vos protégées et les aider à s’épanouir. Vous ne laissez périr aucune de vos petites merveilles et toutes se portent le mieux du monde. Aucun doute, vous êtes fait(e) pour cela.

Majorité de B : Vous aimez les plantes, mais elles ne vous le rendent pas !
Vous aimez profondément la nature et la zénitude qu’elle vous procure. Pourtant, même si vous appréciez la compagnie des plantes, celles-ci ne vous rendent pas toujours le fruit de vos efforts. Malgré tous vos soins, vous maîtrisez mal l’art du jardinage et rencontrez toutes les difficultés du monde à faire fructifier votre petit lopin. Un conseil, misez sur les variétés robustes, comme les cactus et les succulentes qui demandent très peu de soins.

Majorité de C : Pas le moindre atome crochu entre vos plantes et vous !
Vous n’aimez pas vous occuper de votre jardin. La nature, c’est sympa, mais vous vous ennuyez vite parmi tous ces végétaux immobiles et muets. Vous ne voyez pas l’intérêt de passer des heures à jouer du sécateur. Vous préférez occuper votre temps autrement, et c’est votre droit. Les fleurs ne vous en voudront pas, elles doivent être aimées pour être bien soignées. Rassurez-vous, il y a d’autres moyens de profiter de la nature, en se baladant par exemple !

Une terrasse façon hacienda

Avec les beaux jours qui s’annoncent, on a tous envie de chaleur et d’exotisme.

Et si, pour pousser le rêve jusqu’au bout, on donnait à la terrasse un air d’hacienda venu tout droit d’Amérique latine ?

Terrasse façon hacienda - Mexican flower garden

Le style hacienda, inspiré des grandes maisons ou exploitations agricoles hispaniques, est tout sauf sobre. À la fois festif et convivial, il invite, par un jeu habile de couleurs joyeuses et d’imprimés graphiques, au farniente et aux longues soirées estivales entre amis.

Un esprit coloré et muy caliente qui donne envie de chevaucher à travers les grands espaces américains, histoire de se sentir bien sans aller trop loin…

Les couleurs sont partout

Pour faire venir le Mexique jusqu’à nous, rien ne vaut une décoration épicée. Le travail des couleurs est donc primordial. Vives, chaudes et gaies, elles doivent inspirer le bonheur de vivre, la chaleur et le soleil. On mise donc sur un camaïeu de tons ocre et orange. Le terra cota, le fuchsia, le jaune ou encore le vert sont les teintes de prédilection. La couleur est partout : sur les murs, les coussins et les cache-pots. Les tapis sont multicolores et rayés, les tissus se parent de motifs ethniques et aztèques ou encore de fleurs brodées au format XXL.
Dernière astuce : quand on reçoit du monde, on n’oublie pas de choisir une vaisselle adéquate ! Elle doit être dans le même esprit, colorée et stylée.

Des matières naturelles

Pour un esprit rustique, le naturel s’invite dans l’hacienda. Le mobilier est en bois brut ou en rotin, une matière naturelle et intemporelle qui vieillit plutôt bien au fil des années. Directement inspirés de l’artisanat des peuples latino-américain, les accessoires tressés à la main sont ultra-tendance.

Paniers, corbeilles et tenates traditionnelles sont réalisés en rotin, en osier ou en bambou. Naturels ou colorés, ces rangements esthétiques et pratiques rappellent le savoir-faire ancestral de toute une culture.
En outre, le mélange de matériaux bruts donne le ton : les pierres, le bois, la terre cuite, le métal non peint et les carreaux de faïence s’invitent sur la terrasse.
le sol sont de mise. On n’hésite pas non plus à mixer les éléments de mobilier de jardin colorés : plus il y a de vie, mieux c’est !

