Rideaux thermiques, quand l’isolation se fait design

Vos fenêtres sont en simple vitrage et vous souhaitez vous protéger du froid hivernal, tout comme de la chaleur estivale ? Le rideau thermique est une solution efficace, pratique et peu coûteuse.

On le sait : une mauvaise isolation augmente les déperditions de chaleur de la maison et fait gonfler les factures de chauffage pendant l’hiver.

Malgré tout, on n’a pas toujours les moyens d’investir dans de gros travaux ou un double vitrage.

Il est alors possible d’installer soi-même des éléments pouvant aider à réduire les courants d’air, comme les stores ou les rideaux thermiques par exemple.

Avec eux, la période hivernale devient plus confortable !

Se protéger du froid, de la chaleur… et de la lumière

En termes d’isolation, la technique du rideau n’est certes pas nouvelle mais les matériaux employés de nos jours ont gagné en performance.

Comme son nom l’indique, le rideau thermique – d’allure plus épaisse qu’un voilage – permet de préserver les occupants du froid, de la chaleur et de leurs petits désagréments.

Sa doublure en polyester agit comme un véritable rempart contre les variations de température. Il est donc généralement utilisé sur des fenêtres un peu anciennes qui laissent passer l’air ou dotées d’un simple vitrage.

Mais sur un double ou triple vitrage, ses performances seront décuplées !

Cerise sur le gâteau : le rideau isolant thermique est le plus souvent occultant ce qui assure une parfaite obscurité de la pièce pour une nuit paisible.

Isoler ses fenêtres à petit prix

Le rideau isolant thermique est une alternative peu coûteuse aux travaux de grande envergure.

Côté budget, comptez ainsi entre 20 et 150 € selon les modèles, les tissus, la qualité et les tailles.

S’il n’est évidemment pas aussi performant qu’une vraie isolation, il permet néanmoins de bien limiter les déperditions de chaleur et d’économiser sur les factures de chauffage.

Comment bien choisir son rideau ?

Les enseignes de bricolage et les fabricants spécialisés proposent aujourd’hui de nombreuses versions de rideaux thermiques.

Votre choix dépendra alors de votre budget et de l’esthétique recherchée.

Si sa première vocation est de vous protéger des courants d’air, cela ne vous empêche pas de vous faire plaisir en choisissant un modèle qui s’harmonisera avec votre décoration.

Jouez avec les matières, les couleurs, les motifs et les finitions.

Par exemple, le velours, la suédine, les tissus satinés ou irisés, ainsi que des teintes élégantes (beige, noir, le marron, pourpre, jaune moutarde…) s’adapteront très bien à un style chic et classique.

Pour un esprit plus contemporain, optez pour des couleurs tendances (turquoise, gris clair ou ardoise, rouge…), des dessins graphiques, des œillets ou des barres métalliques.

Enfin, si les dimensions standards ne conviennent pas, sachez qu’il est aussi possible de commander ces rideaux sur mesure.

Une mise en place simple et rapide

Efficaces et design, les rideaux thermiques peuvent être de précieux alliés pour recouvrir vos fenêtres et baies vitrées mais aussi pour isoler une porte d’entrée, un couloir, une véranda ou encore un garage et plus largement toute ouverture donnant vers l’extérieur.

Quant à leur installation, elle n’a rien de compliqué !

Comme pour tout autre rideau traditionnel, fixez une tringle au mur ou sur les menuiseries, sur laquelle vous enfilerez progressivement le tissu. Simple comme un jeu d’enfant !

Focus : Quid de l’isolation phonique ?

La majorité des rideaux anti-froid procurent en plus une certaine isolation phonique, très appréciable si vous habitez dans un environnement bruyant (centre-ville, voies de circulation ou autoroute à proximité…).

Si vous recherchez un confort phonique optimal, il existe en outre des rideaux spécifiques dont la doublure fait office de bouclier contre le bruit extérieur.

Tendance : le made in France s’impose dans la cuisine

Déjà plébiscitées pour leur robustesse et leur pérennité, les cuisines françaises ont plus que jamais la cote auprès des clients désireux de soutenir l’économie nationale tout en optant pour un mobilier plus responsable. S’il y a bien un gagnant dans la crise sanitaire, c’est le made in France !

Déjà en croissance continue depuis plusieurs années, cette tendance a littéralement explosé depuis le début de la pandémie et profite notamment au secteur de l’ameublement.

En tant que pièce centrale de la maison, la cuisine n’échappe pas à cet engouement.

Une qualité qui va de soi

Le made in France a toujours eu une réputation d’excellence, et cette image lui colle plus que jamais à la peau puisque 78 % des participants à un sondage Opinion Way réalisé en septembre 2020 pour l’enseigne SoCoo’c considèrent que la fabrication française représente une garantie de qualité.

L’ameublement hexagonal est ainsi réputé pour être conçu avec des matériaux robustes qui lui assurent une bonne longévité. Acheter national est d’autant plus rassurant en cas de souci ultérieur.

« En s’adressant à une marque française, nos clients s’assurent des services qu’ils n’obtiendront pas forcément avec un prestataire étranger, comme la garantie des acomptes ou la mise en place de services de SAV fiables et efficaces », nous explique Richard Perrin, chef de gamme Mobalpa.

L’écologie, nouveau critère de choix

Bien plus récent, l’argument écologique participe lui aussi à ce succès, au point de rentrer désormais en ligne de compte dans la décision d’achat d’une cuisine.

Ainsi, 78 % des personnes interrogées par Opinion Way estiment qu’opter pour une cuisine made in France permet de réduire son impact environnemental.

Pour diminuer l’empreinte carbone due au transport, veillez à ce que les matériaux proviennent bien de l’Hexagone et que la fabrication ait lieu dans des usines de production basées sur le sol national.

Assurez-vous encore que le bois utilisé pour les panneaux constituant votre future cuisine soit issu de forêts françaises éco-gérées.

Repérez pour cela les labels NF Environnement (limitation des impacts sur l’environnement tout au long du cycle de vie du mobilier) et PEFC (bois issu de forêts gérées durablement et de sources contrôlées).

Un regain de patriotisme

Après un an et demi de pandémie, l’élan patriotique joue également à fond dans le succès du made in France comme nous l’a confirmé Arnaud Allantaz, le directeur de SoCoo’c.

« On constate un engouement pour la fabrication française depuis 4 à 5 ans, ce qui nous a incité à communiquer davantage sur l’ADN de notre enseigne basée en Haute-Savoie.

Mais depuis le premier confinement, c’est encore plus flagrant ! On observe une sorte de réflexe d’achat des ménages pour les produits hexagonaux, y compris dans l’ameublement. »

Alors que le made in France était auparavant la cerise sur le gâteau, il est ainsi à présent intégré dans la décision d’achat en tant que soutien à l’économie nationale pour 91 % des sondés Opinion Way et de moyen de conserver des emplois sur le territoire pour 90 % des participants.

Plus encore, 86 % des 18-24 ans considèrent qu’il est plus important que jamais d’acheter français, tandis que 95 % des foyers seniors estiment qu’il s’agit d’un acte citoyen.

Pour toutes les bourses

Si les cuisines françaises étaient autrefois réservées à une clientèle fortunée, la diversification des gammes, les progrès techniques et la massification des offres ont permis de tirer progressivement les prix vers le bas.

Dès lors, l’ameublement made in France n’est pas nécessairement plus onéreux que son équivalent international. Tout dépend en réalité du niveau d’options, des finitions, des matériaux et de la taille des meubles souhaités.

De même, le type de montage peut aisément faire pencher la balance.

Les cuisines en kit à assembler soi-même sont les plus économiques (entre 1 000 et 5 000 € en général) mais ont une durée de vie limitée.

À l’inverse, une cuisine montée en usine est plus onéreuse mais aussi plus solide.

Les prix débutent alors aux alentours de 3 000 € et peuvent allégrement dépasser les 10 000 € selon la gamme choisie.

Le saviez-vous ?

Lorsqu’on parle de cuisine made in France, on parle le plus souvent de l’ameublement.

En effet, la majorité de l’électroménager est aujourd’hui produite à l’étranger.

Sur le sol national, seules une dizaine d’entreprises proposent des fours, des cuisinières, des hottes aspirantes, ainsi que quelques lave-vaisselle.

Les fabricants français sont en revanche davantage présents sur le petit électroménager (robots, friteuses, machine à café, crêpière, etc.), tout aussi indispensable à une cuisine fonctionnelle.

Thermostat connecté, le mode d’emploi

Pour diminuer leurs factures d’énergie, de plus en plus de Français se tournent vers les thermostats connectés, des appareils qui permettent de contrôler et d’optimiser son chauffage. Bonne ou mauvaise idée ? On vous dit tout…

Le chauffage est sans doute l’un des postes de dépenses les plus élevés dans le budget des foyers français. Il représenterait en effet plus de 1 500 € par an…

Un coût qui a incontestablement permis le développement des objets connectés dans la maison et notamment des thermostats.

