Le plafond se mue en cinquième mur

Longtemps oublié ces dernières décennies, le plafond redore aujourd’hui son blason et se pare à nouveau d’ornements, fresques, peintures et moulures en tout genre.

Une tendance déco qui propulse nos intérieurs dans une autre dimension.

On vous glisse quelques idées pour l’habiller. Bien souvent délaissé au profit du sol et des murs, le plafond retrouve son rôle de protagoniste majeur des atmosphères de nos pièces à vivre.

Voici comment vous pouvez le personnaliser pour apporter la touche finale à votre décoration.

Le retour de l’art pictural

Autrefois richement décorés, nos plafonds se sont petit à petit transformés en toiles vierges afin d’apporter un maximum de luminosité à nos pièces à vivre et d’agrandir visuellement l’espace.

Si cette évolution a certes ses avantages, elle a fait perdre à nos logements une partie de leur cachet et de leur originalité.

Sans pour autant transformer votre salon ou votre chambre à coucher en réplique de la chapelle Sixtine, vous pouvez par exemple peindre une fresque végétale le long des angles ou des motifs géométriques autour de vos lustres et luminaires.

Afin d’apporter une touche de couleur tout en restant dans la sobriété, il est également possible de peindre l’ensemble de votre plafond dans une teinte unie.

Préférez toutefois les nuances claires et lumineuses afin de ne pas assombrir votre intérieur, et n’hésitez pas à jouer sur les effets d’optique en délimitant l’espace avec le tracé.

Dans une chambre d’enfant, où davantage de fantaisie est possible, un ciel bleu étoilé ou parsemé de nuages évanescents apportera une dimension onirique.

Autre possibilité : poser un papier peint en trompe-l’œil.

Les moulures, la touche chic

Si vous avez la chance d’habiter dans un vieil immeuble haussmannien, il y a fort à parier que votre plafond soit orné d’une corniche, d’une rosace ou d’autres moulures typiques de cette époque.

Mettez en avant ce bel héritage architectural en les faisant restaurer par un artisan ou en leur appliquant tout simplement un coup de pinceau (blanc ou coloré) pour leur rendre leur splendeur d’antan.

À défaut, vous pourrez aisément faire poser des plaques de plâtres afin de créer du relief ou faire réaliser des moulures en stuc sur mesure par un professionnel.

Enfin, vous trouverez des dalles, rosaces et moulures en polystyrène à petit prix dans n’importe quelle grande enseigne de bricolage, très faciles à installer et qui feront parfaitement illusion sur votre plafond.

Les boiseries apparentes

Chaleureux et authentique, le bois apporte une atmosphère conviviale à nos pièces à vivre.

Pour créer une ambiance rustique un brin rétro, on met donc en valeur la charpente et les anciennes poutres, quitte à casser le faux plafond qui les recouvre parfois – ce qui vous fera également gagner quelques centimètres de hauteur.

Pour donner une impression de cocon réconfortant, des lambris au plafond seront du plus bel effet.

Mais si vous préférez les intérieurs contemporains minimalistes, misez plutôt sur des tasseaux.

Des suspensions créatives

Vos luminaires de plafond et éclairages encastrés peuvent aussi se hisser au rang d’œuvres d’art, en prenant des formes abstraites et des volumes XXL qui attireront inexorablement le regard.

Enfin, la grande tendance des murs végétalisés gagne également le plafond, afin de nous plonger dans une verdure vivifiante et apaisante.

Le bois, un mode de chauffage d’avenir

Alors que le fioul est désormais une énergie non grata et que les tarifs de l’électricité flambent, le bois tire largement son épingle du jeu comme mode de chauffage économique et performant. Et si vous l’adoptiez vous aussi ?

Qu’il se présente sous forme de bûches naturelles, densifiées ou reconstituées, de plaquettes ou encore de granulés, le bois a plus que jamais la cote !

La France est d’ailleurs le premier pays européen utilisateur de bois énergie, essentiellement grâce au chauffage domestique.

Fortement encouragés par l’État et plébiscités par les ménages, poêles et chaudières modernes au bois se vendent ainsi comme des petits pains ces dernières années. Reste à choisir l’équipement le plus adapté à vos besoins.

Sous le feu des projecteurs

La situation du chauffage au bois domestique est assez paradoxale.

En effet, il était responsable de 43 % des émissions nationales de particules fines appelées PM 2,5, ainsi que de plus de la moitié des très fines émissions en PM 1,0 en 2018 d’après les chiffres du gouvernement. Or, ces particules seraient responsables de 40 000 décès par an en France selon Santé publique France.

Pourtant, l’État ne cesse d’encourager les foyers à adopter ce combustible !

Et pour cause, il s’agit d’une énergie renouvelable, neutre en carbone et de surcroît abordable.

Si les équipements les plus vétustes et vieilles cheminées à foyer ouvert sont peu efficaces, polluants et même dangereux pour notre santé, les appareils actuels ont ainsi gagné en performance et en sécurité, et ce, dans le respect de l’environnement.

Dès lors, les autorités poursuivent un double objectif : renouveler mais aussi étendre le parc de chauffage domestique au bois.

Outre le remplacement des vieux poêles et cheminées, l’ambition est en effet d’atteindre « les 9,5 millions de logements chauffés au bois d’ici 2023, puis 10,2 à 11,3 millions en 2028, à consommation de bois constante », comme le souligne l’Agence de la transition écologique (Ademe).

Cheminée, poêle ou chaudière ?

Le moins qu’on puisse dire, c’est que les Français sont réceptifs aux appels du pied du gouvernement ! En 2021, quelque 422 930 appareils de chauffage domestique au bois ont en effet été vendus, d’après le suivi réalisé par l’Observatoire national des énergies renouvelables. Face à un choix pléthorique, certains repères sont alors bien utiles.

Si vous avez déjà une cheminée mais qu’elle a un foyer ouvert, la solution la plus économique est d’y ajouter un insert pour optimiser ses performances. L’alternative consiste sinon à changer d’équipement de chauffage.

Vous pouvez alors jeter votre dévolu sur un foyer fermé moderne et efficace ou opter pour un poêle à bûches, à granulés (pellets) ou à accumulation (plus efficace mais plus coûteux).

Design, peu encombrant et, en général, moins cher qu’une cheminée, cet appareil offre un rendement qui varie entre 70 et 90 % selon les modèles.

En revanche, si vous souhaitez une autonomie confortable, oubliez les bûches qui ne durent que quelques heures. Dans tous les cas, sachez que vous pouvez également recourir à un système de gaines reliées au poêle pour distribuer la chaleur dans les pièces éloignées.

Dans une grande maison, il peut toutefois être plus judicieux de se tourner vers une chaudière à bois dans le cadre d’un chauffage central qui pourra aussi produire de l’eau chaude.

L’investissement est évidemment bien plus important mais vous pourrez alimenter tous les radiateurs de la maison et réaliser ainsi de précieuses économies d’énergie – et donc de factures – sur le long terme.

Focus : Quel coût ?

Si l’on trouve des inserts de cheminée et des poêles à bûches dès 1 000 €, les versions à granulés peuvent atteindre 6 000 €, tandis que les modèles à accumulation se monnaient entre 5 000 € et 16 000 €.

Quant aux chaudières à bois, leur prix varie du tout au tout en fonction de la technologie et du combustible utilisés (de 5 000 € à 20 000 €), les bûches restant encore et toujours les moins onéreuses mais les moins performantes. Privilégiez dans tous les cas un appareil estampillé Flamme verte 7 étoiles ou équivalent.

