DES ESPACES DE TRAVAIL BIEN PENSÉS

À l’heure où le télétravail est presque devenu la norme – crise sanitaire oblige –, les designers réinventent nos bureaux traditionnels pour les transformer en pièces multifonctions, pratiques et minimalistes.

Le confinement a bouleversé notre manière de travailler ! Du jour au lendemain, des millions d’actifs ont dû repenser l’aménagement de leur home sweet home pour se concocter un espace de travail digne de ce nom. Une enquête réalisée durant le premier confinement au printemps 2020 par l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact) a démontré que les télétravailleurs avaient un fort besoin de bénéficier d’un espace dédié et fonctionnel pour être plus efficaces. À ce titre, le coin bureau devient un lieu à part et son aménagement doit donc s’adapter à cette tendance nomade, tout en prenant en compte les impératifs liés à l’exercice de son métier.

Le bon espace

Pour travailler dans de bonnes conditions depuis chez soi, l’espace bureau doit être aménagé dans un lieu où l’on se sent bien. Il doit être fonctionnel, c’est-à-dire vous permettre de vous concentrer, de téléphoner mais aussi éventuellement d’organiser des visioconférences.

Dans l’idéal, on investira une pièce à part de l’espace de vie. Si les mètres carrés manquent, on optimisera les recoins non utilisés, sous l’escalier par exemple. Pour gagner de la place ou dissimuler vos affaires de travail une fois votre journée terminée, vous pouvez également insérer une table escamotable ou coulissante dans un placard. Une fois les portes fermées, cette zone sera préservée des regards et vous pourrez ainsi différencier vie professionnelle et personnelle. Une autre astuce consiste à installer un claustra, un paravent ou tout autre objet décoratif qui vous permettra de cloisonner vos différents espaces.

Du mobilier modulable et hybride

La démocratisation du télétravail a justement flouté les frontières entre maison et vie professionnelle. Le temps où l’on séparait ces deux espaces est désormais révolu ! On fait une croix sur le bureau sédentaire avec l’unité centrale et toute la panoplie. Il est aujourd’hui mobile et modulable. Face à cette nouvelle donne, les produits hybrides ont le vent en poupe. Les sièges sont ergonomiques, le mobilier est modulaire et les appareils sont plus que jamais connectés pour pouvoir accéder à ses mails et ses dossiers aussi bien chez soi qu’en déplacement. Les assises s’adaptent à ces nouveaux usages (sièges hauts, fauteuil lounge…) et se règlent pour épouser au maximum les morphologies des différents utilisateurs. Ces bureaux nouvelle génération s’attachent surtout à optimiser les rangements, sans conteste les éléments les plus importants d’un coin de travail. Fini ici les tiroirs et les caissons apparents ! On dissimule tout pour un look 100 % design, sans pour autant sacrifier l’aspect fonctionnel. Les casiers se cachent sous le plateau ou s’intègrent carrément à l’intérieur ou sur les côtés du meuble. Cela donne des bureaux compacts, épurés et arrondis.

L’idée de génie ? Transformer son bureau en un autre meuble une fois sa journée de travail terminée. Certains se métamorphosent donc en petite bibliothèque, en mini-buffet ou en table de quatre personnes pour prendre les repas. D’autres ont poussé le concept encore plus loin en permettant de transformer son bureau en lit ! Un meuble tout en un idéal pour les étudiants, par exemple, qui vivent souvent dans de petits studios. Bref, le bureau se dématérialise complètement pour être à la fois partout et nulle part.

Focus : Lumière et couleurs, des éléments à ne pas négliger

Si l’espace de travail est en pleine révolution, certains éléments essentiels ne doivent pas être négligés. Des études récentes ont démontré que les couleurs, les matières et la lumière affectent sensiblement notre bien-être et notre capacité de travail. Ainsi, contrairement à ce que l’on peut penser, le blanc n’est pas un ton adapté car il augmenterait les risques de burn-out. À l’inverse, le vert apaise et stimule, le jaune encourage la créativité, le bleu booste la concentration et le rouge décuple l’énergie. Que ce soit sur le mobilier ou sur les murs, les couleurs alors permettent de créer une atmosphère adaptée à son activité et ses besoins.

La lumière est également une donnée primordiale. Autant que possible, c’est la lumière naturelle, celle du jour, qui doit rythmer les journées de travail et inonder l’espace bureau. C’est grâce à elle en effet que notre rythme circadien se régule. Interdiction donc d’organiser son bureau dans la pénombre ou trop loin d’une fenêtre. Sachez qu’un bon éclairage permet d’accroître de 20 % sa productivité !