Ces petits appareils sont en effet désormais légion sur le marché. Ils vous proposent de faire des économies d’énergie en gérant la température de votre habitation en fonction de divers critères.

Mais ces appareils sont-ils vraiment pertinents ? Décryptage.

Comment ça marche ?

Les thermostats connectés ne sont ni plus ni moins que des petits boîtiers reliés à votre installation de chauffage et qui fonctionnent avec le Wifi de la maison.

À l’inverse du thermostat classique, qui peut seulement régler la température, le modèle connecté, lui, offre de nombreuses possibilités.

Cet appareil intelligent permet d’abord d’optimiser la température de votre intérieur en fonction de sa surface et de son isolation via l’application dédiée.

Il fait également en sorte de maintenir la chaleur souhaitée tout au long de la journée ou de la nuit.

Ces nouveaux bijoux de la domotique permettent encore de vous renseigner sur votre consommation énergétique grâce à des graphiques et des statistiques.

Les modèles les plus sophistiqués s’adaptent même aux habitudes de vie des occupants !

En effet, certains sont tout à fait capables d’anticiper les besoins des usagers en lançant le chauffage avant leur arrivée par le biais de la géolocalisation. Ils sont aussi programmables à distance grâce à l’application.

D’autres consultent encore les données météorologiques pour chauffer votre maison à la bonne température en fonction des conditions climatiques.

Enfin, les appareils les plus pointus peuvent également détecter les fenêtres ouvertes et suspendre le chauffage ou alerter l’utilisateur afin d’éviter tout gaspillage.

Quels avantages ?

La première utilité d’un thermostat connecté est évidemment de vous faire faire des économies.

Selon l’Agence de la transition écologique (anciennement Ademe), ce type d’appareil réduirait, en moyenne, le montant de la facture de chauffage d’au moins 10 %. Mais cela peut aller jusqu’à 20 ou 30 %.

Si ces outils intelligents coûtent entre 120 et 250 € à l’achat, leur investissement peut donc être amorti en un an à peine.

Enfin, en vrai compagnon énergétique, les thermostats connectés vous facilitent la vie en anticipant vos besoins et en gérant à votre place le chauffage dans la maison.

Néanmoins, ils présentent aussi quelques inconvénients.

D’abord, la plupart des thermostats connectés ne sont pas capables de gérer la température idéale dans plusieurs pièces à la fois.

Il faut alors investir dans différents boîtiers si l’on a plusieurs étages par exemple, ce qui peut s’avérer très vite compliqué en termes de gestion.

Ensuite, tous les appareils de chauffage ne sont pas compatibles avec les thermostats connectés.

En effet, les installations électriques (adoptées par près de 40 % des Français) ne peuvent pas fonctionner avec ce type de système.

Il n’est viable qu’avec les chaudières contrôlées par un fil pilote. Renseignez-vous bien donc avant de sauter le pas…

Transformer sa vieille cheminée en poêle ou en insert

Si vous appréciez l’allure majestueuse de votre cheminée, force est de constater que ses performances en termes de chauffage laissent à désirer… Voici comment la transformer en foyer fermé afin d’accroître son rendement et de moins polluer.

Le captivant spectacle des flammes dansant dans l’âtre, le doux crépitement des bûches qui se fendent sous l’effet de la chaleur et l’incomparable odeur fumée du bois…

Synonymes de convivialité et de bien-être, les feux de cheminée aident à créer une ambiance cosy et réconfortante dans la maison lors des longs mois d’hiver.

Malheureusement, lorsque les cheminées sont trop anciennes, ce mode de chauffage peut s’avérer salissant pour nos intérieurs, très polluant et peu rentable d’un point de vue énergétique.

En effet, il est responsable de près de 15 % des émissions de particules fines dans certaines régions, au point que plusieurs communes françaises ont décidé de l’interdire.

La solution pour conserver le plaisir d’un bon feu de bois sans nuire à la planète et en se chauffant efficacement ? Intégrer un poêle ou un insert dans le foyer de votre cheminée. On vous guide dans la réalisation de ce projet.

Poêle ou insert, quelles différences ?

À l’inverse des cheminées classiques qui disposent d’un foyer ouvert, les poêles et les inserts sont des appareils de chauffage dits à foyer fermé, c’est-à-dire qu’une paroi vitrée ou en fonte vient clore leur face avant.

De ce fait, non seulement ils sont considérablement plus performants – le taux de chaleur restitué est de 80 à 95 %, là où les foyers ouverts n’atteignent que 15 % de rendement en moyenne–, mais ils réduisent également les risques de brûlure et d’incendie.

Quant à distinguer les deux modèles : la principale différence réside dans le fait que le poêle est un appareil en fonte autonome, là où l’insert consiste en un bloc à encastrer.

Le choix dépendra alors de vos préférences esthétiques personnelles, ainsi que de la configuration de l’âtre de votre cheminée.

Si celui-ci est suffisamment vaste, vous pourrez opter pour un poêle, qui nécessite un minimum d’espace autour de lui afin d’optimiser les échanges thermiques.

En revanche, si l’âtre est de taille plus modeste, il correspondra probablement mieux aux dimensions d’un insert.

Quid du conduit ?

Nettement plus performants qu’une cheminée traditionnelle à foyer ouvert, poêle et insert émettent nécessairement plus de chaleur.

Or, les vieux conduits d’évacuation des fumées peuvent ne pas supporter la différence de température ainsi dégagée, qui peut être jusqu’à trois fois plus élevée !

Afin d’éviter de déclencher un incendie, votre cheministe devra très probablement remplacer votre conduit ou procéder à un retubage.

Combien ça coûte ?

L’avantage d’équiper votre vieille cheminée d’un poêle ou d’un insert est que ce type de réalisation vous évite de longs et dispendieux travaux de démolition, tout en vous permettant de conserver intact un bel élément décoratif d’époque.

Pour ce qui est du prix, comptez entre 3 000 et 5 000 € tout compris (appareil, pose et tubage) pour l’un ou l’autre de ces dispositifs de chauffage.

Le point sur les aides

Afin de favoriser la transition énergétique, les pouvoirs publics accordent des aides financières aux particuliers qui souhaitent opter pour des modes de chauffage moins polluants, comme c’est le cas pour les poêles et les inserts.

À condition que ce dernier réponde aux normes actuelles (rendement supérieur à 70 %, émissions de CO2 inférieures à 0,3 et indice environnemental inférieur ou égal à 2) et soit mis en place par un artisan reconnu garant de l’environnement (RGE), vous pouvez prétendre à la TVA réduite à 5,5 %, aux certificats d’économie d’énergie (primes énergie) et à MaPrimeRénov’.

Dépendant de vos revenus, celle-ci donne droit à des aides comprises entre 1 000 et 2 500 € pour un poêle à bois, 1 500 à 3 000 € pour un poêle à granulés et 600 et 2 000 € pour un insert. Enfin, vous pouvez bénéficier d’un éco prêt à taux zéro à hauteur de 15 000 €.

Une prime pour rénover sa maison de façon globale

Mis en place fin 2020, le « Coup de pouce rénovation performante d’une maison individuelle » entend soutenir les ménages qui entreprennent des travaux énergétiques d’ampleur dans leur logement. On vous explique comment il fonctionne.

Vous avez acheté une maison ancienne nécessitant d’importants travaux de rénovation ?

Vous résidez dans une vieille bâtisse pleine de courants d’air et qui vous coûte les yeux de la tête à chauffer depuis des années ?

Plutôt que de vous contenter de petits travaux d’appoint, l’heure est peut-être venue de voir les choses en grand.

Bonne nouvelle, la prime « Coup de pouce rénovation performante d’une maison individuelle » peut justement vous aider à régler la facture du chantier.

55 % de gain énergétique

Ce dispositif a été mis en place en octobre 2020 dans le cadre des offres « Coups de pouce » qui consistent à bonifier les « primes énergie » versées par les fournisseurs d’électricité, de gaz et autres carburants aux particuliers pour la réalisation de leurs travaux de rénovation énergétique.

Partenariat gagnant-gagnant, ce sponsoring permet d’alléger la facture des ménages, tandis que les opérateurs peuvent ainsi remplir leurs obligations d’économies d’énergie vis-à-vis de l’État.

Alors que les autres primes ciblent un poste de chantier spécifique, cette formule entend inciter les propriétaires d’une maison individuelle à améliorer de façon globale leur habitation.

En effet, les travaux entrepris doivent permettre de diminuer la consommation d’énergie primaire – comprenez ici le chauffage, la climatisation et l’eau chaude – d’au moins 55 % par rapport au niveau relevé avant le chantier.

Un bouquet de travaux nécessaires

Pour y parvenir, il va falloir réaliser un bouquet de travaux déterminé par un audit énergétique préalable obligatoire.

C’est ainsi un spécialiste certifié RGE (reconnu garant de l’environnement) qui va se charger d’examiner votre demeure sous toutes les coutures afin d’en évaluer les caractéristiques énergétiques et thermiques, puis de préconiser les améliorations susceptibles de doubler sa performance énergétique.