Ce label qualité vous garantit un haut rendement énergétique, en contrepartie de très faibles émissions polluantes. Pour faire baisser la facture, pensez enfin à solliciter les aides publiques telles que MaPrimeRénov et les certificats d’économie d’énergie attribués par les fournisseurs d’énergie.

Renseignez-vous auprès d’un conseiller France Renov au 0 808 800 700 (numéro non surtaxé) ou en ligne sur France-renov.gouv.fr.

Actualité : anticipez vos achats de bois

Entre la hausse de la demande et la crise en Ukraine, le bois est victime de risque de pénurie, comme beaucoup de matières premières.

En tête de liste, les sacs de pellets (granulés) peuvent être compliqués à trouver en plein cœur de l’hiver.

Mieux vaut donc anticiper la période froide en se fournissant avant !

La bûche densifiée, avantages et inconvénients

De plus en plus utilisée par les particuliers, la bûche densifiée est une alternative au morceau de bois traditionnel et apparaît comme une solution à la fois pratique et écologique.

Zoom. Alors que les bûches traditionnelles proviennent d’arbres coupés, les bûches densifiées, ou compressées, sont fabriquées à partir des déchets de bois (sciures, copeaux) issus de plusieurs essences.

D’abord séchées, ces matières premières brutes sont soumises à une forte pression (300 bars) à l’aide d’une machine spéciale (la briqueteuse), afin d’être compactées en un seul bloc.

C’est le même principe que pour les pellets de bois, mais à une dimension plus grande puisqu’une bûche densifiée pèse autour de 2 kg.

Un produit écologique et durable

De par son processus de fabrication unique, qui permet de réutiliser intelligemment les restes et les chutes dont les industries n’ont pas besoin, la bûche densifiée se veut en adéquation avec l’esprit du développement durable.

De même, elle est entièrement fabriquée à partir de matière première naturelle, sans aucun de traitement ou ajout de produit chimique, additif ou colle.

Enfin, elle émet moins de matières polluantes et de particules fines que les bûches classiques, et leur combustion émet 5 à 10 fois moins de CO2 que les énergies fossiles comme le fioul ou le gaz.

Grâce à tous ces atouts, la bûche densifiée peut être qualifiée d’écologique !

Un pouvoir calorifique et un rendement intéressants

Si elle est plus chère que la bûche classique, la bûche densifiée a le gros avantage de posséder un rendement optimal et très intéressant sur le long terme.

Elle est en effet bien plus calorifique avec environ 5 kWh/kg, contre 3,5 kWh/kg pour une bûche traditionnelle. En fonction du fabricant, ce produit peut également avoir diverses compositions.

On différencie ainsi les bûches dites « de jour », fabriquées à partir de bois brut et qui créent des flammes vives ; et celles « de nuit », issues d’écorces et qui ont une capacité de chauffe plus modérée et plus longue (pouvant aller jusqu’à 8 heures d’affilée).

De plus, comme la bûche densifiée est sèche, son utilisation limite l’encrassement de l’appareil de chauffage, qu’il s’agisse d’un poêle, d’une cheminée à insert, d’une chaudière ou d’une cuisinière à bois.

Ce type de combustible stabilise la température dans le foyer et maintient un niveau de braise constant, permettant une flambée homogène et régulière.

Un combustible pratique et propre

Avec les bûches densifiées, on gagne aussi de la place !

En effet, ce format compact nécessite un espace de stockage moins grand que le bois classique. Mais attention, il faut l’abriter des intempéries et de l’humidité, qui a tendance à le déliter.

À titre d’exemple, avec un appareil de chauffage performant et adéquat, une seule brique peut mettre une à trois heures à se consumer.

En outre, le bois compressé est très propre car il ne génère pas de poussière. De par son processus de fabrication, il résiste également aux insectes et aux champignons.

Peu d’inconvénients

Au final, la bûche compressée présente peu d’inconvénients par rapport à ses nombreux avantages, si ce n’est son prix, plus élevé qu’un bois de chauffage traditionnel, mais qui est cependant rentabilisé grâce à un rendement plus élevé et intéressant sur le long terme.

On peut également rencontrer quelques difficultés pour l’allumage et l’entretien du feu, souvent plus difficiles qu’avec le bois brut. Pour faciliter le démarrage des flammes, il est donc conseillé de mélanger ces deux types de bois.

En outre, en raison du peu d’humidité que contiennent les bûches et de leur besoin moindre en air pour se consumer, elles auront tendance à avoir une combustion un peu trop rapide dans des poêles ou des cheminées à fort tirage.

Cette bûche brûle ainsi beaucoup plus vite au contact de l’atmosphère et nécessite une consommation plus importante. Pour éviter cela, le mieux est de s’équiper d’un appareil de chauffage avec un minimum d’entrées d’air.

Conditionnement et prix

Généralement conditionnées par pack de 5, les bûches densifiées sont aussi proposées en format palette (une palette contient environ 100 packs de 5), ou en quart de palette (constitué de 24 packs).

Côté tarifs, comptez entre 4 et 6 € le pack de 5, et environ 300 € minimum pour une palette entière.

Du Klein plein les yeux

Longtemps cantonné au domaine de l’art contemporain, le bleu Klein est aujourd’hui aussi une référence en matière de design. Son incomparable ton en fait une couleur dynamique, moderne et lumineuse pour toute la maison.

À l’instar du bleu Majorelle, directement inspiré des jardins de Marrakech, c’est au tour du bleu Klein de prendre les pleins pouvoirs dans la décoration !

Magnétique, culte et électrisant, ce ton que l’on doit à l’artiste Yves Klein distribue les énergies positives dans toute la maison, invite à la réflexion et sublime les lignes les plus contemporaines. Une couleur mythique qui va faire fureur dans nos intérieurs !

Une couleur iconique

À la fois fascinant et très énigmatique, le bleu Klein a toujours été le petit secret de son inventeur, Yves Klein, la figure de proue du mouvement Nouveau réalisme.

En 1960, il dépose la formule de l’International Klein Blue (IKB) à l’Institut national de la propriété industrielle et signe la plupart de ses performances artistiques de ce bleu électrique.

Copiée mais jamais égalée (les composants sont tenus secrets), cette teinte inspire depuis plus de soixante ans les créateurs de mode et les designers qui voient dans ce bleu outremer, intense et pur, le fil rouge d’une tendance indémodable.

Hypnotique et électrique

Ses pigments francs et poudreux peuvent en repousser plus d’un quand il s’agit d’intégrer l’IKB dans sa décoration. Pourtant, ce monochrome a de nombreux atouts, dont sa capacité à capter la lumière comme aucune autre couleur.

C’est ainsi qu’il inspire les designers les plus cotés du moment, à l’instar de Tom Dixon qui a choisi le bleu Klein pour revêtir sa S-Chair. Même inspiration pour le fauteuil soviétique et vintage Bunny, réédité récemment en IKB, ou encore pour la lampe Olo, signée par Jean-Baptiste Fastrez pour la maison d’édition de design Moustache.

C’est parce que le bleu Klein se suffit à lui-même, qu’il capte immédiatement le regard et sublime tous les éléments sur lesquels il s’appose, que les créateurs se contentent d’en faire le minimum. Nul besoin de fioritures, il suffit de peu pour que cette teinte arty prenne tout son sens !

Ses pièces de prédilection

Dans la maison, le bleu Klein permet de donner du peps, de jouer sur les contrastes et d’apporter de la luminosité à n’importe quelle pièce. C’est d’abord à travers la peinture qu’il vient embellir nos intérieurs.

En effet, sur un pan de mur, il apporte de la profondeur, d’autant plus si on déborde sur les moulures, les plinthes et les corniches.