Pour végétaliser le tout, on agrémente l’espace de cactus et autres plantes grasses typiques du climat désertique. Au niveau du sol, le charme authentique des azulejos, ces carrelages de faïence artisanaux décorés de motifs géométriques ou figuratifs, donnera du cachet à l’espace. Pour une ambiance plutôt ranch, on opte pour le bois et quelques tapis chatoyants. On peut aussi miser sur un parterre de pierres et autres graviers blanchis, qui réfléchiront la lumière du soleil !

Comme au Mexique

Pour donner à sa terrasse une allure de patio mexicain, on peut ajouter des objets typiques du pays. On apportera ainsi un peu de la chaleur du désert et des mythes du pays avec des sombreros et des calaveras, ces petits crânes colorés emblématiques du jour des morts et de la culture mexicaine.

Si le style hacienda s’inspire majoritairement de la culture hispanique, il emprunte certaines influences américaines à l’esprit western et ranch.

On peut ainsi accrocher au mur un crâne de buffle ou un piège à rêve en macramé. On n’oublie pas de s’aménager des zones d’ombre avec des voiles tendues ou des pergolas en canisses.

Pour donner un côté intimiste aux soirées d’été, de petites lanternes ou des guirlandes lumineuses, en forme d’ananas par exemple, seront du plus joli effet. Bienvenido a casa !

Lire aussi : Un potager d’intérieur ; Envie de jardin au printemps ; Tendances outdoor de l’été ; Paysagiste Pépinière Brethes ; Une terrasse façon hacienda

Un studio dans le jardin pour les amis

Les constructions modulaires ont le vent en poupe !

Grâce à ces studios en kit, vous pouvez ajouter une dépendance à votre logement en un tour de main, pour y installer un bureau, une chambre d’ami ou une chambre d’hôtes.

GreenKub, société spécialisée, dresse le profil des adeptes de cette solution.

Plutôt que d’entreprendre de lourds travaux de construction, les propriétaires en manque de place peuvent opter pour une alternative plus économique : la construction modulaire.

Le concept : un local préfabriqué et parfaitement isolé, qu’il ne vous reste plus qu’à monter. Qui sont les clients de ce genre d’alternative ? C’est ce qu’a voulu savoir GreenKub, une entreprise spécialisée dans les constructions modulaires en bois.

D’après cette enquête, 47,5 % des acheteurs ont entre 45 et 60 ans, période transitoire durant laquelle la maison est souvent surpeuplée.

Alors que toutes les chambres du domicile sont déjà occupées, ce studio indépendant monté dans le jardin permet avant tout d’héberger des amis ou de la famille dans plus de 43 % des cas.

Dans une moindre mesure, il peut aussi servir de bureau ou être loué à l’année.

Un investissement réalisé le plus souvent sans crédit.

Et pour cause puisque Greenkub promet un coût 60 % moins cher qu’une extension classique.

Lire aussi : Le retour en vogue du bois ; Quel toit ? ; Charpente Cocoynacq ; Scierie Graciette Bois40 ; Quand le rondin fait la déco

Tout savoir sur la baignade BIOlogique

Pour ne plus sortir de l’eau les yeux rougis et le corps plein de démangeaisons, immergez-vous dans une baignade biologique. Se dispensant de tout adjuvant chimique, ces bassins naturels ont seulement recours au pouvoir filtrant des plantes.

Comment ça marche ?

Pour beaucoup, se baigner en milieu naturel promet des sensations inégalables. Seulement, entre le spectre de la pollution, la prolifération des algues ou tout simplement les difficultés d’accès à l’eau, le plaisir promis par cette immersion tourne trop souvent à la déception. La piscine incarne en comparaison une alternative beaucoup plus sûre, choisie par de nombreux foyers. Toutefois, la liste des produits chimiques nécessaires pour maintenir le parfait équilibre de ce bouillon de culture soulève immanquablement la question de la nocivité. Dans ces conditions, la moindre des prouesses de la baignade biologique est de parvenir à concilier bonheur des bains à volonté et espace totalement purifié. Cette union du naturel et de l’artificiel est autorisée par divers aménagements techniques et une maîtrise de la flore, tenue pour agent filtrant.