LE MOBILIER PREND DES COURBES

Après des mois de confinement, la maison est plus que jamais devenue un refuge, un lieu où le réconfort et le cocooning ont désormais toute leur place. Les tendances déco se prêtent donc au jeu et prennent une autre tournure en proposant notamment du mobilier tout en rondeur et enveloppant.

En ces temps troublés, nos habitations ont gagné en quiétude en se métamorphosant en des lieux où il fait bon se retrouver. Accompagnant ce besoin de sérénité et d’accalmie, le design se met à la page pour proposer des objets toujours plus sécurisants et réconfortants. Dernière tendance en date : le mobilier courbé, tout en rondeurs et ultra-confortable. Les lignes galbées et plus féminines viennent en effet nous envelopper de leur douceur et de leur silhouette molletonnée, loin des modèles contemporains froids et minimalistes.

Arrondir les angles

Après la tendance géométrique et graphique de ces deux dernières années, nos intérieurs gagnent en douceur et font l’éloge des rondeurs. S’inspirant des styles des années 50, 60 et 70 – on pense notamment à la Egg Chair d’Arne Jacobsen ou à la Ball Chair d’Eero Aarnio –, les nouvelles collections de mobilier font la part belle aux formes arrondies et aux courbes qui créent un véritable cocon. Une invitation à la détente et à la convivialité qui contrecarre notre époque agitée. Probablement inspirée de la nature et notamment de l’astronomie, cette nouvelle tendance s’affiche surtout sur les fauteuils, les poufs et les canapés. Fini les lignes droites, les assises se muent en mobilier envoûtant, sophistiqué et protecteur. Les matières sont aussi capitonnées, moelleuses et cocooning. On retrouve également ces lignes voluptueuses un peu partout dans la maison : dans les accessoires de décoration, comme les miroirs, dans la vaisselle, sur les têtes de lit, les étagères et le petit mobilier comme les vitrines ou les tables basses. Tout s’y prête, pourvu que les formes se fassent enveloppantes!

Le confort avant tout

En misant sur les volumes, les formes arrondies et les textures molletonnées, les designers d’aujourd’hui proposent donc des pièces aux lignes minimalistes mais surtout dédiées au bien-être. Simples, cosy mais toujours élégants, les fauteuils se métamorphosent en accessoires de repos absolu. En cuir ou en tissu, les courbes sont rembourrées par des coussins qui sou- tiennent toutes les silhouettes. Les formes se font aussi plus relaxantes, à l’instar des sièges en corolle qui cartonnent depuis quelques mois, afin d’accentuer le côté « détente » de ce nouveau mobilier.

Plus classique mais totalement métamorphosée, la méridienne revient également en trombe dans nos intérieurs. La déco cocooning ne pouvait en effet pas faire l’impasse sur cet élégant canapé dédié à la lecture et au repos. À grand renfort d’oreillers et de tissus moelleux, ce classique, aussi indémodable que confortable, invite inévitablement à la paresse.

Focus : Le tubulaire, c’est dans l’air !

Enfin, le mobilier tubulaire fait son grand retour ! Né à la fin des années 20 sous la houlette de Marcel Breuer, il s’impose comme un véritable bouleversement design. Comme son nom l’indique, il inclut dans sa structure des tubes en métal (généralement de l’acier), un procédé révolutionnaire pour l’époque. Certains grands designers en font leur marque de fabrique, à l’instar de Le Corbusier, Charlotte Perriand et Pierre Jeanneret qui créent toute une série d’assises (LC1, LC2, LC3 et LC4) avec des structures en acier chromé brillant ou laqué noir mat. Loin d’être démodé, le tubulaire fait un retour remarqué dans les collections actuelles. Il apporte une touche vintage et à la fois intemporelle aux décorations les plus léchées. On retrouve ces tubes en métal sur le cadre de lit, sur le piétement d’un bureau en bois, sur la table basse du salon, le meuble TV et, bien sûr, sur les pieds des fauteuils et des canapés.

LA MAISON DEVIENT VÉGANE

Alors que le véganisme, mode d’alimentation qui exclut toute forme d’exploitation ou de cruauté animale, gagne du terrain un peu partout dans le monde, la tendance fait aussi son chemin dans la décoration.

Avec plus de 350 000 adeptes dans l’Hexagone et un chiffre d’affaires en hausse de 24 % au cours de l’année 2018, le véganisme s’impose peu à peu dans le secteur agroalimentaire. Les ventes de produits végétariens et vegan devraient même continuer à croître de 17 % par an jusqu’en 2021 d’après les estimations de l’institut d’études Xerfi, avec un tiers des Français qui se disent flexitariens et 10 % qui envisagent de passer au végétarisme. Cette montée en puissance témoigne d’une préoccupation grandissante pour les questions environnementales et le bien-être animal.