On n’hésitera pas non plus à opter pour l’IKB dans un couloir ou dans une cage d’escalier. Afin d’obtenir un effet graphique et tendance, on s’autorise carrément à peindre les marches !

Côté associations, le bleu Klein se marie à la perfection avec le blanc et le bois clair.

C’est la raison pour laquelle il est tout à fait adapté aux pièces de vie et même dans la salle de bains où il apportera de la pureté.

Dans la chambre ou le bureau, il offre beaucoup de sérénité, appelle à la méditation et apaise le mental.

Mais c’est encore sur le mobilier que ce monochrome se révèle le plus.

Un canapé, un fauteuil, un pouf ou quelques vases en bleu Klein et voilà que votre décoration prend une tout autre tournure !

Sur les accessoires, l’IKB se fait plus design que jamais, voire objet d’art, tout comme sur les tapis et autres curiosités décoratives qui suscitent l’interrogation…

Des poêles et cheminées toujours plus design

Les Français plébiscitent plus que jamais les appareils de chauffage au bois. Qu’il s’agisse d’un poêle ou d’une cheminée, ces équipements permettent de faire des économies mais aussi d’habiller les pièces de vie. Les nouveautés design en la matière en sont la preuve…

Winter is coming ! La saison des feux de bois arrive, et avec elle, son lot de nouveautés. Si les poêles et cheminées convainquent toujours plus de Français, c’est d’abord parce qu’ils permettent de se chauffer à moindre coût, mais aussi parce que ces équipements apportent une touche d’originalité à nos intérieurs.

En plus d’allier écologie et performances, ils deviennent en effet des pièces déco à part entière. Poêles suspendus, cheminées panoramiques, parois sans montants et coulissement latéral, versions mini… Nos appareils de chauffage sont à la pointe de la modernité et savent se fondre harmonieusement dans l’architecture.

En version mini

Si l’on se laisse facilement séduire par l’effet chaleureux d’un poêle à bois ou d’une cheminée, ce type d’installation ne convient pas à tous les intérieurs, et notamment les plus petits dans lesquels il est souvent impossible d’installer de tels dispositifs.

Qu’à cela ne tienne, les fabricants développent de plus en plus de modèles XS tout aussi cocooning, mais qui s’adaptent aux surfaces restreintes.

Outre le fait qu’il puisse investir des petits logements, le principal avantage d’un appareil de chauffage au bois XS est qu’il peut se coller au mur et notamment dans les angles afin d’optimiser tous les espaces, grâce à sa sortie de fumée supérieure.

En effet, on évite ici un encombrement en profondeur supplémentaire, ce qui n’est pas négligeable lorsqu’on doit compter chaque mètre carré.

Attention toutefois, ces versions miniatures font seulement office de chauffage d’appoint.

Leur puissance se situe ainsi aux alentours de 5 kW et elles fonctionnent avec des bûches de petites tailles (et donc plus chères à l’achat).

En lévitation

Pour les logements qui disposent d’une belle superficie, le poêle à bois suspendu est probablement l’option la plus design. Ici, l’appareil peut être relié au plafond et tenir grâce au conduit, ou bien, se fixer directement au mur. Dans tous les cas, le socle disparaît totalement pour laisser place à l’esthétisme du produit.

Néanmoins, si cette solution est originale et séduisante, il faut savoir que les poêles suspendus nécessitent aussi un ancrage mural important, ce qui n’est pas forcément le cas dans les habitations modernes, souvent dotées de plaques de plâtre.

En revanche, si le poêle est placé au centre de la pièce par exemple, il permettra une répartition optimale de la chaleur et une performance énergétique importante.

Évidemment, le prix de ces modèles est forcément bien plus élevé que les appareils classiques. Comptez jusqu’à 7 000 € pour un poêle suspendu.

Spectacle panoramique

Assurément esthétiques, les poêles à bois et cheminées permettent aussi d’admirer le spectacle des flammes sans en rater une miette !

En effet, il existe des modèles panoramiques, c’est-à-dire dotés d’une large vitre qui occupe la quasi-totalité de la face avant du foyer.

Certains disposent même de plusieurs vitrages pour une vision encore plus sensationnelle. À cela s’ajoute l’option « rotation », qui permet de profiter du feu sous tous les angles, peu importe où l’on se trouve dans la pièce. Selon les appareils, une rotation de 36 à 360 degrés est possible.

Le petit plus : une plaque de cuisson

En plus de chauffer votre intérieur, les dernières innovations vous permettent également de cuisiner avec votre poêle à bois. Certains appareils sont ainsi tout-en-un et séduisent par leur capacité à cuisiner au feu de bois, tout en disposant de la technologie actuelle.

Ces poêles sont pour cela équipés d’une plaque vitrocéramique escamotable, d’une hotte et d’un gril pour répondre à tous les besoins.

Comment chauffer sa véranda en hiver ?

Vous possédez une véranda mais ne savez pas comment la chauffer efficacement en hiver sans pour autant vous ruiner ? Voici comment procéder pour pouvoir profiter de cet espace toute l’année. Qu’il est agréable d’avoir une véranda !

Cet endroit baigné de lumière est une véritable pièce à part entière dans laquelle on peut se détendre et recevoir des convives. Néanmoins, même avec une bonne isolation, les températures hivernales fragilisent chaque année les nombreux vitrages qui composent votre véranda, provoquant ainsi une perte importante de chaleur.

Si certains désertent cette pièce jusqu’au retour des beaux jours, d’autres mettent la main au porte-monnaie, quitte à trop consommer. La solution ? Trouver le système de chauffage le plus adapté.

Chauffages d’appoint

Si, et seulement si, votre véranda est assez petite (moins de 20 m2) et surtout bien isolée, optez pour un chauffage électrique.

Peu encombrant et facile à poser, il se chargera de répandre de la chaleur sans faire de trou dans votre budget.

Vous pourrez également faire installer des convecteurs électriques dans chaque coin de la pièce ou miser sur un poêle à bois ou à granulés.

Très tendance, ce type de chauffage produit suffisamment de chaleur tout en donnant un aspect cocooning et chaleureux à l’espace.

Attention toutefois à bien vous renseigner en amont : s’équiper d’un poêle à bois nécessite certaines contraintes. Il faut par exemple penser à l’installation de conduits d’évacuation pour la fumée.

Enfin, pensez à couper votre chauffage pendant la nuit pour ne pas gaspiller de l’énergie ni augmenter inutilement votre facture d’électricité.

Prolonger son chauffage central

Pour ceux qui possèdent une chaudière suffisamment puissante, sachez qu’il vous sera peut-être possible d’étendre le circuit de chauffage de votre logement à votre véranda.

En effet, efficace et économique pour certains foyers, cette alternative permet de relier des radiateurs ou un chauffage au sol à votre chauffage central déjà existant.

Limiter sa consommation

La pompe à chaleur est également une possibilité fortement recommandée pour chauffer sa véranda. Ultra-économique, ce dispositif remplace une chaudière et produit plus d’énergie qu’il n’en consomme ; une vraie révolution !

Vous devrez ici choisir entre la pompe à air-air et la pompe à air-eau.

La première est conseillée pour pouvoir chauffer votre véranda en hiver et la climatiser en été. En effet, son système puise l’air froid extérieur pour le transformer en air chaud à l’intérieur en hiver, et vice versa l’été.

La deuxième, quant à elle, est utilisable seulement en saison hivernale puisqu’elle va chauffer le circuit d’eau de chauffage de l’habitation.

Pensez écolo

Les familles les plus sensibilisées à l’environnement peuvent autrement se servir de l’énergie du soleil.