Par l’intermédiaire de quelques plantes soigneusement sélectionnées, la baignade biologique s’éloigne de la palette des biocides formant l’ordinaire des piscines classiques pour mieux se rapprocher du modèle de l’étang. Une étendue d’eau qui, si elle intègre effectivement sa zone verte, a été entièrement repensée. Ainsi, la baignade biologique se divise-t-elle en plusieurs parties.
La première, très importante pour les nageurs, est dévolue à la baignade. Un muret la sépare de la zone de filtration. C’est ici que l’eau est régénérée naturellement, via un ensemble de plantes aquatiques. Ce semis comprend des variétés qui vont se nourrir des impuretés en suspension dans l’eau, tel le jonc ou le roseau, tandis que d’autres auront une vocation uniquement décorative. Une troisième zone, dite « de régénération », est accolée aux deux premières.
Sa fonction est d’oxygéner l’eau avant que celle-ci ne rejoigne le bassin de baignade. En plus des indispensables pompes et autres jets, ces espaces peuvent être complétés de divers appareillages, tels que des filtres spécifiques, afin de conserver l’eau la plus pure possible.

Combien ça coûte ?

Pour être opérationnelle, une baignade biologique ne réclame guère plus d’investissements qu’une piscine classique. Elle ne demande pas non plus beaucoup plus d’espace, puisqu’elle occupe une fois et demie la superficie de ses homologues moulés ou bétonnés. Cette spécificité fait de ce concept une solution tout à fait adaptable aux particuliers. Par extension, pas besoin d’être localisé en rase campagne pour profiter de ces bassins, de nombreux modèles ayant d’ailleurs été aménagés en zone urbaine.

Ceux-ci peuvent au demeurant adopter toutes les formes possibles, depuis le modelé de la piscine classique jusqu’à des architectures beaucoup plus singulières. Si elle attire naturellement toute une faune sympathique, à l’instar des grenouilles et autres crapauds, l’entretien d’une piscine biologique en appelle davantage aux joies du jardinage qu’aux vicissitudes de l’apprenti chimiste. Il est en effet nécessaire de maintenir l’équilibre de ces piscines bio, afin d’y préserver une eau limpide et une flore prospère, soit autant de preuves de la bonne santé de cet espace.

En conclusion, si la baignade biologique offre les mêmes avantages que la piscine, elle assure en retour un plaisir supplémentaire, celui de la pureté, allié à une satisfaction esthétique et au plaisir d’entretenir son petit écosystème…

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Les piscines Roche ; Les piscines Courrej ; Un fond mobile pour ma piscine ; Quand les piscines sont à la mode ; Tout savoir sur la baignade BIOlogique

Cuisine, exit les poignées

Toujours plus minimalistes et ergonomiques, les cuisines se débarrassent du superflu pour ne conserver que l’essentiel.

La dernière tendance ? Les placards sans poignées pour gagner en confort et en esthétisme.

La tendance des cuisines ouvertes à l’américaine a permis aux fabricants de revoir totalement le design de ces dernières.

Puisqu’elles sont désormais décloisonnées et intégrées au salon ou à d’autres pièces de la maison, il a fallu épurer leur style tout en conservant le côté pratique et ergonomique.

Dans cette optique, les cuisines sans poignées sont désormais légion. Les portes de placards se dénudent et se font plus discrètes tout en restant très fonctionnelles.

Pour un design totalement épuré

Ouverte sur le séjour ou la salle à manger, la cuisine est désormais une pièce à vivre multifonctions, où les frontières entre les différents espaces se floutent.

Pour accompagner cette modernité, les placards de cuisine se font sobres et les poignées s’effacent. Résultat, le mobilier est en parfaite harmonie avec le reste de la décoration pour un ensemble cohérent et épuré. Ces cuisines nouvelle génération apportent une touche de fraîcheur à nos intérieurs.

Dotés d’un système poussoir ou d’une ouverture électrique, ces placards sans poignées permettent de ne pas encombrer le design de la cuisine et d’afficher des lignes pures. Un style minimaliste qui accompagne des surfaces lisses et se débarrasse du superflu.