Une tendance qui gagne aussi peu à peu du terrain dans les domaines de la mode et de l’habitat, inspirant les créateurs et les architectes. Les produits garantis sans cruauté animale sont-ils le futur de la décoration d’intérieur ? Découvrez quelles sont les grandes lignes qui caractérisent ce nouveau design eco-friendly.

Des matériaux qui respectent le bien-être animal

Qui dit véganisme dit refus des produits d’origine animale. Exit, donc, le cuir, la laine bouclée et autres rem- bourrages en plumes. On se tourne plus volontiers vers des matériaux naturels végétaux, comme le bambou ou le liège, également plébiscités pour leur faible impact environnemental. Pour les textiles, remplacez vos tapis lainés par des modèles en lin ou en jute. L’osier et le rotin, très tendance ces dernières années, seront aussi du plus bel effet dans vos pièces à vivre. Autre option : se tourner vers de nouveaux produits écologiques, développés à base de biomatériaux. Élus « Matériaux de l’année » lors de l’édition 2019 du London Design Fair, ils laissent s’exprimer la créativité des designers qui mettent au point des matières inédites réalisées à partir de composants aussi surprenants que les déchets de pommes de terre, les feuilles de maïs et les fibres de coco ou de bananier. Fabriqué en France, le varian, nouveau textile écolo révolutionnaire obtenu grâce à un mélange de lin et de résine de betterave, allie quant à lui la légèreté du tissu et la solidité de la tôle.

Une végétation omniprésente

Tendance vegan oblige, la décoration fait la part belle au règne végétal. Les plantes vertes envahissent toutes les pièces de la maison, y compris la chambre et la salle de bains. Cette omniprésence de la verdure apporte calme et fraîcheur à votre intérieur pour le transformer en havre zen. Par souci de l’environnement et de la préservation des ressources, on mise plus volontiers sur des plantes grasses qui ne nécessitent qu’un faible arrosage afin d’éviter de consommer trop d’eau. À vous cactus, succulentes, palmiers et monstera, pour une ambiance urban jungle garantie.

Des imitations plus vraies que nature

Si vous êtes un inconditionnel des plaids tout doux, des fauteuils en cuir moelleux et des tapis épais, sachez que vous n’aurez pas forcément à mettre vos pièces préférées au rebut pour adopter la tendance d’ameublement vegan. Les fibres végétales ou synthétiques reproduisent à la perfection le toucher velouté du nubuck ou les longs poils épais de la laine, et ce, sans avoir besoin de vider sa tirelire. Ainsi, le tapis Toftlund du géant suédois Ikea, imitation de peau de mouton composée à 100 % de polyester issu de bouteilles en plastique recyclées et primée au PETA Vegan Homeware Awards, est accessible à la plupart des bourses.

Le bien-être pour tous

Loin d’être un simple effet de mode, le véganisme se préoccupe avant tout d’un mieux vivre pour tous. Dans le secteur de l’aménagement, cette tendance se tra- duit par le choix de produits et matériaux pour lesquels aucun animal n’a été tué, maltraité ou exploité. Un choix notamment intéressant en cas d’allergies, les plumes et les substances chimiques utilisées pour traiter les peaux pouvant provoquer des troubles respiratoires et réactions cutanées, qui nuisent aux personnes sensibles mais aussi aux jeunes enfants et aux animaux domestiques.

Pépinières Bernajuzan

Découvrez vos artisans du végétal

L’entreprise fut créée en 1974 par Michel Bernajuzan. Son fils Pierre Bernajuzan décide de prendre la succession en 1988 afin de toujours transmettre cette passion pour les plantes, équipe aussi constituée désormais de Mélanie et Jean .

Les Pépinières Bernajuzan sont depuis situées à Saint André de Seignanx (15 kilomètres de Bayonne) où vous pouvez déambuler au milieu des arbres fruitiers, des plantes grimpantes, d’arbustes, de plantes méditerranéennes, plantes de haie ou encore différentes variétés de rosiers.

Ses Produits & Services

Les Pépinières Bernajuzan vous proposent tous les produits (accessoires, fumier, terreau, attache), nécessaires à la réussite de vos plantations. L’espace de vente et d’exposition est un lieu de rencontres d’où vous repartez avec les bons conseils d’entretien ou encore des idées d’aménagement.