Or, la véranda est l’endroit idéal pour adopter ce système de chauffage écologique puisqu’elle est le plus souvent très bien exposée pour pouvoir profiter d’un maximum de luminosité.

Vous aurez ici le choix entre des panneaux solaires qui transformeront le rayonnement solaire en chaleur naturelle, tandis que les modèles photovoltaïques créeront de l’électricité pour alimenter vos radiateurs ou vos chauffages.

Les nouvelles technologies à votre service

Les amateurs de domotique se dirigeront probablement vers le chauffage connecté. Cette alternative permet de contrôler le thermostat de sa véranda grâce à un smartphone.

Si vous êtes intéressé, il faudra avant toute chose vous procurer des prises connectées, auxquelles vous pourrez ensuite brancher votre chaudière individuelle, votre pompe à chaleur ou encore votre chauffage électrique, si tant est que vos appareils puissent s’adapter à ce nouvel outil.

Ni une, ni deux, vous pourrez régler à n’importe quelle heure de la journée, en direct de votre canapé, la température de votre véranda. Quand on vous dit qu’il est possible de profiter de cette pièce toute l’année !

Chaudière au gaz ou au fioul : il est grand temps de changer !

La lutte contre les gaz à effet de serre a sonné le glas des chaudières au fioul ou au charbon au 1er juillet 2022, tandis que les modèles au gaz sont sur la sellette.

Entre mesures contraignantes et aides financières, l’État incite plus que jamais les ménages à tourner le dos aux énergies fossiles polluantes. Le secteur du bâtiment est un domaine clé dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Alors que la France a pour objectif de diviser par quatre ses émissions de gaz à effet de serre d’ici 2050, l’étau se resserre progressivement autour des énergies fossiles polluantes.

Dès lors, les chaudières à charbon, au fioul et probablement au gaz appartiendront bientôt au passé…

Exit le fioul et le charbon

Polluant, énergivore et onéreux, le chauffage au mazout est dans la ligne de mire des autorités depuis des années. Et après un an de report, l’interdiction des chaudières au fioul et au charbon a finalement été actée pour de bon à travers un décret du 5 janvier 2022.

Ce texte a en effet relevé le niveau d’exigence en matière d’émission de gaz à effet de serre des appareils de chauffage en imposant, au 1er juillet 2022, un plafond strict de 300 gCO2eq/KWh PCI, ce qui exclut d’office ces équipements.

Et on parle ici d’une interdiction quasi totale puisque ces modèles ne peuvent désormais ni être installés dans les constructions neuves (logements et locaux professionnels) ni servir à remplacer une chaudière défectueuse dans un bâtiment ancien.

Pour autant, si vous vous chauffez actuellement au fioul, pas d’inquiétude, votre appareil pourra toujours être entretenu et réparé par un chauffagiste, jusqu’à ce qu’il soit définitivement hors d’état de marche ou que vous décidiez d’en changer.

Par ailleurs, par dérogation à cette nouvelle réglementation, il sera tout de même possible d’installer un modèle au fioul si aucune autre solution n’est techniquement pas possible (pas de réseau de chaleur ou de gaz naturel existant).

Le gaz en ligne de mire

Si le sort des chaudières au fioul est clair, la multiplication des textes a en revanche semé la confusion concernant le statut des équipements au gaz. Il faut ici distinguer deux situations : dans le neuf et l’ancien.

Ainsi, la RE 2020, la nouvelle réglementation du bâtiment applicable depuis le 1er janvier 2022, a fixé un seuil d’émission carbone à 4 kg CO2eq /m²/an pour les habitations individuelles neuves. Or, ce plafond exclut les chaudières fonctionnant exclusivement au gaz.

Sont donc ici uniquement ciblées les maisons dont la demande de permis de construire a été réalisée après cette date.

Pour l’heure, les immeubles collectifs et professionnels neufs ne sont pas concernés, mais devraient l’être d’ici 2024 ou 2025.

Du côté du parc ancien, en revanche, pas de changement prévu pour le moment. Dès lors, vous pouvez toujours acheter librement une chaudière au gaz pour remplacer un modèle vétuste.

Seule condition : le nouvel appareil doit respecter le plafond d’émission de gaz à effet de serre de 300 gCO2eq/KWh PCI qui s’applique dorénavant à l’ensemble des équipements neufs de chauffage ou dédiés à la production d’eau chaude, toutes énergies confondues.

Des aides pour changer d’équipement

Il n’empêche, le gaz et le fioul représentent deux des trois modes de chauffage les plus utilisés à l’échelle nationale !

Près de 11 millions de logements sont en effet raccordés au réseau de gaz naturel selon le bilan 2020 de GRDF, tandis que le Centre d’études et de recherches économiques sur l’énergie (Ceren) a recensé quelque 3,2 millions de chaudières au fioul dans les habitations françaises cette année-là.

Pour changer la donne, l’État associe donc les interdictions progressives à la mise en place d’aides financières.

Alors que MaPrimeRenov permettait déjà de financer le remplacement d’une chaudière au fioul ou au gaz par un modèle plus performant, le montant octroyé a ainsi été augmenté de 1 000 € et peut désormais culminer jusqu’à 11 000 € (variable selon votre niveau de revenus) si vous optez pour un appareil à énergie renouvelable.

Pompe à chaleur, chaudière au bois ou autre biomasse et énergie solaire thermique sont ici concernées, sous réserve de déposer sa demande d’ici le 31 décembre 2022.

Vous pouvez en outre cumuler ce coup de pouce avec les certificats d’économie d’énergie attribués par les fournisseurs d’énergie sous forme de prime, de bon d’achat ou de réduction.

Attention, en revanche, si les chaudières à gaz à très haute performance énergétique sont encore subventionnées a minima, l’aide à l’achat de MaPrimeRenov sera supprimée au 1er janvier 2023.

6 conseils pour améliorer le rendement de sa cheminée

Si la cheminée a son charme et apporte du cachet à n’importe quelle pièce, sa première utilité est tout de même de réchauffer la maison ! Avec quelques astuces, on peut alors augmenter facilement sa performance. Ah, les bûches qui crépitent et de jolies flammes qui embellissent nos soirées d’hiver…
Avec son charme simple et authentique, la cheminée apporte du confort et de la chaleur à notre maison. Il n’empêche, elle n’est parfois pas le moyen de chauffage le plus efficace.
En effet, les modèles traditionnels à foyer ouvert ont tendance à concentrer la chaleur autour d’eux, plutôt que de la diffuser dans toute la pièce.
Pour améliorer leur fonctionnement et donc leur rendement, quelques petites techniques existent.

Installer un insert

Dans le contexte actuel, miser sur des chauffages performants et peu énergivores, tout en préservant l’environnement, est primordial. Or, on estime que le rendement d’un foyer ouvert est d’environ 10 %, sans compter les émissions de particules fines.
Le gouvernement a d’ailleurs prévu d’interdire ces modèles dans les constructions neuves à l’avenir et d’inciter les propriétaires qui en possèdent déjà un à poser un insert avec une vitre.
Si vous ne l’avez pas déjà fait, c’est le moment d’opter pour cette solution qui peut être rapidement rentabilisée.
Cette installation, qui limite les déperditions de chaleur, permet en effet d’augmenter la performance calorifique de 20 à 70 % en moyenne, tout en limitant la pollution.

Utiliser une plaque foyère

Vous pouvez également accessoiriser votre insert. Astuce ancestrale qui a fait ses preuves, la plaque foyère (aussi appelée plaque de cheminée) est le plus souvent en fonte ou en céramique, deux matériaux qui stockent et redistribuent très bien la chaleur, et a pour but de protéger l’arrière-foyer.
Mais elle permet aussi d’emprisonner et de renvoyer dans la pièce une partie de la chaleur produite pour une meilleure diffusion.