Remplacement de votre chauffage par un modèle plus performant, remise à neuf de votre système de ventilation ou de l’eau chaude sanitaire, isolation des murs… de nombreuses solutions sont possibles.
Bien entendu, il s’agit ici de suggestions que vous êtes libre d’accepter ou non.

Sachez toutefois que pour prétendre au « Coup de pouce rénovation performante », vous devez effectuer au moins deux travaux dont un qui doit concerner l’isolation, au choix, des murs, de la toiture ou des planchers bas, le tout en intervenant sur 75 % de la surface.

Des montants d’aides variables

Si tous les propriétaires de maison individuelle peuvent bénéficier de cette prime de rénovation globale, son montant varie toutefois en fonction de la nature des travaux réalisés et du niveau de ressources.

Pour les ménages modestes (27 896 € de revenu fiscal de référence pour un couple en région), la subvention doit au minimum s’élever à 300 € par mégawatt-heure (MWh) de consommation annuelle d’énergie finale économisée une fois la maison rénovée, lorsque le chantier a, entre autres, permis de remplacer un équipement au charbon ou au fioul.

Dans cette même hypothèse, les foyers plus aisés touchent pour leur part 200 € par MWh.

Par ailleurs, lorsque les travaux n’ont pas impliqué ce type de changement, l’aide atteint 250 € par MWh pour les particuliers précaires, contre 150 € par MWh pour les autres.

Enfin, un bonus supplémentaire s’applique lorsque le gain de performance énergétique s’accompagne d’un taux de chaleur renouvelable d’au moins 50 % dans la maison après chantier (le taux requis n’était que de 40 % avant mars 2021).

La prime est alors comprise entre 300 et 500 € par MWh selon le cas de figure.

Focus : le cas pratique

TotalEnergies, Oktave, Premium Energy, EDS Energies, ou encore Butagaz font partie des nombreux opérateurs à proposer le « Coup de pouce rénovation performante d’une maison individuelle ».

Et parce que rien ne vaut la preuve par l’exemple, Primesenergie.fr, lui aussi distributeur de l’offre, donne même un cas pratique sur son site.

Pour un coût de travaux (audit compris) évalué à 19 200 €, la prime peut ici atteindre 12 352 €, soit un reste à charge de 6 848 € qui peut encore être diminué grâce au cumul de l’aide avec le dispositif MaPrimeRénov.

Au final, le chantier revient ainsi à 2 170 € selon les estimations de l’opérateur.

Le conseil : avant de vous lancer, renseignez-vous auprès de la plateforme officielle Faire.gouv.fr au 0 808 800 700 (numéro non surtaxé) et faites plusieurs devis comparatifs.

Attention enfin aux mauvaises surprises puisque la prime peut prendre la forme d’un règlement pécuniaire ou d’un simple bon d’achat selon le fournisseur d’énergie.

Le tableau ancien fait sa déco

Longtemps passées de mode, les œuvres picturales anciennes s’affirment comme le nouvel atout charme des demeures contemporaines.

Focus sur une tendance vintage qui fait voyager notre déco à travers le temps.

Les lubies décoratives de nos aïeuls ont décidément de beaux jours devant elles !

Après le retour des imprimés fleuris, de la vaisselle en porcelaine aux motifs d’antan et des grandes psychés au cadre doré, ce sont désormais les tableaux anciens qui font leur retour dans nos intérieurs.

Hérités d’un ancêtre, chinés dans une brocante ou trouvés au fond d’un vieux grenier, paysages champêtres, natures mortes et autres portraits du siècle dernier s’affichent à nouveau en évidence dans nos pièces à vivre. Voici comment leur donner une seconde jeunesse.

Toile ancienne dans intérieur moderne

Avant de vous récrier, rassurez-vous : il n’est pas question de transformer votre demeure en musée des horreurs ni de reproduire au bibelot près le salon poussiéreux et vieillot de votre grand-tante !

Les tableaux vintage ont tout à fait leur place dans les intérieurs modernes et peuvent même leur apporter du cachet, à condition d’en faire bon usage.

Pour réussir à les marier à une déco contemporaine, essayez par exemple d’assortir les couleurs de l’œuvre à la teinte de vos murs, de votre mobilier ou de quelques objets déco, afin de composer un rendu harmonieux.

Si vous aimez sortir de l’ordinaire et casser les codes, vous pouvez au contraire mixer les styles et les mettre en valeur sur un mur blanc, à côté de meubles design plus colorés.

Autre possibilité : créer un effet galerie, en suspendant plusieurs toiles anciennes dans un espace dédié (couloir, cage d’escalier, vestibule, pan de mur, coin lecture), en variant la taille et la forme des cadres.

Enfin, pour créer un élément de surprise, vous pouvez même placer un ou deux tableaux dans une salle de bains d’inspiration vintage, à condition toutefois de les accrocher suffisamment loin des points d’eau.

Un coup de jeune salvateur

Dénichés lors d’un vide-grenier ou récupérés au sein de la demeure familiale, les tableaux anciens ont pour la plupart subi les outrages du temps.

Poussière, humidité et saletés en tous genres ternissent leurs couleurs et occultent certains détails.

Outre le recours à un restaurateur d’art professionnel, vous pouvez procéder vous-même à une petite rénovation en étant précautionneux.

Commencez par dépoussiérer la toile à coups de brosse souple en procédant délicatement, puis, si les dommages ne sont pas trop importants, placez-la à plat et nettoyez la peinture en appliquant un mélange d’huile de lin et de térébenthine à l’aide d’un chiffon doux.

Vous pouvez également utiliser une éponge imbibée d’eau et de savon de Marseille, à condition de faire preuve de parcimonie. Tamponnez pour sécher.

Des œuvres revisitées

Vous avez beau vous creuser la tête, cette vieille aquarelle ne s’intègre pas dans votre déco et vous ne pouvez plus la voir en peinture ?

Laissez s’exprimer votre créativité grâce au do-it-yourself en la customisant de façon moderne et décalée. Appliquez des bandes de ruban de masquage (le scotch traditionnel, qui pourrait laisser des traces de colle ou abîmer la peinture, est proscrit), sur une moitié du tableau, en le scindant en diagonale ou en verticale, afin de le protéger.

Poncez ensuite la partie apparente à l’aide d’une cale à poncer, dépoussiérez, puis appliquez la peinture dans des tons pop à l’aide d’une bombe.

Laissez sécher et retirez le ruban de masquage. Attention toutefois, si une « croûte » peut être ainsi twistée artistiquement pour un look plus contemporain et original, en revanche, il est hors de question de toucher aux toiles de maîtres !

Pour rajeunir une toile sans toucher à l’œuvre, pensez aussi tout simplement à changer de cadre.

Focus : Où dénicher des tableaux anciens ?

À l’ère d’internet, rien de plus facile que de faire de sublimes trouvailles !

De nombreuses brocantes en ligne vous permettent ainsi de dénicher des trésors sans sortir de chez vous, comme Selency, Luckyfind, Armand & Colette ou encore Design Market, pour ne citer qu’une poignée d’entre elles.

Pour faire de bonnes affaires, pensez également aux sites de ventes entre particuliers, tels que Leboncoin et Ebay.

Enfin, aux beaux jours, prenez le temps de flâner dans les vide-greniers et chez les antiquaires de votre région.

Photovoltaïque : comment réussir son projet ?

Si l’intérêt des panneaux solaires pour la préservation des ressources de la planète est évident, leur installation nécessite d’être convenablement préparée en amont.

Voici les éléments clés à considérer pour que cet investissement soit rentable.

Propre, naturelle et renouvelable, la technologie solaire, qui produit une électricité verte et sans déchet, offre une alternative intéressante aux énergies fossiles.

Autrefois très onéreuse, la pose de panneaux solaires a vu son coût considérablement diminuer au cours de cette dernière décennie, enregistrant une baisse de prix de 40 % en moyenne.

Une aubaine pour les particuliers, pour qui cette solution d’avenir devient rentable en une dizaine d’années. Profiter de l’énergie du soleil pour produire votre propre électricité vous tente ? On vous aide à élaborer au mieux votre projet.

Bien calculer vos besoins

Auparavant, les ménages avaient tendance à revendre la totalité de leur électricité à EDF mais aujourd’hui, nombreux sont ceux qui optent pour la revente partielle.

L’électricité produite sert ainsi à couvrir votre propre consommation, et seul le surplus est revendu.

Dans un premier temps, vous devrez donc définir quelles sont les dépenses énergétiques de votre foyer en kWh, afin de savoir quelle doit être la production d’électricité sous votre toit.

Votre consommation dépend de la surface de votre logement mais aussi de sa classe énergétique, de votre système de chauffage, du nombre d’appareils d’électroménager dont vous disposez et de celui des personnes vivant dans votre habitation.

Une fois vos besoins définis, vous pourrez estimer la puissance nécessaire pour que votre installation soit rentable.

Celle-ci s’exprime en kilowatts-crête, ou kWc, sachant qu’1 kWc est capable de produire entre 900 et 1 400 kWh. Le prix des panneaux dépend essentiellement de cette puissance.