Un système ergonomique

Outre ses atouts esthétiques, la cuisine sans poignées a aussi des qualités ergonomiques. En simplifiant l’ouverture et la fermeture du mobilier, elle apporte un confort optimal et un gain de temps appréciable pour ceux qui passent beaucoup de temps derrière les fourneaux.

C’est aussi beaucoup plus hygiénique. Pour actionner l’ouverture des placards, il existe deux systèmes : un « push-pull » qui s’actionne d’une simple pression sur la porte. Il s’agit d’un mécanisme invisible, inséré directement dans les tiroirs ou les armoires. Seul bémol : ici, les façades du mobilier seront particulièrement sensibles aux traces de doigts et nécessiteront un nettoyage régulier.

Second système : l’ouverture électrique qui consiste à installer à l’intérieur du meuble un bras électrifié qui ouvre la porte à votre place. Une option très utile et pratique lorsqu’on a les mains prises !

Dans tous les cas, avant de vous lancer dans l’achat de ce type de mobilier, pensez à vérifier que la configuration de votre cuisine dispose d’assez de place…

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Le retour en vogue du bois

Écologie, authenticité et naturel ont permis au bois de faire son grand retour dans notre décoration. Si la tendance scandinave et ses bois clairs sont en bout de course, les essences foncées et brutes font un carton.

Vague écolo, envie d’un retour au naturel ou overdose de plastique et de métal, le bois fait un retour fracassant dans toutes les pièces de la maison. Exit cependant le bois blanc et le style scandinave, la tendance est aux essences sombres et brutes.

Débarrassées de leur rusticité, elles inspirent désormais les designers et les artisans inscrits dans la mouvance du « slow design ».

Relégué au rayon des antiquités, le bois a longtemps été boudé au profit de matières plus innovantes et plus contemporaines.

Aujourd’hui, le bois prend sa revanche et revient sur le devant de la scène.

Lassées du style scandinave, les tendances déco misent désormais davantage sur les essences sombres qui donnent une touche cosy au salon et de la noblesse à la cuisine.

En première ligne, les bois exotiques tels que le teck ou le wengé qui connaissent un véritable boom. Assez rares, robustes et appréciées pour leurs tons foncés, ces variétés s’imposent comme des matériaux d’excellence dont l’élégance naturelle saura se mêler à des couleurs claires telles que le blanc ou le gris souris. Longtemps supplanté par le chêne, le noyer retrouve aussi toutes ses lettres de noblesse.

De plus en plus plébiscitée par les designers, cette essence de bois réchauffe l’intérieur et donne au mobilier une touche d’authenticité grâce à son veinage particulier. Le noyer est partout : sur les buffets, les tables basses, les bibliothèques, les chevets ou les fauteuils bien confortables.

À l’aise avec la couleur, ce matériau se marie parfaitement avec le rouge, le bleu pétrole, l’or, le cuivre ou l’alu brossé. Il s’accorde encore très bien avec le mobilier de style industriel, le parquet, les moulures, le velours et les motifs tropicaux ou luxuriants.

Brut et authentique

Retour à l’essentiel et stop au superflu avec le bois brut ! À peine travaillé et poncé, il s’immisce dans les créations design. Le contreplaqué ainsi que l’OSB (des particules de bois compressées et collées) inspirent les créateurs de par leurs nombreuses qualités. Résistants à l’humidité, peu coûteux et customisables à l’envi, ils représentent des matériaux de premier choix.

On retrouve ainsi surtout le bois brut dans les intérieurs au mobilier do-it-yourself pour son côté authentique et naturel. À l’aise avec le vintage, on le mariera de préférence avec des tons brique, cognac, moutarde ou bleu pétrole. Pour une ambiance plus contemporaine, le blanc brillant ou le noir seront plus adaptés.