Les Pépinières Bernajuzan assurent également la livraison et la plantation d’arbres variés avec des avis personnalisés sur leur mise en place. Plus de 9 hectares et une dizaine d’employés pour la production permettent d’avoir en permanence un large choix de végétaux.

Les pépinières Bernajuzan sont aussi au service des professionnels pour répondre à chacun de leurs besoins et les conseiller en matière de paysagisme ou d’entretien d’espaces verts.

En 2005, la pépinière a adhéré au réseau des Horticulteurs et Pépiniéristes de France. Ce label garantit qu’au moins 70% des fleurs, des plantes et des arbres qu’elle propose sont produites sur place, c’est-à-dire à côté de chez vous, par des Femmes et des Hommes fiers de leur métier et de leur savoir-faire, de véritables Artisans du végétal.

La pépinière propose une gamme de produits professionnels pour entretenir et soigner vos plantes. Il s’agit pour la plupart de produits qu’elle connaît bien, les utilisant elle-même pour cultiver ses plantes. Choisissez parmi sa sélection de poteries décoratives pour aménager vos terrasses & balcons.

Ses activités annexes

Parallèlement à son activité de producteur, elle a développé, depuis 2007, une entreprise de parc et jardin, un atelier de fleuristerie et un service de location de plantes pour vos réceptions. (Mariages,anniversaires, etc)

En saison vous pourrez participer à ses journées d’information ou bien recevoir ses guides conseils ou cahier de jardinage, pour ce faire, inscrivez-vous dans la rubrique COACH JARDIN.

« Qui connait mieux les plantes que celui qui les a fait naître ? »

2103 Route Départementale 817
40390 SAINT-ANDRÉ-DE-SEIGNANX
05 59 56 71 07 ~ www.pepinieres-bernajuzan.com

Constructions de la Côte Sud Navarre

Devenez propriétaire de votre logement neuf à Capbreton et alentours

Pourquoi acheter dans le neuf ?
Catherine Navarre vous répond :

« Outre la garantie d’une excellente qualité de construction, votre bien est livré conforme aux normes thermiques (RT2012) et phoniques en vigueur. Vous bénéficiez ainsi de la garantie décennale des artisans et de notre professionnalisme au service de nos clients. »

Actuellement en projet :

Bientôt à Capbreton, en centre ville, au calme et proche de tous les commerces. Nous vous proposerons une résidence de 13 logements entièrement équipés, avec parking en sous-sol, jardin en RDC et belles terrasses en étage, expositions Sud, Ouest et Est avec comme toujours, des prestations de qualité et personnalisées..

Bientôt à Seignosse bourg à proximité du golf, nous vous proposerons des terrains à bâtir dans un environnement exceptionnel boisé avec vue dégagée vers les Pyrénées.

Prochainement à Benesse Maremne sur une grande parcelle au calme, nous vous proposerons des terrains d’environ 650 m² en lotissement ou en collectif de maisons mitoyennes.

Venez nous rencontrer, nous avons sûrement le bien
qu’il vous faut !

Constructions de la Côte Sud
Avenue Francis Planté,
28 Domaine de la Cigalière,
40130 CAPBRETON
05 58 72 31 40 – 06 76 63 91 68
contact@realisations-navarre.fr
www.realisations-navarre.fr

Néa Spa Day à la maison

Nous recherchons tous à avoir un chez-soi qui nous ressemble, un point de chute ou se ressourcer. Et quoi de mieux que de s’aménager un espace dédié au bien-être.

Chez NEA Piscines et Spas, on vous propose une large gamme de produits pour s’adapter à vos besoins.

Par exemple, un spa de thérapie à installer aussi bien en intérieur qu’en extérieur.

Ces petit bijoux de technologie sont conçus pour relaxer au maximum grâce à l’eau chaude, et leurs différents jets de massages, cette hydrothérapie ciblée pour chaque partie du corps détend aussi bien le corps que l’esprit.

Longue journée de travail, stress, fatigue… le spa est l’endroit parfait pour s’évader, et relâcher toutes les tensions.

Pour les sportifs, vous trouverez aussi nos spa de nage : un bassin avec une nage à contre-courant en plus de places de massages.

Un entraînement quotidien et durant toute l’année, depuis chez soi.

La meilleure solution pour combiner effort physique et relaxation.

Envie de se détendre sans se mouiller ?

NEA Piscine et Spa vous dirigera plutôt vers un Sauna ou un Hammam. Le premier diffuse une chaleur sèche, avec des designs Scandi chaleureux combinant des bois nobles et parois vitrées.

Le deuxième quant à lui diffuse une chaleur très humide, avec des matériaux et lignes modernes et épurés. Ils deviennent un vrai élément de déco !