Matériel (panneaux, ondulateur solaire et compteur), pose et raccordement compris, comptez entre 9 000 et 12 000 € pour des panneaux d’une puissance de 3kWc selon l’Agence de la transition écologique (ex-Ademe).

Notez que les tarifs de revente d’électricité au service public sont fixés par arrêté et évoluent à chaque trimestre.

À titre indicatif, au second trimestre 2021, le prix du kWh revendu était de 17,19 centimes d’euros pour une puissance inférieure ou égale à 3 kWc

Prendre en compte les conditions climatiques

Contrairement à d’autres sources d’énergie disponibles à tout moment, comme la géothermie ou l’hydraulique, la production d’électricité issue des installations photovoltaïques ne peut se faire qu’en présence de rayons solaires.

Or, en ce qui concerne le taux d’ensoleillement, toutes les régions françaises ne sont pas égales, loin s’en faut !

Alors que le pourtour méditerranéen jouit de plus de 300 jours de beau temps par an, le Nord, la Bretagne et l’Est ne profitent que de 150 à 200 jours de soleil.

Ainsi, pour une même installation de panneaux photovoltaïques d’une puissance de 3 kWc, le rendement sera de plus de 3 500 kWh en région PACA, contre 2 500 kWh en moyenne dans les Hauts-de-France.

Un chiffre qui reste toutefois suffisant pour être rentable sur la durée !

Pour maximiser votre production, veillez à orienter les panneaux plein sud, afin qu’ils bénéficient du soleil tout au long de la journée, et à éviter les zones d’ombrage (arbres, bâtisses voisines) pour ne pas être privé de luminosité.

Se renseigner sur les aides

Comme la plupart des projets de rénovation énergétique, l’installation de panneaux solaires donne droit à des aides.

Les installations qui permettent l’autoconsommation sont ainsi éligibles à une prime d’investissement, variable en fonction de sa puissance et répartie sur les cinq premières années de fonctionnement.

Par exemple, au premier trimestre 2021, le montant de la prime était de 380 €/kWc pour une installation d’une puissance inférieure ou égale à 3kWc.

De même, les installations photovoltaïques raccordées au réseau d’une puissance inférieure ou égale à 3 kWc peuvent également bénéficier de la TVA à taux réduit (10 %).

Enfin, pensez aux éventuelles aides locales. Renseignez-vous auprès de vos collectivités, mairie, conseil départemental ou conseil régional, afin de connaître les soutiens financiers dont vous pourriez profiter.

Plein feu sur les accessoires de cheminée

Design ou plus classiques, les accessoires de cheminée sont indispensables pour profiter de son équipement en toute sécurité. ll en existe ainsi pour tous les goûts et tous les besoins.

Votre cheminée est enfin installée et vous vous languissez de voir apparaître les premiers signes de l’hiver pour avoir la joie d’allumer un feu. Mais avez-vous vraiment pensé à tout ?

Car qui dit cheminée, dit forcément accessoires. Pour profiter à fond de votre équipement, il vous faudra des outils pratiques mais aussi décoratifs.

Porte-bûches, soufflets, seaux, chenets, pare-feu… Il en existe des tas et sous toutes les formes, indispensables au bon fonctionnement et à l’entretien de votre nouvel appareil.

La sécurité d’abord

Bien qu’utilisée seulement l’hiver, la cheminée (ou le poêle à bois) donne du style et du cachet à un intérieur, ce qui en fait l’une des pièces maîtresses de la maison.

Toutefois, pour attiser votre foyer en toute sécurité, certains accessoires seront essentiels.

Pour tenir à distance les enfants et les animaux, le pare-feu est tout d’abord utilisé dans les cheminées ouvertes et sert à se préserver des étincelles.

Traditionnellement en fer forgé ou en acier, les barrières de protection se déclinent aujourd’hui en verre trempé pour s’adapter aux lignes d’un salon minimaliste.

Il faut également protéger le mur qui se situe au fond du foyer, souvent malmené par les flammes.

es plaques en fonte, dont la plupart sont personnalisables, sont alors une bonne solution car elles peuvent emmagasiner la chaleur et la rediffuser dans toute la pièce lorsque le feu s’est éteint.

Il est enfin recommandé d’investir dans des chenets qui servent à maintenir les bûches pour qu’elles ne tombent pas. Ces supports métalliques laissent aussi passer l’air pour que le bois brûle plus facilement.

La praticité ensuite

Quant aux accessoires purement pratiques, difficile de passer à côté du serviteur !

Présenté sous forme de seau ou de potence, il est généralement composé de plusieurs outils comme la pince à bûches, le tisonnier, la pelle et la balayette ou encore le râteau pour rassembler les braises ardentes.

Traditionnellement confectionné lui aussi en fer forgé, il a fait l’objet, comme le pare-feu, d’un effort esthétique notable dans les studios de design, à même de satisfaire un large public.

Il n’est pas non plus inutile d’investir dans un porte-bûches si votre cheminée n’en possède pas déjà un.

Paré de couleurs ou moulé dans des matériaux surprenants, il sort ainsi peu à peu de sa rusticité. Pour se fondre dans le décor, il sera choisi de préférence en fonction du style de votre âtre.

Vous pouvez même opter pour un porte-bûches à roulettes ; les va-et-vient entre l’extérieur et l’intérieur n’en seront que moins désagréables.

Côté nettoyage, un bac à cendres sera toujours le bienvenu. Il se place sous les chenets pour récupérer les résidus une fois le feu éteint.

Un intérieur plus cosy

Températures en chute libre, intempéries, jours qui raccourcissent… avec le retour de l’hiver, on n’a plus qu’une envie : rester buller à la maison.

Pour transformer votre intérieur en un confortable petit nid douillet, suivez ces quelques astuces déco.

Le fameux refrain « vive le vent d’hiver », très peu pour vous ! Dès que la bise souffle, vous vous barricadez au chaud, confortablement lové sur votre canapé.

En cette saison, rien ne vaut la douceur de votre home sweet home.

Dès lors, pourquoi ne pas optimiser le potentiel cocooning de votre intérieur et en faire un havre de bien-être chaleureux et accueillant ? Voici quelques idées pour que votre foyer soit au top du confort.

Les touches déco qui réchauffent l’atmosphère

Hors de question de frissonner à l’intérieur de sa demeure.

Si augmenter le chauffage reste une option efficace, votre facture énergétique risque fort de grimper en même temps que la température. La solution : multiplier les accessoires cosy.

Véritables indispensables pendant l’hiver, plaids et couvertures permettront de vous emmitoufler dans un cocon de douceur lors des journées glaciales et pluvieuses.

Afin d’en avoir toujours un à portée de main, placez-les aux endroits stratégiques : dans les chambres, mais aussi dans le salon et au coin du feu, en les rangeant par exemple dans des paniers en osier très tendances.

Pour éviter d’avoir froid à ses petits petons, on peut bien sûr circuler en charentaises ou en grosses chaussettes, mais l’ajout d’un épais tapis au pied du lit ou devant votre canapé sera également un choix judicieux dont vous vous féliciterez.

Si vous optez pour une version à poils longs, pensez à l’entretenir en passant l’aspirateur et en le brossant une fois par semaine, afin qu’il conserve toute sa beauté.

Enfin, n’hésitez pas à disposer une multitude de jolis coussins tout doux aux quatre coins de votre demeure, sur les lits, les fauteuils ou le sofa.

Autre possibilité : miser sur des versions XXL, à poser à même le sol pour vous y prélasser quand bon vous semble.

Place aux matières cocooning

Exit le plastique, le métal ou la pierre qui, avec la baisse des températures, deviennent désagréablement glacés au toucher.

On leur préfère des matériaux plus chaleureux qui invitent à la langueur. Doux, enveloppant et réconfortant, le velours, star de l’hiver dernier, conserve une place de choix dans toutes les pièces de la maison où l’on souhaite créer une ambiance agréable.

Par exemple, misez sur un canapé ou un fauteuil moelleux recouvert de ce textile velouté pour un effet cosy et élégant.

Synonymes de chaleur et de confort, la fausse fourrure et la laine sont incontournables lors de la morne saison.

Outre les plaids et coussins, elles habillent de nombreux objets déco comme les mugs ou les photophores.

Enfin, le cuir, matière noble par excellence, apportera une touche d’authenticité. Pour plus de confort, choisissez-le en fini suédé.

Aménager un coin propice aux moments de détente

Pour passer des soirées tranquilles chez soi à cocooner, rien de tel qu’un bon bouquin et une tasse de thé ou de chocolat fumant, à savourer sans modération !

Devant votre cheminée ou aux abords d’une fenêtre offrant une jolie vue, placez un fauteuil molletonné ainsi qu’une petite table ou desserte.

Sur cette dernière, installez un plateau contenant tout le nécessaire : mugs, théière ou bouilloire, sachets de thé parfumé, sans oublier votre livre du moment.

Cet endroit deviendra sans nul doute votre spot favori cet hiver.