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Quand le rondin fait la déco

Rustique, authentique et naturel, le rondin de bois a le vent en poupe cet hiver. On le retrouve partout, dans les accessoires comme sur le mobilier.

Puisque le printemps n’a pas encore frappé à nos portes, il est encore temps de puiser dans les grands classiques de l’hiver pour rendre sa déco plus douillette. Si le bois, naturel et chaleureux, n’en finit plus de peupler nos intérieurs, c’est plus particulièrement le rondin qui s’invite comme élément indispensable d’un style hivernal réussi. En petit mobilier ou en accessoire, il réchauffe l’ambiance et donne une touche d’authenticité incomparable.

Un grand détournement

La tendance organique a remis le rondin de bois au goût du jour, si bien qu’aujourd’hui, il prend ses quartiers dans toute la maison. On le retrouve d’abord dans le salon, en table basse, comme tabouret ou sur les pieds des luminaires. Dans la chambre, il se métamorphose en chevet et donne une autre dimension à la pièce lorsqu’il se transforme en tête de lit.

Dans la salle de bains, il invite à la zénitude absolue.
Économique et original, le rondin fait partie de ces objets faciles à détourner.

On le retrouve en effet là où on ne l’attend pas forcément, notamment en sticker sur les interrupteurs, en dessous-de-plat très nature ou en patères sur les murs.

Bougies ou coussins font également partie de ces accessoires où le rondin de bois a toute sa place.

Retour aux sources

Si cet élément phare de la déco hivernale n’a rien de bien nouveau, il s’accorde en revanche avec les tendances du moment qui invitent à un juste retour aux sources. Brut, peint en blanc, laqué, cérusé, avec ou sans écorce, il se fond aussi bien dans les intérieurs scandinaves que dans ceux d’inspiration montagnarde.

Pour une ambiance chalet ou un esprit bûcheron, on mixe le rondin de bois avec des plaids à carreaux, des tapis et des coussins imitation peau de bête, mais aussi des couleurs comme le blanc, le noir ou le rouge pour un style plus contemporain.

Avec une décoration nordique, le rondin s’associe à des coloris tendres et pastel (beige, brun clair, bleu dragée, rose poudré…), mais surtout à des matières moelleuses et feutrées telles que la laine ou l’alpaga. L’essentiel étant de toujours miser sur le naturel…

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Un coach pour ma déco

Refaire les peintures, changer le carrelage ou réagencer le mobilier… Avoir des projets de décoration, c’est bien mais les réussir, c’est mieux ! Pour être certain de ne pas vous tromper, faites appel à un coach déco.
Le bon goût en matière de décoration n’est pas un talent inné chez tout le monde. S’il est facile de savoir de quoi on a envie, choisir les bonnes couleurs, les bons tissus ou les motifs adéquats se révèle parfois être une tâche plus absconse.

Ainsi, il y a encore quelques années, les quidams mal à l’aise avec la notion de décoration n’hésitaient pas à faire appel à un tiers. Mais aujourd’hui, avec la démocratisation des émissions télévisées sur le sujet, la tendance du do-it-yourself (« à faire soi-même ») et la crise, il est rare de confier cette besogne à un spécialiste.

Pourtant, l’aide d’un professionnel permet non seulement d’éviter les erreurs ou les fautes de goût mais aussi de gagner du temps.

salon parquet

Un accompagnateur

Nous passons de plus en plus de temps à la maison et se sentir bien chez soi est une évidence. Cette quête de la quiétude passe en partie par le style et l’ambiance de son intérieur.

Pour ceux qui n’ont pas la décoration dans la peau, un coach déco peut être une solution.
Mais n’attendez pas de lui qu’il fasse tout à votre place car son rôle est avant tout de vous accompagner dans votre démarche.

À l’inverse d’un décorateur qui transforme votre home sweet home et s’occupe du suivi du chantier, un coach déco analyse vos besoins et vous conseille dans vos choix de décoration.

Son but est de vous affranchir des diktats de la mode en matière d’habitat et de vous inculquer les règles essentielles en ce qui concerne la sélection des couleurs et l’agencement de l’espace.