Dans les deux cas, cette augmentation de température apaise le corps, élimine les toxines et stimule la circulation. Un véritable allié pour contrer la grisaille de l’hiver.

5 Rue Chapelet – Biarritz – 05 59 03 12 18
www.nea64.fr – FB : @nea64 – Insta : /nea_piscine_et_spa

Portes et fenêtres : bien comprendre l’étiquette énergie

Les portes et les fenêtres doivent allier esthétisme et efficacité. Éléments d’isolation majeurs, elles jouent un rôle important dans la performance énergétique de chaque habitation.

Selon les normes en vigueur, un simple calcul permet de déterminer leur niveau d’efficience.

Destinée aux consommateurs, l’étiquette énergétique s’est d’abord appliquée aux appareils ménagers avant de résumer les caractéristiques des véhicules ou des biens immobiliers.

Concernant les portes et les fenêtres, ce sont les professionnels de l’Union des fabricants de menuiseries extérieures et de la Chambre syndicale des fabricants de verre plat qui, en 2013, ont pris l’initiative d’un étiquetage anticipant les nouvelles normes européennes de 2014.

« L’étiquette Énergie menuiserie doit permettre au consommateur d’évaluer simplement la performance énergétique et le confort d’été des produits pour choisir au mieux sa fenêtre ou sa porte la mieux adaptée à son logement », expliquait alors Jacques Bordat, le président de la CSFVP.

Comment décrypter les mesures ?

Les performances du produit étiqueté sont présentées sous la forme d’un bilan énergétique, en fonction de la zone climatique.

Pour effectuer les calculs et pour simplifier la désignation finale des produits, les huit zones climatiques de régulation thermique de la métropole ont été regroupées en trois grandes régions :

La plus vaste d’entre elles comprend le nord, le centre et un tiers du sud-est ;

La deuxième s’étend de la Loire-Atlantique au Midi-Pyrénées ; 

Enfin, la troisième zone compte neufs départements du Sud et la Corse.

Une échelle passant du vert au rouge indique ensuite le bilan énergétique annuel du produit.

En fonction de ses propriétés d’isolation thermique, elle classe celui-ci dans l’une des sept catégories de l’échelle, depuis la « très économique » classe A jusqu’à l’« exceptionnellement peu économique » classe G.

Une autre échelle, qui varie elle aussi de A à G, exprime les exigences énergétiques pour refroidir l’intérieur de la maison pendant les mois d’été, et évalue donc le produit selon les besoins en refroidissement.

Enfin, apparaissent trois données : le coefficient de transmission thermique (U, pour les fenêtres et Ud pour les portes) ; le facteur solaire (Sw) et le facteur de transmission lumineuse (Tlw).

Cette dernière valeur n’est pas à négliger puisqu’une menuiserie extérieure doit certes isoler, mais aussi apporter de la clarté à l’intérieur et diminuer les besoins en éclairage artificiel.

Quel est l’intérêt de l’étiquette énergie ?

Cet outil permet tout d’abord d’aiguiller le consommateur dans son choix de menuiserie et de choisir la meilleure option parmi une gamme vaste et techniquement complexe.

Il résume aussi l’enjeu que représentent ces produits et leurs propriétés d’isolation thermique.
L’étiquette place également les consommateurs sur la voie de l’amélioration énergétique de leur logement.

À l’issue d’un tel achat, des travaux d’isolation peuvent par exemple être enclenchés sur les encadrements des portes et des fenêtres.

L’isolation thermique peut enfin être renforcée en changeant les vitres pour des modèles à double ou triple vitrage.

Attention toutefois : une isolation trop complète peut générer des problèmes de ventilation. Et pour éviter les risques d’humidité, mieux vaut se faire conseiller par un professionnel.

Acheter de l’art à titre personnel, c’est possible

Chef d’entreprise ou en profession libérale : Savez-vous que vous pouvez acheter de l’art à Titre PERSONNEL pour 5% de son prix, tout en réalisant une économie d’impôt au titre de votre société ?

En général, chefs d’entreprises et experts-comptables connaissent l’avantage fiscal qu’autorise la loi Mécénat : lorsqu’une entreprise achète une œuvre d’art, d’un artiste vivant, pour l’exposer auprès du public, l’entreprise peut en déduire 100% de la valeur d’acquisition du résultat net comptable, répartie sur 5 ans.

L’œuvre appartient à l’entreprise, et à est à son actif. Pour autant, si le chef d’entreprise veut acheter l’œuvre pour son domicile, il doit la racheter à l’entreprise pour sa valeur actualisée (en prenant donc en compte la hausse ou la baisse de la cote de l’œuvre).