Opter pour un récupérateur de chaleur

Selon les professionnels, installer un récupérateur de chaleur dans une cheminée permettrait d’optimiser le fonctionnement de celle-ci jusqu’à 40 %.
S’il existe différents modèles à air ou à eau, le principe reste le même puisqu’il s’agit de récupérer la chaleur produite pour la diffuser dans la pièce et ainsi augmenter les performances de votre chauffage.

Simples à mettre en place, les équipements à air peuvent consister en un serpentin posé dans l’âtre et relié à des bouches d’aération ou bien en une trappe de récupération située sous le foyer pour récolter les braises et restituer leur chaleur.
Plus complexes, les récupérateurs à eau nécessitent d’avoir un chauffage central auquel votre cheminée sera reliée grâce à des tuyaux pour chauffer l’eau et alimenter vos radiateurs ou votre plancher chauffant.

Bien choisir son combustible

Dans tous les cas, s’il y a bien un élément à ne pas négliger pour obtenir un rendement optimal, c’est le combustible. Il en existe plusieurs types : les bûches de bois, les briquettes (bois déchiqueté et compressé sous forme de bûchettes), les granulés (faits à partir des résidus des scieries compactés) ou encore la plaquette forestière (issus de branchages et de déchets végétaux broyés).
En outre, la puissance du chauffage varie selon la nature du bois car certaines essences sont plus calorifiques que d’autres.
Les bois « durs » comme le chêne, le charme l’érable ou le hêtre ont un meilleur rendement que ceux dits « tendres », tels que le sapin, le cèdre ou l’épicéa.
De plus, ces derniers, qui sont des résineux, ont tendance à encrasser le conduit de la cheminée et sont donc à éviter.

Stocker son bois intelligemment

Les conditions de stockage et de séchage du bois ont un impact direct sur sa qualité, et donc sur son rendement une fois dans la cheminée. Plus le bois est sec, mieux il brûle.
Veillez donc à le conserver dans un endroit à l’abri de toute humidité, aéré et ventilé. S’il est entreposé à l’extérieur, pensez à le couvrir pour le protéger des intempéries.
Évitez de poser les bûches (calibrées idéalement entre 50 et 60 cm) à même le sol pour éviter qu’elles ne pourrissent et ne les serrez pas trop les unes contre les autres, afin de laisser l’air circuler.
Enfin, pour que votre combustible soit bien sec, ne soyez pas trop pressé et laissez-le sécher le temps qu’il faut. Sachez qu’un bois coupé au printemps ne devrait être brûlé au minimum qu’un an et demi, voire deux ans, après.

Focus : Bien entretenir sa cheminée

Négliger l’entretien de sa cheminée entraîne nécessairement une baisse de sa performance, voire un risque d’incendie.
C’est pourquoi il est obligatoire de faire ramoner le conduit par un professionnel deux fois par an, dont une fois durant la saison froide, celle où l’on s’en sert le plus.
Ce dernier vous remettra un certificat de ramonage, souvent demandé par les assureurs en cas de sinistre.

Feuilletez le Mag N°24

Retrouvez ici tous les articles du magazine Idées au logis version Automne Hiver 2022-23 : un magazine haut de gamme semestriel gratuit qui est dédié à la construction, à l’aménagement intérieur, extérieur et à la décoration au Pays Basque et dans les Landes. Une sélection des tendances habitat, des meilleurs artisans et commerçants du Pays Basque et des Landes.

Ce magazine gratuit est à retrouver chez tous nos dépositaires, ainsi que par simple demande par courrier
ou par email : contact@cameleon-communication.fr.

Marius Aurenti

Faire corps avec la matière

Matières Marius Aurenti, pionnier du béton ciré millimétrique, crée et perfectionne les plus belles matières décoratives depuis plus de 30 ans.
Un magasin vient de s’ouvrir au Rond-point de l’Europe à Biarritz (à côté de l’agence Stéphane Plaza).

Venez découvrir le Béton Ciré, le mobilier et la peinture végétale.

Le Béton ciré Classic/ Mortier fin lissé, des Matières Marius Aurenti peut être appliqué au sol et sur les murs dans les cuisines, salles de bains, douches à l’italienne, plans de travail et plans vasques, sur du mobilier et même en extérieur, dans les piscines, etc.

Créateur du béton ciré millimétrique dans les années 1990, Matières Marius Aurenti n’a eu de cesse, depuis, de perfectionner cette matière pour lui donner une finesse et une qualité exceptionnelles.
Mise au point dans nos laboratoires, la technologie Blush rend notre béton ciré pour sols extrêmement qualitatif et résistant.

Comparativement, aucun revêtement ne présente une telle résistance mécanique sur une si faible épaisseur d’application.
Le Béton ciré Classic Marius Aurenti est disponible en kit et dans 71 teintes, exclusivement élaborées à partir de pigments naturels en poudre. La composition du Béton ciré, matière minérale à 95%, en fait un enduit chaleureux, aux teintes subtiles, tout en nuances.

Au fil des années, Marius Aurenti a élaboré des traitements permettant de multiplier l’utilisation du Béton ciré dans l’habitat résidentiel, les hôtels, boutiques et restaurants.
Idéal en rénovation, on peut appliquer le Béton ciré directement sur un ancien carrelage sain grâce à un primaire d’accroche spécifique.

MA’s s’engage aujourd’hui à assurer le Béton ciré Classic avec une garantie de non fissuration sur 15 ans. Cette assurance couvre les fissures intrinsèques qui pourraient survenir dans le matériau, à l’exclusion des mouvements du support et d’un usage inapproprié du produit.

Elle couvre à la fois la matière et sa mise en oeuvre, dans le respect de l’intégralité du processus Marius Aurenti, par une entreprise dûment formée.

Matières Marius Aurenti
5 avenue Mohernando – Biarritz
www.mariusaurenti.comFacebook : mariusaurentibiarritz

Les couleurs de Méline

La qualité accessible à tous, faîtes appel à une experte en peinture !

peinture & décoration – Intérieur & Extérieur

Passionnée par son métier, Méline exerce depuis 10 ans dans la peinture en bâtiment. Être une femme dans ce milieu masculin n’est pas un handicap, au contraire, c’est un atout !

Elle aime conseiller ses clients afin de tout mettre en œuvre pour réaliser toutes leurs envies déco, suivant leurs idées, les possibilités techniques, les tendances du moment tout en maitrisant leur budget.

Elle est affiliée maître en couleurs, formation et diplôme délivrés par le groupe Akzonobel (Astral).

Elle travaille avec Landes Peinture (son fournisseur), qui ouvre un nouveau magasin d’ici quelques semaines, un futur showroom magnifique !
Grâce à un large choix de gamme et de produits (peintures, revêtements de sols, papiers peints et toutes finitions utiles…) une multitude de projets sont réalisables.

Les couleurs de Méline
Rivière Saas et Gourby
06 23 80 34 85

Lire aussi : Le retour en vogue du bois ; Un coach pour ma déco ; Hourquet & Fils Tapissiers ; Quand le rondin fait la déco ; HD Sièges ; Antiquités Hélène & Nicolas

Thierry cheminées

Avec plus de 20 ans d’expérience, Thierry Cheminées vous accompagne
pour tous vos projets.

Maison d’architecte, solution moderne et design. Installation, pose et entretien de cheminées, poêles et inserts à bois, granulés et gaz
dans les Landes et le Pays Basque.