Quelles prestations pour quels prix ?

Selon vos attentes, le coach déco peut réaliser des croquis ou des schémas pour créer chez vous l’ambiance de vos rêves. Il peut élaborer un plan pour réaménager votre intérieur, le rendre plus lumineux ou tout simplement plus fonctionnel.

À distance ou directement à domicile, il vous accompagne dans votre projet. Mais faire appel à un professionnel a un coût non négligeable. Sachez que les honoraires des coachs déco sont libres car il n’existe aucune réglementation en la matière.

Si les tarifs dépendent des prestations, ils oscillent généralement entre 50 et 150 € de l’heure. Souvent les spécialistes proposent toutefois des forfaits plus intéressants.

Attention tout de même : la profession non plus n’est pas réglementée et mieux vaut être vigilant dans le choix de votre coach.

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Les tendances outdoor de l’été

Quand les beaux jours arrivent, on n’a qu’une seule envie : pouvoir se prélasser dehors et profiter de son extérieur. Voici quelques tendances charmantes à adopter cette saison !

Par outdoor, on entend l’extérieur et le plein air

Pourtant, en termes de décoration et d’aménagement, les frontières entre l’intérieur et l’extérieur de l’habitat se floutent de plus en plus. À l’instar des pays chauds, le jardin fait désormais office de pièce supplémentaire, devenant un espace de vie à part entière et s’inscrivant parfaitement dans la tendance qu’on appelle indoor/outdoor.

Tendance mix and match

L’une des tendances phares de cette saison est le mix and match, c’est-à-dire le mélange des styles. On ose le métissage de l’ancien et du contemporain, du vintage et du design, du romantique et du coloré, en un savant jeu de contrastes ! Le béton, qui fait plutôt moderne, peut s’accorder avec des chaises en rotin au charme désuet ou avec un hamac tressé et coloré. De la même manière, on peut délimiter les espaces en mixant les matériaux : de la pierre naturelle pour un coin cuisine et repas, du bois pour l’espace de détente, etc.

Tendance cosy cocooning

Loin des chaises en plastique blanches ou kaki, le mobilier de jardin se veut aujourd’hui plus varié et plus chic, rivalisant avec celui de l’intérieur. Les fibres synthétiques comme le polyester et la résine imitent très bien les tressages naturels et sont traitées anti UV pour résister efficacement aux intempéries. Ils offrent ainsi une excellente alternative aux salons classiques en bois ou en bambou, certes charmants mais peu durables lorsqu’ils ne sont pas correctement protégés.

Les textiles eux aussi savent désormais résister aux agressions extérieures et offrent un toucher aussi souple que celui des tissus d’intérieur. Même les tapis s’invitent dehors pour apporter toujours plus de confort à l’espace outdoor !

Enfin, on pense à abriter le jardin ou la terrasse du soleil et de la pluie avec une pergola en bois ou en métal, à la fois jolie et pratique. Côté déco, on l’habille avec des plantes grimpantes et des guirlandes solaires qui, une fois la nuit tombée, donneront une ambiance intimiste et festive au jardin.

Tendance hacienda

Pour donner à votre terrasse un petit air d’hacienda mexicaine, propice à la détente et à la fête, on mise sur une décoration épicée et chatoyante.

Les murs se parent de rouge, les coussins à pompons se couvrent d’ocres ou de jaunes et s’ornent d’imprimés ethniques, aztèques ou fleuris. Le sol est recouvert de tapis d’extérieur rayés et multicolores que l’on superpose pour un effet mix and match pile poil dans la tendance.

Enfin, pour parfaire cette ambiance latino, on dispose des éléments typiques comme les crânes de cavaleras ou des carreaux de faïence colorés façon azulejos. Le mobilier est rustique et fait la part belle aux matières naturelles comme le bois brut et l’osier.

Pour accentuer le côté caliente, on troque les classiques jardinières en terre cuite contre des paniers tressés, qui accueilleront cactus, succulentes et autres fleurs colorées.