Si ce dispositif est très avantageux fiscalement pour l’entreprise, vous l’aurez compris, ce n’est pas le sujet de cet article. Non, il s’agit d’un autre dispositif, tout aussi légal, mais bien plus avantageux…

Ce que nous allons vous présenter permet non seulement à l’entreprise de réaliser également une économie d’impôts, mais, surtout, au chef d’entreprise, ou à la personne en profession libérale, d’acheter l’œuvre à titre personnel…

C’est un dispositif que la plus grande partie des sites internet d’achat d’œuvre en ligne, ou de galeries traditionnelles, présentent comme du leasing ou LOA (location avec option d’achat).

Pourtant, dans les faits et au sens strict du terme, ce n’est pas tout à fait vrai même si on s’en approche. Je vous explique…

Comment cela fonctionne

L’œuvre sur laquelle le chef d’entreprise, ou l’avocat, le chirurgien, le médecin jette son dévolue est d’abord louée à l’entreprise. Un contrat de location est signé avec une durée définie et donc une date de début et de fin.

Au terme de ce contrat, l’œuvre quitte donc l’entreprise où elle était exposée.

A cette échéance, elle peut être rachetée, par l’avocat par exemple, pour 5% de son prix, mais cela, indépendamment du contrat de location.

C’est cette petite nuance qui distingue ce dispositif d’un leasing ou d’une LOA. L’œuvre peut alors avantageusement décorer le salon de son heureux propriétaire, elle est à lui…

L’économie d’impôts pour l’entreprise

Qu’il s’agisse d’une entreprise « classique » ou d’une profession libérale, le coût mensuel de la location d’œuvre (pour décorer les espaces où sont reçus les visiteurs) est donc une charge. Charge en déduction donc du bénéfice imposable.

Le bénéfice étant réduit, l’imposition l‘est donc aussi. C’est aussi simple que cela…

Sans compter que cela génère également de la TVA récupérable si l’entreprise y est soumise.

Quelques conditions à remplir cependant

Là encore, c’est très simple. Trois conditions à remplir :

  • Le contrat de location doit être sur une durée minimum de 13 mois, mais peut être signé sur 24,36 ou même 48 mois.
  • L’œuvre doit être bien entendue exposée et vue du public que reçoit l’entreprise et ses salariés, pour que tout le monde en profite
  • La somme des loyers payés sur un an doit être inférieure à 5% du chiffre d’affaires de l’entreprise

Pour vous donner une idée, ci-dessous des simulations selon la valeur de l’œuvre et la durée de location.

Vous comprendrez donc très rapidement qu’alors, acheter une œuvre d’art devient non seulement « indolore », mais aussi très avantageux…

Il ne reste donc plus qu’à avoir le coup de foudre pour une ou même des œuvres ! Car il n’y a de limite à ce dispositif que les 5% du chiffre d’affaire quant aux loyers.

Pas de limite de temps, ou de renouvellement. Idéal donc pour se constituer sa collection personnelle !

Et, Laurent Jeanniard, le fondateur d’Art Traffik qui propose ce dispositif, nous rappelle que « cela permet de soutenir des artistes, tout en décorant avantageusement les murs de la société, pour le plus grand plaisir de ses clients, et de ses salariés ».

10, Allée de Samadet à Anglet (64600)
Tel : 05 59 63 59 06         GSM : 06 99 40 48 74
www.art-traffik.com

Ouvert du lundi au samedi de 10h à 19h
Le dimanche visite sur rendez-vous exclusivement

Bureau et maison, les espaces se floutent

Après la libération de l’espace professionnel dans les années 90 avec l’arrivée de l’open space, nos lieux de travail connaissent un nouveau chamboulement.

Fini les pièces figées, place au nomadisme et aux objets modulaires.

Fer de lance du salon Maison & objet de septembre dernier, l’espace de travail est une thématique à laquelle s’intéressent de plus en plus de designers.

Il faut dire qu’avec l’évolution des professions et l’ère du tout internet, nos bureaux deviennent mobiles, connectés et moins personnalisés.

Oubliées les frontières entre sphères privée et professionnelle, l’espace de travail est dorénavant un lieu à part.

Son aménagement doit donc s’adapter à cette tendance nomade tout en prenant en compte les impératifs liés à l’exercice de son métier.

Le bureau devient mobile

La démocratisation du télétravail, c’est-à-dire du travail à domicile, a flouté les frontières entre maison et vie professionnelle. Le temps où l’on séparait ces deux espaces est désormais révolu !