Thierry Cheminées vous propose toute une gamme de solutions de chauffage pour votre intérieur, que ce soit des cheminées à foyer ouvert ou fermé, des cheminées métalliques sur mesure, centrales ou suspendues, ainsi que des poêles à bois ou à granulés, des inserts a gaz et poêles a gaz…

Il propose aussi la pose et vente de STAFF deco (plâtre moulé) tableau, tête de lit, protection poêle à bois decoration mural etc…

Il réalise également des objets de décoration artisanaux : luminaires en acier, tableaux en acier, cenou mural, etc. Tous nos produits sont en vente sur demande, ou visible dans notre showroom de Capbreton.

ZA des 2 pins – 6 Rue des Resiniers
40130 Capbreton – 06 05 45 38 517
www.thierrycheminees.com

SCAN-LINE

Les véritables poêles à bois scandinaves

Les véritables poêles à bois Scandinaves économiques, écologiques, de robustesse et qualité danoise avec un rendement calorifique impressionnant.

Nos poêles à bois ont une combustion allant jusqu’à 1200° qui permettent de brûler tout bois même les résineux et le bois de palettes.

La haute température obtenue dans le foyer fait que la vitre reste toujours propre et sont très économiques en bois grâce à la double combustion.

Nous vous proposons une large gamme en acier, fonte, différentes pierres et faïences.

6 allée du canal • ZI les Pontôts • ANGLET
05 59 93 45 28 • 06 40 89 24 96
scanline64.bab@orange.fr
scanline-anglet.com

keriene

Envie de changer ou créer vos espaces intérieurs ?

Espaces privés ou professionnels, si vous souhaitez modifier vos intérieurs, je vous accompagne dans la réalisation de vos projets avec rigueur et enthousiasme !

  • Plans 3D
  • Home Staging
  • Réorganisation maison et bureau
  • Shopping liste
  • Planche Ambiance

Pays-Basque – Les Landes – Paris

06 70 04 09 96
@keriene_laila_fouga

SAS CELTI électricité

La société SAS CELTI est une entreprise familiale qui intervient auprès des particuliers et de professionnel (entreprise, mairie, architecte, hôtel, restaurant, magasin, cabinet médical…) dans le domaine de l’électricité.

Logement :

– Construction de maison neuve
– Rénovation d’appartement ou maison
– Pose de panneau photovoltaïque auto consommation
– Domotique
– Alimentation coffret piscine
– Motorisation de portail
– Installation de borne de recharge pour voiture électrique
– Chauffage (vente et installation) et ventilation

Tertiaire public et privé :

– Courants forts et courant faibles
– Equipement armoire industrielle
– Maintenance des installations
– Automatisation
– Réalisation d’entretien éclairage de sécurité, alarme incendie et coupure d’urgence
– Réalisation câblage coffret remorque TP et citerne
– Dépannage station d’irrigation , pivot

Informatique :

– Câblage réseau fibre optique

Dépannage tous types électriques

Faites appel à nos services (secteurs 32, 40, 64 & 65) :
Celti Sas – 668 Chemin de Robert – Saint-Loubouer
05 58 44 73 21 – 06 48 91 20 70 – jlc.celti@orange.fr

Glastint : Les experts du film et du vitrage

Glastint vous propose de nombreuses gammes de films isolation pour vitrages : les films de protection solaires rejettent la chaleur du soleil à l’extérieur du bâtiment, tandis que les films basse émissivité (isolation au froid) permettent de conserver la chaleur d’un chauffage à l’intérieur de la pièce. Tous ces films, quand ils sont teintés, protègent également de l’éblouissement.

Films de protection solaire (anti-chaleur, été)

Les films de protection solaire (ou « films solaires anti-chaleur») pour vitrage permettent d’améliorer le confort thermique au sein du bâtiment et ainsi de réaliser d’importantes économies d’énergie (normes HQE, RT 2012 et RT 2020, mise en conformité décret Tertiaire, Loi ÉLAN…).

La chaleur est rejetée à l’extérieur pour un plus grand confort à l’intérieur. En réduisant l’apport thermique, l’utilisation de la climatisation est diminuée, entraînant d’importantes économies sur la facture d’énergie.

Films d’isolation au froid (hiver)

Les films d’isolation au froid (hiver) Glastint (films basse émissivité) permettent de renforcer efficacement l’isolation des vitrages en limitant la déperdition de la chaleur du chauffage vers l’extérieur.

La température des parois vitrées intérieures augmente de 2 à 5 degrés, évitant la sensation de « parois froides ».

On réduit l’utilisation du chauffage, ce qui permet de réaliser d’importantes économies

Économies d’énergie

Les films de protection solaire (anti-chaleur / été) et isolants (hiver / froid) permettent non seulement d’améliorer le confort thermique dans le bâtiment, mais aussi de réaliser d’importantes économies d’énergie.

En effet, la climatisation et / ou le chauffage sont moins sollicités, ce qui entraîne une diminution de la consommation énergétique.

La solution films est de fait souvent privilégiée pour la rénovation de bâtiments aux normes HQE / RT 2012.

Films solaires anti-éblouissement

Les films solaires anti-éblouissement sont particulièrement efficaces contre les rayons lumineux, cause d’éblouissement.

Ces rayons peuvent venir du soleil directement, mais aussi de reflet sur un bâtiment, d’un sol neigeux, etc. Les films solaires anti-éblouissement sont alors indispensables pour améliorer le confort de l’environnement de travail.

Dans le cadre du diagnostic de vos besoins, nos experts sont équipés d’un Luxmètre pour établir votre ratio de clair de jour.

Grâce au calculateur, l’expert Glastint comparera les pics de luminosité de votre pièce suivant les différents traitements et configurations retenus.

Ces films solaires anti-éblouissement rééquilibrent la luminosité d’un lieu sans la diminuer.

Il est aussi possible de réaliser des casquettes solaires, soit des bandes de film posées sur la hauteur du vitrage, afin de casser les rayons lumineux gênants.

Les films Sécurité Glastint

Protéger les biens, les personnes et les données est un besoin universel, tout particulièrement en ce début de siècle agité.

Qu’il s’agisse de problématiques exceptionnelles ou du quotidien, les Gammes de films GLASTINT répondent à de nombreux besoins :

▪ Retardateurs de bris de glace (films sécurité neutre)
▪ Risques d’explosion industrielle (ATEX), d’attentats, agression ou cambriolages
▪ Films Anti-graffitis et anti-rayures
▪ Protection contre les regards extérieurs
▪ Protection contre les piratages visuels de vos données

SERVICES GLASTINT INCLUS :
Diagnostic, Conseil, Métré, Devis gratuit, Pose
Garantie « Bâtiment » jusqu’à 15 ans

Société ABPS
Auto Batiment Protection Solaire
42, avenue Benjamin Gomez ZA Saint-Frédéric ▪ Bayonne
06 83 18 61 84 ▪ bayonne@glastint.comwww.glastint.com

Le film de survitrage pour des fenêtres mieux isolées

Parmi les différents isolants proposés dans les magasins de bricolage, on retrouve souvent le film isolant ou de survitrage.

Pratique et économique, il séduit les aficionados d’une isolation à moindres frais.

Présentation. Dans un logement, les sources de déperdition de chaleur peuvent être nombreuses : l’air peut s’infiltrer par le toit, les murs, le sol ou les fenêtres.

Pour remédier à ces fuites, plusieurs moyens existent : couches d’isolants pour les murs et la toiture, rideaux épais et adaptés, double ou triple vitrage, etc.

Si elle est moins répandue et moins efficace que cette dernière option, l’installation d’un film de survitrage est également une solution pratique et bon marché pour faire la chasse aux courants d’air.