Cinquante nuances de bleu

Impossible d’y échapper ! Le bleu est partout dans la maison. Ses nombreuses variantes en font une couleur facile à distiller dans toutes les pièces. On fait le point sur les teintes en vogue cette saison.
Des tons marins à l’indigo, en passant par le turquoise ou le canard, le bleu a depuis belle lurette détrôné le gris dans nos intérieurs !

Si cette couleur séduit particulièrement, c’est d’abord parce qu’elle rappelle la nature, entre ciel et mer, mais aussi parce qu’elle est à la fois revigorante et apaisante. Véritable remède au blues, le bleu s’impose comme le chouchou incontournable d’une décoration réussie. Zoom sur les nuances tendance du moment…

Le bleu paon, élégant et plein de caractère

Trouvant son origine dans les plumes de l’oiseau majestueux, le bleu paon est sans conteste la couleur phare de l’hiver prochain.

Tantôt raffiné, tantôt hypnotisant, il fascine et ne laisse personne indifférent.

Ses contrastes sont nombreux : bleu pétrole, bleu canard ou encore vert pin, ce qui en fait une teinte dense et de caractère.

Quelque peu sauvage et résolument singulier, il se remarque en un coup d’oeil, que ce soit apposé sur un pan de mur ou sur les textiles.

Côté associations, le bleu paon ne se mélange pas à n’importe quelle couleur !

Pour ne pas risquer le « déco faux pas », on utilisera le blanc, passe-partout et suffisamment lumineux.

Plus aventureux, le rose pastel donnera un style plus poétique et féminin, tandis que le noir et le gris miseront sur l’élégance.

Pour un duo plein de peps, on l’associera avec du jaune moutarde qui créera une ambiance un peu plus tropicale.

Privilégiez également le mobilier en bois foncé, les accessoires dorés ou en laiton et les textiles en velours. Ici, le bleu paon aura une petite touche Art déco très en vogue.

Le bleu nuit, profond et apaisant

Autre tonalité incontournable : le bleu nuit.

Si on peut légitimement le confondre avec le bleu paon, il est beaucoup plus sombre et enveloppant.

C’est la raison pour laquelle il est particulièrement adapté à la chambre à coucher.

En effet, le soir, il invite à la relaxation, au sommeil paisible et réparateur.

On peut, par exemple, l’apposer sur le mur derrière le lit pour structurer l’espace et créer de la profondeur, ou le préférer sur les textiles et linge de maison.
Idéal pour la nuit, il l’est aussi en pleine journée à condition d’avoir de grandes fenêtres qui inondent la pièce de clarté.

Il est en effet capable de capter et de refléter la lumière malgré ses pigments foncés.

Bref, il est devenu, en l’espace de quelques années, une couleur réconfortante et indispensable, si bien qu’on le retrouve autant sous forme d’aplat graphique que dans les motifs géométriques.

Le vert d’eau, rafraîchissant et nature

À mi-chemin entre le vert pâle et le bleu pastel, le vert d’eau est l’une des couleurs les plus en vogue du moment.

Généralement associée à la saison estivale, elle inonde la maison de son aura zen, et notamment le salon, la cuisine ou la salle de bains.

C’est en effet une teinte très fraîche qui se prête aux espaces de vie ou aux pièces d’eau.

Douce et reposante, on la retrouve surtout sur les papiers peints ornés de motifs végétaux ou animaux, sur les luminaires (notamment les suspensions et les lampes d’appoint), ainsi que sur les tissus (coussins, torchons, plaids…).

Cette dose de fraîcheur printanière peut également se marier avec d’autres coloris clairs, tels que le gris souris, le beige ou encore le jaune paille et mimosa.

Enfin, le vert d’eau fait des merveilles avec des matériaux comme le marbre ou le bois clair façon mobilier scandinave.

La laine de bois, un isolant naturel pour la maison

Vous recherchez un matériau naturel pour isoler efficacement et durablement votre maison ? Zoom sur la laine de bois, à la fois écologique et économique.

Bien isoler son habitation, c’est garantir une protection efficace contre le froid hivernal mais aussi contre la chaleur estivale.

Or, parmi les isolants existants sur le marché, il y en a un qui combine plusieurs avantages. Isolation à la fois thermique et phonique, facilité de pose, durabilité dans le temps… la laine de bois a tout bon !

Composée de chanvre et de fibres de bois, elle est proposée sous forme de panneaux, souples ou semi-rigides ou de rouleaux ou de vrac (obtenu grâce à des fibres broyées puis séchées), avec parfois un voile de confort qui facilite l’installation.

On vous dit tout sur ce matériau qui gagne à être connu.

Un isolant naturel pour une habitation saine

Tout comme le liège, la laine de coton ou de lin ou encore la ouate de cellulose, la laine de bois fait partie de la famille des isolants écologiques.

Fabriquée à partir de copeaux de bois agglomérés, elle utilise comme principales essences l’épicéa, le mélèze ou le pin.

Une conception de surcroît écoresponsable (surtout si elle privilégie les arbres des forêts locales) puisqu’elle ne nécessite qu’une faible consommation d’énergie.

Perméable à la vapeur d’eau, ce matériau est un bon régulateur hygrométrique, c’est-à-dire qu’il régule bien l’humidité, laissant ainsi les murs respirer.

De plus, lors de sa coupe et de sa pose, il ne dégage pas de substances irritantes ou nocives.

Totalement recyclable, il offre donc une isolation naturelle performante, tout en étant respectueux de l’environnement.

Confort thermique et phonique

En raison de sa conductivité thermique faible, la laine de bois est considérée comme un très bon isolant.

En hiver, elle permet de limiter la déperdition de la chaleur et en été, elle ralentit sa progression tout en conservant la fraîcheur accumulée pendant la nuit.

En tant que matériau végétal, c’est également un isolant acoustique efficace, qui réduit les nuisances sonores et les bruits extérieurs et absorbe les sons.

Néanmoins, comme il est légèrement moins isolant que les autres laines minérales (comme la laine de roche ou de verre), il faut compter une épaisseur un peu plus importante pour obtenir un résultat optimal.

Formes et installation

Que ce soit pour du neuf ou de la rénovation, la laine de bois peut être utilisée pour isoler une maison complète : toitures (entre ou sous les chevrons), murs intérieurs, cloisons et faux plafonds, combles, planchers et même façades extérieures (sous un bardage par exemple).

En pratique, les panneaux de laine de bois sont flexibles et déformables, ce qui facilite tout d’abord la découpe à l’aide d’un couteau ou d’une scie spéciale, mais également la pose. Sans compter qu’ils s’adaptent ainsi très bien aux contours des pièces !

Lorsqu’elle est en vrac, la laine de bois peut également être soufflée sur le plancher, notamment pour l’isolation des combles perdus.

Focus : Prix et aides financières

Pour une isolation en laine ou fibre de bois, comptez environ entre 15 et 20 € le m2 pour une épaisseur de 10 cm.

Certaines subventions peuvent vous aider à financer ces travaux comme MaPrimeRénov’, les aides de l’Anah, les offres « Coup de pouce isolation » ou encore l’éco-prêt à taux zéro.

Renseignez-vous auprès de la plateforme officielle Faire.gouv.fr. Des conseillers pourront vous guider dans votre projet au 0 808 800 700 (numéro non surtaxé).

Le saviez-vous ?
La laine de bois est aussi parfois appelée fibre de bois. C’est en fait une question de rigidité et de densité : les fibres de bois ont une masse quatre fois plus volumineuse que la laine, beaucoup plus légère.

Les professionnels recommandent ainsi d’utiliser la laine pour des installations légères et de privilégier les fibres pour les zones les plus solides ou positionnées à la verticale.

L’art du kintsugi

Tout droit venu du Japon, le kintsugi propose de redorer littéralement parlant les objets que l’on a cassés. Cette technique ancestrale s’impose désormais comme une véritable tendance déco.

Après la vague des tendances déco scandinaves (lykke, hygge, lagom…), c’est au tour du pays du Soleil-Levant d’insuffler ses inspirations dans nos intérieurs.

Si le wasi-sabi nous avait déjà donné un aperçu des influences décoratives japonaises, c’est désormais le kintsugi qui nous fait voyager.

Cet art ancestral nippon consiste à redonner vie à des objets cassés pour les rendre encore plus beaux malgré leurs imperfections. Zoom sur cette mouvance pleine de sens !

Une pratique artistique et philosophique

S’il arrive peu à peu dans nos intérieurs européens, le kintsugi n’est pourtant pas nouveau !

Il s’agit d’un art japonais séculaire, né au XVe siècle. Le principe est simple : lorsqu’un objet est cassé – généralement de la vaisselle ou un vase –, on le répare en soulignant ses « cicatrices » d’un liseré d’or.

Cette technique a l’avantage de rendre les bibelots brisés encore plus beaux qu’ils ne l’étaient mais aussi de les renforcer grâce à la laque utilisée.

Au-delà de l’aspect esthétique et décoratif évident du kintsugi, c’est une vision symbolique de résilience très japonaise que l’on retrouve dans cet art.