Fini le bureau sédentaire avec l’unité centrale et toute la panoplie. Il est aujourd’hui mobile et modulable. Face à cette nouvelle donne, les produits hybrides ont le vent en poupe.

Les sièges sont ergonomiques, le mobilier est modulaire et les appareils sont plus que jamais connectés pour pouvoir accéder à ses mails et à ses dossiers aussi bien chez soi qu’en déplacement.

Les assises s’adaptent à ces nouveaux usages (sièges hauts, fauteuil lounge…) et se règlent pour épouser au maximum les morphologies des différents utilisateurs.

Inutile d’organiser un vrai espace bureau à la maison. La tendance est à l’épuré : une tablette suffit pour y poser son ordinateur portable ou on investit dans une table transformable ou une balle ergonomique.

Ce qui permet de travailler confortablement au salon, directement sur le mobilier à proximité. Bref, le bureau se dématérialise complètement pour être à la fois partout et nulle part.

Lumière et couleurs, des éléments à ne pas négliger

Mais si l’espace de travail se métamorphose franchement, il n’empêche que certains éléments sont importants et ne doivent pas être négligés.

Des études récentes ont démontré que les couleurs, les matières et la lumière affectent sensiblement notre bien-être et notre capacité de travail. Ainsi, contrairement à ce que l’on peut penser, le blanc n’est pas un ton adapté car il augmenterait les risques de burn-out.

À l’inverse, le vert apaise et stimule, le jaune encourage la créativité, le bleu booste la concentration et le rouge décuple l’énergie.

Que ce soit sur le mobilier ou sur les murs, les couleurs permettent de créer une atmosphère adaptée à son activité et ses besoins.

L’éclairage est également une donnée primordiale qu’il faut prendre en compte. La lumière naturelle, celle du jour, doit autant que possible rythmer les journées de travail et inonder l’espace bureau.

C’est grâce à elle, en effet, que notre rythme circadien se régule. Interdiction donc d’organiser son bureau dans la pénombre ou trop loin d’une fenêtre.

Sachez qu’un bon éclairage permet d’accroître de 20 % sa productivité ! Enfin, les matériaux ont aussi leur rôle à jouer.

Certains sont de très bons isolants phoniques, ce qui peut être intéressant pour monter une petite cloison séparative.

D’autres, comme le bois naturel, ont des vertus antistress, tandis que les nouveaux textiles high-tech permettent de créer du mobilier innovant et toujours plus connecté.

Les fenêtres prennent un coup d’air frais

On pense rarement aux fenêtres comme à autre chose que des ouvertures ; et pourtant, ce sont aussi des éléments de déco à part entière !

Relooker ses fenêtres est une astuce aussi facile qu’économique pour donner un petit coup de frais à une pièce, si l’on n’a ni l’envie ni les moyens de tout redécorer. La peinture des montants a tendance à s’écailler avec le temps.

Si vous ne l’avez jamais fait, c’est donc le moment de rajeunir vos encadrements !

Et pendant que vous y êtes, pourquoi ne pas opter pour de la couleur ?

Avez-vous remarqué que les montants des fenêtres étaient souvent blancs, alors qu’une touche de couleur suffirait à rafraîchir la pièce dans son ensemble ?

Donc, on cesse de tergiverser et l’on opte pour du coloré !

Si vos murs sont blancs, privilégiez les teintes vives ; sinon, selon l’effet que vous souhaitez créer, prenez une nuance qui soit s’harmonise avec celle de vos murs, soit offre un vrai contraste.

Le moment de peindre

Avant toute chose, la première étape consiste à nettoyer et à préparer les surfaces à peindre. À l’aide d’un produit de lessive courant et d’une éponge, dégraissez les boiseries, en prenant soin de gratter les restes de peinture. Si vos fenêtres sont en bois, il sera peut-être utile de les décaper ou de les poncer si leur état est trop dégradé.

Ensuite, protégez vos carreaux, sans oublier les joints d’étanchéité, des débordements de peinture, à l’aide de ruban à masquer. Pour finir, appliquez la peinture de votre choix à l’aide d’une brosse à rechampir (deux couches seront nécessaires pour un résultat optimal).

Relooker sans peindre

Une autre façon de décorer ses fenêtres est d’orner les montants de motifs au pochoir, une technique facile à réaliser. Vous pouvez également en orner les vitres.

Et oui, les carreaux aussi peuvent bénéficier d’un relooking (on veille bien entendu à utiliser de la peinture effaçable) !

Si vous préférez ne pas peindre sur les vitres, les voiles électrostatiques peuvent faire votre bonheur : disponibles dans divers motifs, ils sont aussi faciles à appliquer qu’à retirer (ce qui permet d’en changer quand on veut).