Une technique facile et pratique

Le principe du survitrage est très simple et à la portée de tous.

Il consiste à placer un film isolant plastique et translucide sur la fenêtre existante.

Le but est de renforcer l’isolation et le confort thermique afin de consommer moins d’énergie pour chauffer la maison.

Aujourd’hui, certains fabricants proposent des films isolants à microbulles, encore plus efficaces.

On les trouve sous deux formes : en version autocollante ou classique, à installer à l’aide d’un ruban adhésif.

On l’aura compris, la facilité d’installation est l’un des principaux atouts de cette technique !

Un prix abordable

Un autre avantage du film de survitrage est son coût séduisant. Comptez entre 5 et 45 € le m2, soit une moyenne d’environ 30 €.

Les prix varient évidemment en fonction des dimensions, des marques et des modèles.

Par ailleurs, ce type de produit est généralement vendu sous la forme de rouleaux de longueur variable et avec une largeur de 75 cm ou 1, 50 m.

Bémol : cette solution d’isolation à moindre coût ne permet en revanche pas de bénéficier des aides à la rénovation énergétique puisqu’elle est considérée comme non durable.

Comment l’installer ?

Pour mettre en place un survitrage, munissez-vous d’un minimum de matériel : un grattoir, une raclette, un maroufleur, un cutter, du ruban adhésif, du papier absorbant, ou un chiffon en microfibres, et enfin un pulvérisateur. Remplissez ce dernier d’une « solution de pose » en mélangeant 250 ml d’eau et quelques gouttes de savon liquide.

Préparez la vitre en dégraissant et en enlevant les impuretés grâce au grattoir, puis en la nettoyant, à l’aide de la raclette et de cette mixture.

Essuyez enfin les rebords avec le papier absorbant ou le chiffon. Une fois la paroi vitrée prête, prenez ses mesures et découpez le film isolant aux dimensions requises.

Attention à ajouter une marge supplémentaire de 2 mm !

Retirez ensuite la protection du film, puis collez le haut avec le ruban adhésif (sauf s’il s’agit d’un modèle autocollant) et déroulez-le doucement vers le bas.

Pulvérisez un peu de solution de pose sur le côté adhésif et appliquez le film sur la vitre.

Enfin, chassez les bulles d’air en marouflant le tout du haut vers le bas et du centre vers l’extérieur, avant de couper l’excédent qui dépasse avec le cutter.

Focus : Ses limites

Le film anti-froid reste intéressant en solution d’appoint. Néanmoins, si vous souhaitez faire de réelles économies d’énergie sur le long terme, il doit être provisoire et complémentaire à une isolation traditionnelle car il présente certaines limites.

S’il est plus performant qu’un simple vitrage – les fabricants annoncent des taux de réduction de perte de chaleur de 15 à 35 % –, il ne remplacera en effet jamais l’efficacité d’un double vitrage, même ordinaire.

Côté durabilité, il a en outre tendance à plutôt mal vieillir. Après les premières années, il peut se décoller dans les coins et est facilement sujet aux rayures.

La condensation, provenant des différences de température entre l’extérieur et l’intérieur, peut aussi apparaître entre la vitre et le film, formant de l’humidité stagnante.

Enfin, ne comptez pas trop sur lui pour l’isolation phonique de la maison.

Le radiateur électrique redore son blason

Alors que près de 40 % des foyers français se chauffent à l’électricité, les radiateurs trop vétustes sont énergivores et très coûteux. Heureusement, les technologies modernes ont fait des prouesses.

Traditionnellement, le radiateur électrique n’a pas bonne presse. Onéreux et peu efficace, il équipe d’ailleurs bon nombre de logements considérés comme des passoires énergétiques.

Si un large panel d’alternatives permet aujourd’hui de se chauffer de façon satisfaisante, la filière ne compte pas laisser filer les quelque 40 % de ménages français qui utilisent l’électricité !

Grâce à d’importantes avancées technologiques, les radiateurs modernes n’ont en effet plus rien à voir avec les vieux modèles énergivores et font valoir leurs atouts en tant que dispositifs de chauffage performants.

Un parc vétuste à remplacer

D’après une étude réalisée début 2021 par Effy, une entreprise spécialisée dans la rénovation énergétique, les usagers se chauffant à l’électricité déboursent l’équivalent de 16 €/m2 chauffé, juste devant le fioul (15 €) et bien loin du coût du gaz (11 €) ou du bois (9 €) qui restent particulièrement compétitifs.

Sauf qu’à y regarder de plus près, ce sont en réalité les équipements les plus vétustes qui font grimper les factures.

Entre 60 et 70 millions de vieux radiateurs (électriques ou à eau chaude) installés chez les Français auraient en effet besoin d’être remplacés selon les estimations d’Uniclima, le syndicat des industries thermiques, aérauliques et frigorifiques, ce qui est hélas rarement fait.

Pourtant, les particuliers ont tout à gagner à opter pour un appareil moderne qui leur apportera un meilleur confort pour un coût raisonnable.

Des technologies dépassées

Pour se chauffer mieux et moins cher, le premier réflexe est en effet de se débarrasser des fameux « grille-pain », ces convecteurs électriques nés dans les années 70 et qui équipent encore trop souvent les habitations.

Constitués d’une résistance qui chauffe l’air froid pour le diffuser une fois chaud par le haut, ces appareils ont non seulement tendance à assécher l’atmosphère de la pièce et à créer une sensation d’inconfort mais aussi à faire flamber les factures d’électricité.

Ils attirent malheureusement toujours les ménages grâce à leur faible prix d’achat (entre 50 et 80 €).

Dès les années 80, ils ont pourtant été concurrencés par les panneaux rayonnants qui diffusent des rayons infrarouges à travers des perforations de la façade.

Rapide à chauffer et plus performant que son ancêtre, ce dispositif pèche toutefois par un manque d’homogénéité de chaleur dans la pièce.

La nouvelle génération en place

De nos jours, c’est le radiateur à chaleur douce, appelé aussi radiateur à inertie, qui s’impose comme un émetteur de chaleur nouvelle génération.

Cet appareil offre un grand confort puisqu’il a la capacité d’emmagasiner la chaleur et de la redistribuer de façon progressive et uniforme dans tout l’espace, ce qui évite les variations de température intempestives et l’impression d’avoir chaud à la tête mais froid aux pieds.

Certains modèles proposent même un double corps de chauffe alliant l’inertie d’un matériau comme la fonte ou un liquide caloporteur avec un film chauffant apposé sur toute la façade du radiateur pour une montée en température encore plus efficace.

Si le coût à l’achat est bien entendu plus élevé – entre 100 et 500 € –, les radiateurs à chaleur douce offrent ainsi un gain économique et un confort à l’usage sans commune mesure avec leurs prédécesseurs.

Le radiateur intelligent

À l’heure des objets connectés, les radiateurs électriques ont également profité des nouvelles technologies numériques pour gagner encore en efficacité.

Les appareils les plus pointus utilisent en effet des systèmes intelligents reliés au réseau Wi-Fi de la maison pour s’adapter à la vie du foyer.

Grâce à une application dédiée utilisable depuis votre smartphone ou votre tablette, vous pouvez alors allumer ou éteindre votre chauffage à distance, régler la température, suivre votre consommation électrique ou encore créer des routines de chauffe en fonction de vos horaires et absences.

Vous pouvez ainsi programmer une augmentation du thermostat avant de rentrer du bureau ou pourquoi pas donner la consigne d’allumer le sèche-serviettes tous les jours à 7 heures pour qu’il soit bien chaud au moment de votre douche.