Tendance slowlife

La slow life, c’est l’art de ralentir et de s’épanouir pour adopter un mode de vie bohème, qui fait la part belle à la rêverie, à l’écoute de soi et à la convivialité. Ici, plus que jamais, le coin outdoor est un vrai hymne à la nature, laissant une large place à la végétation luxuriante des lieux.

Pour se sentir comme à la maison, on se fabrique un écrin confortable, reposant et cosy.

On sort les suspensions en bambou, les tapis en jonc de mer, les canapés douillets et les coussins XXL.

Envie de convivialité ?

Les hamacs, poufs et autres lits de jardin ou bains de soleil à partager nous invitent à la paresse. On peut aussi fabriquer notre mobilier à l’aide de bois récupéré ou de palettes.

Pour le côté arty, on accroche des pièges à rêves en macramé, des lumières et des lanternes dans les arbres et les plantes, et l’on dispose une grande table d’atelier en bois brut pour accueillir nos amis ou nos instants de créativité.

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Un fond mobile pour ma piscine

Pour optimiser un espace extérieur réduit, un plancher mobile de piscine peut se révéler être la solution adéquate. En quelques secondes, il vous permet de transformer l’espace piscine de votre jardin en terrasse. Découvrez les multiples avantages de ce procédé innovant !

Avec les beaux jours qui arrivent, vous rêvez d’une piscine mais vous hésitez à lui sacrifier le peu d’espace extérieur dont vous disposez. Vous tenez autant à vos soirées apéro estivales avec vos amis et voisins qu’au plaisir de pouvoir nager chez vous dans une eau fraîche. Aucun souci : grâce au fond mobile, vous pouvez désormais passer de terrasse à piscine en moins d’une minute !

Fonctionnant à l’aide de moteurs électriques rotatifs ou de coussins d’air qui se gonflent et se dégonflent pour faire monter ou descendre la structure, ce système permet à votre plancher de « flotter » à la surface.

D’une grande modularité, le fond mobile vous permet de profiter au mieux de votre terrasse ou de votre jardin, été comme hiver !

Une piscine qui s’adapte à vos envies

Les systèmes de fonds mobiles disponibles actuellement sur le marché s’installent en seulement 48 heures et conviennent à tous les types de piscines, neuves ou déjà construites. Vous n’aurez donc aucune modification à apporter à votre structure d’origine. Ils s’adaptent également à tous les matériaux de construction : bois, métal, coque, pierre ou béton.

Enfin, selon vos besoins, la marque et le modèle choisis, plusieurs options sont possibles. Selon la hauteur que vous décidez de régler pour votre fond de piscine, vous pourrez disposer de différents usages : piscine, pataugeoire ou terrasse « prête à l’emploi ». Il vous suffira d’appuyer sur un bouton et le plancher se mettra en mouvement comme par magie !

Sécurité garantie

Si vous redoutez les risques de noyade pour vos jeunes enfants ou vos animaux de compagnie, un fond mobile peut s’avérer particulièrement intéressant.

Après votre baignade, il vous suffira simplement de repositionner le plancher en position haute pour rendre l’accès à la piscine impossible.

Vous pouvez également régler sa hauteur en mode « pataugeoire » pour que les tout-petits puissent se rafraîchir et jouer dans l’eau sans danger.

Quant à la solidité du plancher, aucune crainte à avoir non plus : ils sont conçus pour supporter des charges de plusieurs centaines de kilos. Vous pourrez donc marcher dessus à plusieurs et y disposer votre mobilier de jardin l’esprit tranquille.

Un entretien facilité

Le dernier grand avantage du fond mobile, c’est qu’il simplifie considérablement l’entretien de votre piscine. Celle-ci étant protégée tout l’hiver par le plancher mobile, vous éviterez la corvée du ramassage des feuilles mortes et autres saletés qui viennent joncher la surface à chaque coup de vent et peuvent finir par boucher le filtre. Vous pouvez ainsi facilement la garder propre toute l’année.