On ne cherche plus à masquer les défauts mais à les sublimer ; l’objet accepte ses imperfections, ce qui le rend plus résistant.

On dit même qu’un kintsugi est plus solide qu’avant sa blessure ! Certains puristes n’hésitent alors pas à vérifier la force de la réparation en jetant à nouveau au sol l’objet raccommodé.

Un processus lent et minutieux

Mais, attention, le kintsugi n’est pas à la portée de tous les doigts ! Il s’agit d’un art minutieux qui requiert patience, concentration et précision.

En effet, la réparation d’un objet à la mode nippone nécessite plusieurs étapes, qui peuvent prendre plusieurs semaines, voire plusieurs mois.

Au Japon, on a pour habitude de dire qu’un bon kintsugi prend un an !

Il faut d’abord réunir un à un les éclats de l’objet cassé, les nettoyer et les recoller avec une laque spéciale appelée « urushi », particulièrement résistante, mais qui ne supporte pas les UV.

Une fois les morceaux assemblés, il faut laisser sécher et poncer les aspérités.

Ensuite, à l’aide d’un pinceau spécial, appelé « kebo », on dépose de l’or ou tout autre métal en poudre (laiton, argent, cuivre…) sur les « cicatrices » laquées, ce qui donnera un effet de coulée de métal.

L’objet est enfin prêt à être poli avant de venir embellir votre intérieur. On aimera tout particulièrement des kintsugi sur des étagères ou dans une vitrine.

Focus : La naissance du kintsugi

La légende rapporte que le shogun (le général) Ashikaga Yoshimasa (1435-1490) utilisait toujours son bol préféré, le « chawan », lors de la cérémonie du thé.

Un jour, hélas, il se brisa. Il l’envoya donc en Chine, d’où il provenait, pour le faire réparer.

Mais il fut extrêmement déçu du résultat car le bol revint bardé de vilaines agrafes métalliques qui, non seulement le défiguraient, mais en plus, ne le rendaient absolument pas étanche.

Il chargea alors des artisans japonais de trouver une solution plus fonctionnelle, mais surtout plus esthétique : l’art du kintsugi était né…

Expérimentation : le RGE chantier par chantier

Si faire appel à un artisan « reconnu garant de l’environnement », ou RGE, est en principe indispensable pour bénéficier des aides à la rénovation énergétique, une nouvelle expérimentation assouplit le dispositif.

Rendre un logement moins énergivore n’est pas donné à tout le monde. Toute rénovation énergétique suppose en effet une maîtrise technique importante pour être performante. A

fin de garantir la qualité de ces travaux, l’État a par conséquent mis en place un processus de labellisation des professionnels, baptisé RGE ou « reconnu garant de l’environnement ».

Depuis janvier 2021, une nouvelle alternative est possible. Explications.

Un déficit d’entreprises labellisées

Faire appel à un artisan certifié RGE est une condition sine qua non pour prétendre aux subventions financières aux travaux de rénovation énergétique, telles que MaPrimeRenov’, les primes énergie et offres « Coup de pouce », l’éco-prêt à taux zéro ou encore les aides de l’Agence nationale de l’habitat (Anah).

Or, si ce dispositif a fait ses preuves depuis sa création en 2011, il a également démontré ses limites en attirant tout un tas d’entrepreneurs peu scrupuleux.

Au fil du temps, plusieurs évolutions sont donc venues renforcer le processus de labellisation, au point que les démarches administratives sont devenues trop lourdes pour les petits artisans du bâtiment.

Résultat, le nombre de sociétés certifiées a tendance à chuter.

Pour inverser la donne, un arrêté paru au Journal officiel du 30 décembre 2020 a donc lancé une expérimentation, pour une durée de deux ans, d’un dispositif plus souple : le RGE chantier par chantier.

Rallier de nouveaux professionnels

L’objectif est clair : développer les travaux de rénovation énergétique (isolation, chauffage, ventilation, etc.) en les ouvrant à un vivier d’entreprises ne disposant pas de la qualification RGE, et ce, tout en permettant aux ménages de profiter des aides habituelles.

Côté professionnel, il faut justifier d’un minimum de deux ans d’activité, être dûment enregistré et assuré et avoir une situation financière stable pour prétendre à ce dispositif.

En outre, sont notamment ciblés les artisans qui travaillent seuls et les petites structures puisque la qualification est limitée à trois chantiers par entreprise sur toute la durée de l’expérimentation.

Afin de garantir la qualité des travaux effectués, chaque chantier sera par ailleurs systématiquement audité, en présence de l’entreprise et du client, par un organisme de qualification (Qualibat, Qualit’ENR ou Qualifelec).

Un bon plan pour les ménages !

Côté clientèle, il s’agit de faire les choses dans les règles pour éviter les mauvaises surprises.

Commencez par déterminer les rénovations à réaliser et discutez avec l’entrepreneur de la possibilité d’obtenir des aides.

Pensez également à vous renseigner sur votre éligibilité sur la plateforme Faire.gouv.fr ou auprès d’un conseiller officiel au 0 808 800 700 (numéro non surtaxé).

Ceci étant fait, vous devez signer un devis en bonne et due forme contenant une clause suspensive, en cas de refus de la délivrance de la qualification RGE chantier par chantier.

Autrement dit, si l’organisme de qualification refuse le dossier, vous ne serez pas tenu de faire appel à l’entrepreneur.

À l’inverse, en cas d’accord, le client reçoit un certificat lui permettant de faire sa demande d’aides publiques.

Attention : il faut attendre d’avoir reçu la validation de la subvention pour démarrer les travaux.

À la fin du chantier, un audit sera réalisé dans un délai maximum de trois mois pour contrôler la conformité des rénovations.

Et ce n’est qu’en cas de rapport favorable, ou après avoir réalisé les corrections demandées, que l’artisan pourra facturer son client.

Des premiers retours positifs

L’expérimentation RGE chantier par chantier « connaît un démarrage très encourageant », selon un communiqué publié par Qualibat au début de l’été.

Six mois après le lancement, l’organisme de qualification faisait ainsi état de 145 dossiers étudiés, dont une vingtaine validés, tandis que les autres étaient encore en attente de compléments. En revanche, 17 dossiers avaient été rejetés.

De même, la moitié des demandes concernaient des professionnels ayant déjà été labellisés RGE par le passé ou l’étant toujours mais dans une autre catégorie de travaux.

Quant aux travaux réalisés, il s’agit essentiellement de chantiers d’isolation, avec en tête de liste celle réalisée sous toiture par l’intérieur (42 dossiers), suivie à ex aequo par les menuiseries extérieures et l’isolation par l’extérieur (21), mais aussi les toitures-terrasses (13) et les combles (11).

Un intérieur douillet

L’arrivée de la saison froide rappelle bien souvent aux propriétaires les imperfections de leur logement. Courants d’air, factures de chauffage en hausse et autres soucis de cheminée ont tôt fait de gâcher l’ambiance.

Que vous ayez un important chantier de rénovation en tête ou simplement l’envie de donner un petit coup de jeune à votre
intérieur, piochez des idées et conseils dans notre dossier !

furnished living room in newly constructed luxury home

Des poignées déco pour métamorphoser ses meubles

Chics et peu coûteuses, les poignées sont l’accessoire idéal pour donner un coup de jeune à votre mobilier ! Suivez nos idées pour customiser harmonieusement vos vieux placards et buffets.

À condition d’en prendre soin, vos meubles peuvent sans problème remplir leur fonction pendant de nombreuses années sans jamais flancher.

Mais pour ce qui est de leur style, c’est une tout autre affaire !

Entre l’usure naturelle, la valse incessante des modes et l’évolution des goûts personnels, même les pièces de mobilier les plus neutres peuvent finir par vous déplaire.

Heureusement, il est possible de les customiser sans vous ruiner ni entreprendre de pénibles travaux !

Le secret ? Miser sur les accessoires et notamment sur les poignées, car en matière de décoration, les petits détails peuvent faire toute la différence…

On joue sur les formes

Attirant immédiatement l’œil, poignées et boutons de tiroirs ont tôt fait de donner un look affirmé à vos commodes et placards.

Pour leur donner un coup de boost, il suffit de retirer les accessoires ton sur ton, démodés ou trop classiques pour les échanger contre des versions plus actuelles.

Et cela passe d’abord par un jeu de forme.

Dans l’air du temps, les barres cylindriques ou rectangulaires apportent un côté simple et raffiné aux vieux meubles vintage de la cuisine ou de la salle à manger.

Plus ces modèles longilignes sont longs et fins et plus ils allongent visuellement les façades pour une esthétique chic.

Les poignées bouton rondes permettent, à l’inverse, d’apporter de la douceur et des courbes à un mobilier austère, tandis que les versions carrées, bien moins courantes, se démarquent par leur originalité.

Pour encore plus de relief, optez pour des modèles ajourés à l’effet graphique saisissant !