Grâce aux détecteurs de fenêtre ouverte ou de présence, vous éviterez également de chauffer inutilement.

Le valchromat®, un matériau naturellement design

De plus en plus populaire dans l’aménagement d’intérieur, le valchromat® fait le bonheur des menuisiers et décorateurs en leur permettant de faire preuve d’une grande créativité, tout en présentant des fonctionnalités techniques appréciables.

Découverte. Le valchromat®, vous connaissez ? Si le nom ne vous dit rien, il parle en revanche sûrement aux artisans du bois et architectes d’intérieur, qui l’utilisent de plus en plus fréquemment pour réaliser des revêtements et pièces de mobilier sur mesure qui allient praticité et design.

Grâce à sa composition et à sa couleur uniforme, cette version évoluée du bois MDF laisse libre cours à toutes nos envies déco. Voici ce qu’il faut savoir sur ce matériau innovant.

Le valchromat, qu’est-ce que c’est ?

Appartenant à la famille des MDF (medium density fiberboard), ce panneau en fibres de bois a la particularité d’être coloré dans la masse, c’est-à-dire qu’il est teinté sur toute son épaisseur, chaque fibre étant individuellement imprégnée à l’aide de colorants naturels.

Le bois, généralement du pin, est d’abord finement broyé et lavé, avant l’injection de colle et de teinture organique.

Une fois un mélange homogène obtenu, les fibres sont pressées et chauffées afin de former un panneau qui sera ensuite refroidi et découpé.

Ce procédé lui permet d’être à la fois plus stable et plus facile à travailler que le MDF standard et les contreplaqués.

Cette nouvelle matière révolutionnaire a vu le jour au Portugal à la fin des années 90 au sein de Valbopan SA, qui a d’ailleurs reçu pour cette invention le premier Prix de présentation de produit ainsi que le premier Prix d’innovation technologique lors du salon Approfal des professionnels du meuble.

De nombreux atouts techniques

Liées chimiquement les unes aux autres par une résine spéciale, les fibres de bois composant le valchromat® lui confèrent des capacités mécaniques et physiques hors normes qui le rendent facile à usiner sans s’effriter ni causer de répulsion.

Hautement résistant à la flexion et à la traction, très dense et peu abrasif pour les outils, il est idéal pour réaliser des travaux complexes, y compris décoratifs, sans voir sa couleur s’altérer ni avoir à fournir d’efforts de finition importants.

De plus, ce matériau hydrofuge peut être utilisé dans des environnements humides, mais aussi être ignifugé. Il fournit également une très bonne isolation phonique et thermique.

Sachez en outre que le valchromat® est obtenu à partir de pin des Landes issu de forêts gérées de manière écoresponsable et sans ajout de produits toxiques, ce qui en fait aussi un matériau responsable.

Quelles applications dans la maison ?

Grâce à ses nombreuses fonctionnalités, à sa large palette chromatique et aux nuances de tonalités présentes à sa surface qui créent un bel effet tridimensionnel, le valchromat® s’emploie aisément dans toutes les pièces de la maison pour créer une atmosphère contemporaine à fort potentiel design.

Il peut ainsi être utilisé pour façonner des meubles sur mesure pour les cuisines, penderies, bibliothèques ou espaces de rangement, ainsi que des panneaux décoratifs sculptés.

Et comme il possède une bonne résistance à l’usure et à l’abrasion, on peut également s’en servir comme revêtement de sol.

Ses propriétés hydrofuges lui permettent encore d’être employé dans les cuisines et salles de bains, même s’il doit alors être obligatoirement protégé par du vernis et que son application dans les zones directement exposées à l’eau (douches, comptoirs, plans de travail) est fortement déconseillée.

Enfin, vous pouvez choisir le valchromat® pour la fabrication de vos portes et revêtements muraux.

Afin de protéger sa surface et de préserver son aspect naturel, il sera alors judicieux d’appliquer une finition à vos panneaux, sous forme de vernis, de cire ou d’huile, pour un rendu mat, satiné ou brillant.

Les clefs pour bien choisir son évier

Clé de voûte de votre cuisine, l’évier est un investissement majeur pour la vie quotidienne. En plus d’être pratique et résistant, il se doit de s’harmoniser avec le style de votre cuisine.

Cela tombe bien, il en existe une multitude de modèles. Indispensable dans toute cuisine, l’évier n’est pas seulement un outil pratique et ergonomique, c’est aussi désormais un accessoire design qui met en valeur le plan de travail.

Et il existe autant de modèles qu’il y a de cuisines !

En granit, en inox, en grès ou en résine, encastrable ou à timbre d’office, il n’est pas simple de faire son choix tellement les possibilités sont vastes.

Voici un petit guide pour vous aider à trouver la meilleure option.

Encastrable, à poser ou timbre d’office

L’évier encastrable, que l’on insère dans le plan de travail découpé aux bonnes dimensions, est sans aucun doute le modèle le plus courant dans nos cuisines.

Il a l’avantage de pouvoir se poser où bon vous semble, même dans les angles, et de s’installer aussi rapidement que facilement.

Seul impératif à respecter : le rendre étanche avec un joint spécial afin d’éviter les infiltrations d’eau.

L’évier à poser, lui, est plus rare car pas forcément très esthétique, mais il est sans doute le moins cher du marché.

Il se pose sur un meuble bas sous-évier, et doit donc correspondre exactement à la taille du meuble qui lui sert de support.

Enfin, l’évier à timbre d’office fait un retour en trombe dans nos intérieurs !

Ce modèle vintage habille généralement les cuisines les plus spacieuses, qui disposent d’un grand plan de travail.

Il s’installe entre deux meubles afin de dévoiler son allure massive qui ne passe pas inaperçue.

La farandole des matériaux

Côté matériaux aussi, il y a de quoi contenter toutes les envies ! Particulièrement hygiénique, l’inox reste le symbole d’un style industriel et d’un design contemporain.

Il est cependant sujet aux rayures et aux traces d’eau tenaces, et ne conviendra donc pas aux plus maniaques des utilisateurs.

Pour un effet plus authentique, on misera sur le grès, durable, résistant à la chaleur, aux entailles et aux attaques chimiques. Il est inaltérable et garde sa couleur originelle.

Les éviers en céramique, eux, sont les plus répandus. Il est cependant conseillé d’opter pour de la porcelaine vitrifiée : sa composition est similaire à la céramique mais une couche translucide recouvre sa surface et augmente la résistance aux taches.

La vraie révolution se situe néanmoins dans le panel proposé par les matériaux de synthèse à base de résine.

Ce liant se marie avec différents éléments qui impriment leurs caractéristiques et créent des alliages divers : fibre de verre, sable, quartz ou poudre de granit.

Ces éviers sont de résistance et de qualité variables, mais présentent des avantages : entretien facile, résistance aux chocs thermiques et à la flexion. Un atout sur le long terme !

Un ou deux bacs ?

Si vous avez l’embarras du choix quant à la forme et au matériau de votre évier, vous l’aurez également quant à sa taille.

Que vous ayez une grande ou une petite cuisine, vous trouverez toujours votre bonheur parmi la pléthore de dimensions disponibles.

Pour compenser un manque de place, on optera pour un évier à un bac, idéal si vous n’avez qu’un usage limité de votre cuisine.

L’évier à deux bacs, lui, répond à des exigences plus pointues et siéra aux cordons-bleus qui ont besoin d’espace pour cuisiner.

Enfin, égouttoir ou non, c’est là un choix très personnel !

Ceci dit, les éviers qui en sont pourvus permettent de faire sécher la vaisselle et vous évitent la corvée d’essuyage.