Si vous possédez un robot de nettoyage, la plupart des planchers mobiles possèdent une trappe permettant le passage de ce dispositif. Cette technologie réduit également l’évaporation de l’eau de 30 à 50 % et conserve la chaleur, vous assurant une meilleure performance énergétique. L’idéal pour faire des économies d’énergie !

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Le lagom, l’art de vivre à la suédoise

Ni trop, ni pas assez, voilà le leitmotiv du lagom, la nouvelle tendance slow life à adopter chez soi. Entre simplicité, minimalisme et qualité, cette philosophie suédoise séduit ceux qui veulent aller à l’essentiel.
Après le hygge à la danoise, voici le lagom, ou l’art de vivre suédois !

Dans un monde où tout va trop vite, cette philosophie prône un mode de vie plus équilibré, où l’on se contente de l’essentiel. Ici, pas de fioritures ni de luxe, on privilégie l’utile et la qualité.

C’est une tendance qui se pratique bien sûr au quotidien, dans la mode et l’alimentation, mais elle s’inscrit aussi désormais comme l’un des principes phare de la décoration…

Moins mais mieux

Fatigués de nos rythmes de vie effrénés, nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir métamorphoser notre quotidien. À ce petit jeu, les Scandinaves sont sans conteste les champions !

En précurseurs, les Suédois nous convient au lagom (comprenez « juste milieu »), un principe du slow life qui fait fureur ces dernières années.

Pour adopter le lagom way of life, on arrête de courir partout et l’on commence à se concentrer sur ce qui compte vraiment.

Les adeptes de cette doctrine vivent en lien avec la nature tout en protégeant les ressources de la planète. Ici, on recherche le juste équilibre et l’on fait la part des choses entre les besoins et les envies.

La qualité est privilégiée sur la quantité, on se contente de plaisirs simples tout en prônant la modération dans sa consommation.

Une déco tout en sobriété

Ce mode de vie a donc forcément un impact sur l’habitat et la décoration. Le lagom plaide en faveur de meubles conçus avec des matériaux nobles et durables.

On mise surtout sur du mobilier qui fait la part belle à l’artisanat local. Les circuits courts sont favorisés car ils sont gage de qualité. L’idée est d’avoir un intérieur fonctionnel, épuré, sans signes ostentatoires de richesse. Exit le clinquant et l’extravagant, en Suède, on rechigne à afficher son argent afin que ceux qui en possèdent moins n’aient pas à en rougir.

On se contente alors de quelques jolies pièces pratiques (canapé, commode, table etc.) mais pas hors de prix, dont les couleurs pastel adoucissent l’ambiance.

Habillé de bois pour le côté chaleureux et de matières duveteuses, le salon s’articule autour de quelques fauteuils et d’une table basse pour favoriser la communication dans la famille. Pas question donc d’installer une télévision dans ce lieu de partage !

Ne garder que l’essentiel

Mais surtout, on fait fi des modes et des tendances ! Pas besoin de se conformer à un style déco en particulier, on se laisse guider par ce qui nous est essentiel et ce qui nous fait envie. Pour un intérieur lagom réussi, il faut en effet identifier ce qui compte le plus pour soi.

Pour cela, on fait de la place en désencombrant et en se séparant des objets futiles dont on ne se sert jamais. Nul besoin d’abondance, on mise sur les rangements pour ne pas polluer la vue et encombrer les espaces de vie. Bref, on ne conserve que ce qui nous procure de la satisfaction !

Quelle différence avec le hygge danois ?

Pour ceux qui ont suivi le grand boom du hygge, une tendance venue du Danemark, on peut raisonnablement se demander la différence avec le lagom.

Et bien, tout simplement, le hygge prône avant tout le confort et la convivialité, le fait maison et le plaisir instantané. Avec le lagom, on entre dans une démarche minimaliste où l’on s’éloigne autant que possible de la société de consommation.

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