On mixe les styles

Au top des tendances, les poignées rétro en métal vieilli noir, cuivré ou patiné ont la cote auprès des adeptes d’une déco old school.

Revenues sur le devant de la scène, les poignées en forme de coquille dont le style évoque les meubles d’antan sont également parfaites pour créer une ambiance champêtre.

Pour souligner le côté vintage de votre ameublement, vous pouvez sinon opter pour des poignées au look plus marqué en laiton, en céramique ou en porcelaine peintes à la main.

Les grandes enseignes de bricolage et d’ameublement se font aujourd’hui un plaisir de reproduire ce type de modèles.

Néanmoins, les puristes préféreront chiner des pièces authentiques dans les brocantes et vide-greniers en optant, pourquoi pas, pour des poignées dépareillées afin de rompre la monotonie de l’alignement des placards.

L’astuce : mixer des modèles au style affirmé avec des versions plus simples pour éviter de surcharger visuellement l’ensemble.

On mêle les matières

Pratique à laver et esthétique, l’inox a depuis longtemps une place de choix dans le marché des poignées d’ameublement.

Ceci dit, il existe aujourd’hui un large panel de matériaux plus originaux pour customiser votre mobilier.

Un temps passé de mode, la porcelaine et la céramique séduisent notamment par leur côté rétro et créent des contrastes de couleur et de matière qui subliment les meubles robustes.

Matière naturelle largement plébiscitée, le bois s’invite lui aussi sur les poignées de porte pour réchauffer l’ambiance.

Dans une quête incessante d’originalité, de nouveaux matériaux plus insolites jouent aussi les outsiders, à l’image du cuir qui se présente sous la forme de lanières attachées par des clous dorés ou argentés pour des poignées de caractère.

Pour un côté plus brut, vous pouvez vous tourner vers un artisan pour confectionner des poignées artistiques en fer forgé sur mesure.

Des poignées DIY

Rien de tel qu’une touche de fantaisie pour dynamiser facilement un meuble sobre ou quelconque.

Et grâce au do-it-yourself, les idées ne manquent pas !

Une solide cordelette ou une chaînette en fer rouillé a ainsi tôt fait de se transformer en poignée de tiroir atypique pour instiller un esprit récup’ dans la pièce.

Vous pouvez aussi faire un tour dans votre boîte à outils pour dénicher vos accessoires. Entre les mains d’un bricoleur, un long boulon fixé à la façade par des crochets peut aussi faire office de poignée.

Autre astuce très esthétique : les galets ramassés sur la plage qu’il suffit de coller sur un petit support en métal pour en faire de jolis boutons de tiroirs.

Sur le même principe, vous pouvez d’ailleurs détourner une myriade d’objets à fixer sur des supports adaptés comme de grandes clés anciennes ou des morceaux de tuyaux en cuivre.

Laissez libre cours à votre imagination !

Créateur de Maisons à Vivre…

Une maison à la hauteur de vos rêves !

Construire votre maison, vous y pensez depuis longtemps …
Nos architectes sont là pour vous guider, comprendre vos aspirations, vos besoins, vos envies et dessiner avec vous les plans d’une demeure au style architectural très personnel.

Ainsi, depuis 50 ans, les MAISONS GEVA conçoivent et réalisent, sur les Landes et la Côte Basque, des maisons au style contemporain où se mêle modernité et lignes classiques.

Les plans réalisés sur mesure sont basés sur de larges ouvertures, des espaces aérés et un parfait équilibre des formes.

Le soin particulier apporté à chaque détail de finition et la qualité de construction suivant des techniques éprouvées par des équipes maîtrisant leur sujet contribuent au bien-être et au sentiment de sécurité des occupants.

Les nouvelles technologies en termes de domotique et d’économies d’énergies sont parfaitement intégrées dans les réalisations des MAISONS GEVA.

Agence CAPBRETON : 35 avenue Maréchal Leclerc
Capbreton – 05 58 35 14 66

Agence DAX : Avenue Saint-Vincent de Paul
Dax – 05 58 74 13 96

Siège : 11 Place Raymond Poincaré
Mont-de-Marsan – 05 58 75 29 38

www.maisons-geva.fr
geva.maisons@wanadoo.fr

Lire aussi : Créateur de Maisons à Vivre… ; L’Atelier V ; Maison d’en France


Des poêles à bois version mini

Esthétiques, design, ergonomiques et pratiques, les poêles à bois se métamorphosent en version miniature pour s’adapter à tous les logements, même les plus petits.

Le son du bois qui crépite, le ballet captivant des flammes et l’odeur de fumée qui s’en dégage : les poêles à bois ont de nouveau la cote depuis quelques années.

À bûches ou à granulés, ils savent allier écologie et performance.

Mais désormais, les designers s’attachent particulièrement à proposer des produits en phase avec les intérieurs les plus restreints.

Les poêles à bois se font design et ergonomiques pour devenir une pièce déco à part entière. Zoom sur ces appareils au format mini qui ont tout des grands !

La solution des petits espaces

Séduits par l’effet cocooning et chaleureux d’un poêle à bois, qu’il soit à bûches ou à granulés, les Français sont de plus en plus nombreux à plébisciter cet appareil de chauffage.

Bémol : il ne convient pas à tous les intérieurs, et notamment les plus petits dans lesquels il est souvent impossible d’installer un tel dispositif.

Qu’à cela ne tienne, les fabricants développent de plus en plus des modèles XS tout aussi conviviaux mais qui s’adaptent aux surfaces restreintes !

Attention toutefois, ces poêles miniatures font seulement office de chauffage d’appoint.

En effet, leur puissance se situe aux alentours de 5 kW et ils fonctionnent avec des bûches de petites tailles (et donc plus chères à l’achat) ou avec des granulés classiques.

On réservera par conséquent ce type de chauffage à la pièce de vie principale d’une maison ou aux appartements.

En plus d’équiper les petits salons, le poêle à bois format mini est aussi un bon compromis pour une tiny house (maison miniature), une roulotte, une yourte etc., bref une habitation atypique.

Critères de choix

Comme pour les poêles à bois classiques, on trouvera chez leurs cousins miniatures trois modes de diffusion principaux. La convection naturelle d’abord, où la chaleur est diffusée sans ventilateur, ce qui en fait un appareil particulièrement silencieux (entre 32 et 36 dB).

La version ventilée, elle, dégage la chaleur vers le haut de la pièce ou vers le fond.

D’ordinaire bruyante, cette technologie le sera forcément moins avec un poêle mini.

Il existe aussi parfois un mode « silence » afin de réduire le bruit de la ventilation.

Enfin, sur les appareils canalisables, on trouve deux ventilateurs visant à mieux répartir la chaleur dans les pièces cloisonnées.

Mais cette version n’est pas la plus courante.

Avantages et inconvénients

Outre le fait qu’il puisse investir des petits logements, le principal avantage d’un poêle à bois version XS c’est qu’il peut se coller au mur et notamment dans les angles afin d’optimiser tous les espaces, grâce à sa sortie de fumée supérieure.

On évite ainsi un encombrement en profondeur supplémentaire, ce qui n’est pas négligeable quand on compte les mètres carrés !

L’inconvénient, c’est que ce type de poêle est plutôt rare sur le marché et pas forcément renouvelé régulièrement.

Le prix aussi sera peu ou prou le même que pour un modèle traditionnel puisque les versions mini sont généralement plus design et donc plus onéreuses : comptez entre 1 000 et 4 000 € pour un petit format.

Cuisiniste : le choix du sur-mesure

Lieu de partage, la cuisine est souvent la pièce maîtresse des logements. Pour un aménagement aux petits oignons de cet espace qui se veut pratique et esthétique, mettez sur la liste des ingrédients les conseils des cuisinistes.

Autrefois confinée en coulisse, la cuisine a pris une importance prépondérante dans la structuration d’une habitation.

Lieu de vie convivial, elle se doit de correspondre au caractère des occupants mais aussi d’intégrer les dernières solutions techniques, tout en faisant preuve d’ergonomie.

Pour se concocter la cuisine de ses rêves, rien ne vaut alors l’expertise des professionnels ! Les cuisinistes sont en effet là pour vous conseiller au mieux et vous aider à faire les bons choix.

Un pro à votre service

Faire appel aux services d’un cuisiniste garantit un accompagnement sur le long terme, de la conception à la pose.

Au-delà de l’assemblage des meubles, c’est la réalisation d’un projet personnalisé qui s’adapte à votre bien et à vos goûts.

Le cuisiniste connaît les matières, les couleurs, les meubles…

Comme un architecte d’intérieur, il va créer une ambiance en jouant sur les volumes, la lumière, les coloris.

On est loin des cuisines achetées en pièces détachées ! Il a donc un rôle de concepteur, de conseiller, de designer et enfin de technicien.

Il prend en compte tous les paramètres que vous lui indiquez et s’adapte à vos envies et à votre budget.

Des prix variables

À partir de cette définition, si les souhaits de chacun guident la réalisation, il est évident que le prix ne peut pas être fixé à l’avance.

Différents critères entrent en compte : superficie de la pièce à aménager, gamme de mobilier choisie, nombre de meubles, électroménager, matériaux pour les plans de travail, habillages et crédences…

La part de la conception est aussi difficile à chiffrer : le plan d’aménagement d’une cuisine est unique !

Le prix le sera tout autant.

Faire appel à un cuisiniste, c’est donc le gage de concevoir une belle cuisine à votre image, en contrepartie d’un budget qui sera forcément plus important.

Les étapes de réalisation

Une fois les choix et le budget bien définis, plusieurs étapes seront nécessaires à la réalisation de votre nouvelle cuisine.

Le professionnel qui vous accompagne doit ainsi faire une étude de la surface à aménager et dessiner un plan avec l’emplacement du mobilier.

Lorsque le schéma est bouclé, un devis est proposé et ajusté en fonction de vos retours.

Par la suite, le cuisiniste mettra en place un plan de fabrication et d’installation lorsque les cotes exactes de la pièce à aménager auront été prises.

Il assurera alors la commande des matériaux et des pièces et c’est également lui qui sera responsable du bon déroulement des travaux et de la tenue des délais et du budget.

Que doit mentionner le devis d’un cuisiniste ?

Si vous faites appel à un cuisiniste, comme d’autres artisans d’ailleurs, il est dans l’obligation de vous fournir un devis avant de commencer les travaux.

Ce document doit alors comprendre le montant détaillé des prestations fournies, répertorier les meubles à installer (matériaux, mise en œuvre, etc.), leurs dimensions et les appareils d’électroménager.

Il doit encore inclure la durée des garanties contractuelles ou commerciales, la date limite de validité du devis, le nom et la signature du vendeur.

Cottage : la déco à l’heure anglaise

Envie de dépaysement ? La tendance cottage transforme votre maison en véritable havre campagnard. Douceur et authenticité sont au rendez-vous de ce style british qui a su s’imposer dans nos intérieurs modernes.

En attendant une prochaine escapade champêtre, la déco se met à l’heure du cottagecore !

Cette tendance, tout droit venue de la campagne anglaise, insuffle un vent d’authenticité dans nos maisons en faisant la part belle aux meubles rustiques, au motif liberty et aux accessoires bucoliques, comme pour être transporté directement dans le Hampshire ou les Cotswolds.

Mais nul besoin de disposer d’une vieille maison en pierres pour instaurer ce style so british : il s’adapte aussi bien aux logements citadins en quête d’une déco au tempérament bien trempé.

Des codes d’antan à la sauce moderne

Largement inspiré des petites maisons éponymes de la campagne anglaise, l’esprit cottage semble se démocratiser dans l’univers de la décoration.

Reconnaissable entre toutes grâce à ses motifs liberty, ses meubles chinés rustiques et ses matériaux de belle facture tels que le bois, le cuir, le velours ou la faïence, cette tendance apporte de la douceur et de l’authenticité à toutes les décorations modernes.

Puisque la mode est à mêler l’ancien avec le contemporain, le cottagecore s’immiscera donc très facilement dans votre intérieur !

À chaque pièce son cottage

L’avantage de ce style très anglais est qu’il s’adapte à toutes les pièces de la maison ! Dans le salon, on optera pour des meubles en bois clair et des couleurs douces comme le rose poudré.

Il est possible également d’installer, avec parcimonie, du papier peint liberty.

Le canapé sera choisi avec un design old school et des motifs fleuris.

On peut ainsi opter pour une version chesterfield, tout à fait dans le thème.

Les accessoires tels que les chandeliers, les natures mortes ou un lustre en bois donneront la touche finale.

Dans la chambre, on retrouvera le papier peint fleuri que l’on accommodera avec des meubles au style romantique et des rideaux imposants.

On n’hésite pas non plus à choisir un joli dessus de lit en boutis brodé.

Dans la cuisine maintenant, la vaisselle sera à la fête !

Les imprimés champêtres, les matériaux tels que la faïence et les ustensiles vintage viendront décorer l’ensemble de votre pièce.

Et si la table à manger est installée dans la cuisine, on la choisira en bois brut et on optera pour des chaises dépareillées.

Enfin, dans la salle de bains, la baignoire îlot est de mise ! Imposante et somptueuse, elle sera la pièce maîtresse de ce lieu dédié à la détente.

Jouez également sur les finitions de la robinetterie en optant pour du laiton ou du cuivre pour parfaire cet esprit cottage.

Comment bien isoler sa chambre du froid ?

Pas question de recharger ses batteries dans une chambre froide, humide ou pleine de courants d’air !

Afin de profiter d’un repos bien mérité dans une pièce sereine et confortable, une bonne isolation s’impose !

Suivez le guide. La chambre est souvent un refuge, un cocon douillet où l’on doit se sentir protégé des agressions extérieures comme le bruit, l’humidité, le froid hivernal ou encore la chaleur extrême.

Même si elle a moins besoin d’être chauffée que les autres pièces de vie de la maison, une bonne isolation est alors indispensable pour la rendre la plus confortable possible et garantir un bon sommeil, tout en allégeant les factures énergétiques.

Bien isoler ses murs

Après le toit, les murs sont une grande source de déperdition de chaleur.

L’isolation thermique intérieure doit alors se faire en priorité sur les parois froides, c’est-à-dire celles donnant sur l’extérieur de la maison, afin de contrôler le passage d’air.

Contrairement à l’isolation dite extérieure, cette méthode permet de ne pas se lancer dans des gros travaux de façade.

Vous pouvez vous lancer seul, si vous vous en sentez le courage, ou faire appel à un professionnel qui vous orientera sur les différentes méthodes (avec des panneaux ou en vrac) et isolants possibles, de la laine de verre à la laine de roche, de lin, de bois ou de chanvre, en passant par le polyuréthane ou la ouate de cellulose.

Attention, ce genre de chantier se fait plutôt pendant la saison chaude.

Une peinture isolante à moindre coût

Si vous ne souhaitez pas tout casser et agir vite, vous pouvez sinon opter pour des solutions, certes moins efficaces, mais faciles à mettre en œuvre à l’image de la peinture isolante.

Celle-ci est composée de résines spéciales reflétant les infrarouges et agissant comme une barrière anti-froid.

Elle se pose comme une peinture classique et se décline dans une large palette de couleurs. Autre option : les panneaux de liège, que l’on trouve en rouleaux et qu’on colle facilement au mur.

L’isolation par le sol

Si votre chambre se situe au rez-de-chaussée, son sol est peut-être directement posé sur la dalle de béton ce qui peut générer de grandes déperditions énergétiques.

La technique la plus simple consiste alors en une isolation par le bas, un isolant est fixé sur la face intérieure du plancher, à l’aide de plusieurs matériaux possibles (plaques de polystyrène expansé, mousse de polyuréthane, laine de verre, liège…).

En outre, il convient de bien choisir son revêtement de sol : le carrelage sera plus « froid » qu’un parquet en bois ou qu’un sol en vinyle par exemple.

Longtemps mal aimée, la moquette fait également son retour dans l’aménagement intérieur.

Se déclinant en plusieurs teintes, elle a l’avantage de pouvoir se poser facilement, sans gros travaux, et de donner à la pièce un confort doux et moelleux, tout en conservant la chaleur ambiante de la maison.

L’importance d’une bonne fenêtre

Lorsqu’elles sont mal isolées, les fenêtres créent d’importants courants d’air. Si elles sont trop anciennes et laissent passer le froid, l’heure est peut-être venue de les changer !

Les constructeurs proposent aujourd’hui une multitude de modèles conçus dans des matériaux performants comme le PVC, qui possède un très bon rapport qualité/prix, le bois, à la fois chaleureux et résistant mais nécessitant un entretien plus régulier, ou encore l’aluminium, très esthétique.

Dans tous les cas, ils doivent répondre aux critères imposés par la réglementation thermique en vigueur.

Enfin, pour une isolation optimale, veillez à choisir un bon double ou triple vitrage, qui s’avère très efficace.

Focus : Quelques astuces économiques

Si vous n’avez pas les moyens de changer vos fenêtres, des alternatives moins coûteuses peuvent vous dépanner.

Veillez tout d’abord à ce qu’elles soient bien calfeutrées, en refaisant les joints régulièrement (le matériel coûte quelques euros en magasin de bricolage).

Installez également des rideaux épais ou thermiques (fabriqués dans une matière isolante), qui limitent les variations de températures et vous gardent bien au chaud.

Vous pouvez aussi opter pour un film isolant de survitrage, qui ajoute une couche anti-froid à la vitre existante.

De même, si vous avez des volets, pensez à les fermer durant la nuit : ça ne coûte rien et cela permet de sauver quelques degrés !

Enfin, pensez aux classiques, mais néanmoins efficaces, boudins et autres bas de porte, aux tapis épais au sol (qui réchauffent les surfaces fraîches comme le carrelage), aux panneaux réflecteurs de chaleur à placer derrière les radiateurs ou encore aux boîtes d’encastrement étanches, à installer sur les prises électriques pour lutter contre les infiltrations d’air.