Ils cumulent la fonction d’habiller vos fenêtres avec celle de vous protéger des regards indiscrets.

Enfin, vous pouvez aussi choisir de donner à vos fenêtres une allure très élégante en la décorant d’un fronton. On en trouve pour tous les goûts : en plâtre et à moulures ou en forme de guirlande fleurie !

Quand la maison respire

Pour réguler l’humidité dans son habitat, la VMC est une bonne solution. Mais les parois perspirantes sont aussi une alternative, en particulier pour les maisons en bois dites écologiques.
Une maison qui respire et gère l’humidité naturellement ? C’est possible grâce aux parois perspirantes. Particulièrement adaptées aux constructions en bois, elles sont idéales pour assainir l’air et protéger l’ossature des moisissures et autres champignons.

Les parois perspirantes, pour quoi faire ?

On n’y pense peu mais, dans le cadre d’une maison écologique, les parois perspirantes sont de formidables alliées.

Assurant confort et régulant l’humidité, elles peuvent devenir indispensables à votre bien-être.

Celles-ci permettent en fait de contrôler le taux d’hygrométrie à l’intérieur de l’habitat, tout en procurant une étanchéité à l’air.

Si l’humidité est importante dans une maison, elle peut se révéler en revanche néfaste si elle est trop présente ou trop absente, au risque de causer des problèmes de santé, notamment respiratoires.

Les parois perspirantes viennent donc optimiser le déplacement de la vapeur d’eau, qui traverse le mur de l’intérieur vers l’extérieur, et évitent la condensation.

Parmi ces matériaux respirants, on retrouve notamment le bois massif, le torchis ou les isolants écologiques.

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En pratique, comment ça marche ?

En pratique, le fonctionnement des parois perspirantes n’a rien de bien sorcier.

Lorsque l’air intérieur est trop chargé en vapeur d’eau, le mur absorbe l’excès, et lorsqu’il est trop sec, il redistribue la vapeur.

C’est une régulation naturelle, qui fonctionne comme une éponge, et qui améliore le confort thermique de l’habitat.

Mais les parois perspirantes doivent être étanches et ne surtout pas provoquer de condensation à l’intérieur du mur, au risque de voir proliférer champignons et autres moisissures.

Pour obtenir une cloison totalement étanche, il faut installer un frein vapeur, imperméable à l’air et à la vapeur.

Attention, il ne s’agit pas d’un pare-vapeur, qui lui aussi s’utilise pour l’isolation mais n’est jamais employé dans la construction écologique. Le premier est donc un film qui permet à la vapeur de circuler tout en préservant l’étanchéité.

Il faut en outre installer un pare-pluie en laine de bois ou en ouate de cellulose qui protégera l’extérieur des murs et éventuellement les toitures des intempéries, tout en évacuant la vapeur d’eau qui provient de la maison.

Le béton drainant pour votre plage de piscine

Résistant, esthétique et d’une grande perméabilité, le béton drainant est le matériau idéal pour conserver un pourtour de piscine bien au sec.

Une piscine, c’est une perspective de jeux, de farniente et de douces brasses au clair de lune, à condition toutefois qu’elle soit bien conçue.

Outre le choix même du bassin, il ne faut pas négliger la plage qui vous permettra de profiter d’une bonne baignade en toute sécurité. Bois, carrelage ou pierre, les possibilités sont nombreuses.

Mais le béton drainant se prête aussi très bien à cette application.

La sécurité en plus

Malgré une invitation à la détente, une piscine reste en effet un endroit potentiellement dangereux. Si certains dispositifs de sécurité tels qu’une alarme anti-chutes, une couverture solide, une barrière de protection ou un abri en dur, permettent de prévenir les dangers liés à la noyade, il ne faut pas non plus négliger les risques importants de glissade qui vont de pair avec les abords détrempés d’un bassin.

Or, justement, le béton drainant est constitué de granulats dont la particularité est de laisser s’écouler les eaux au lieu de les retenir.

Beaucoup plus respirant, perméable et poreux que les autres bétons, ce revêtement permet donc de drainer un volume d’eau très important, de façon quasi instantanée.

On l’aura compris, avec cette formule, adieu les flaques. Un sacré bon point pour tous ceux qui souhaitent éviter de conclure une journée piscine les quatre fers en l’air !

C’est d’ailleurs d’autant plus sûr que ce revêtement est antidérapant.

Durable et agréable

Si le premier atout du béton drainant est de limiter les risques d’accident, il présente également des avantages en matière d’environnement .

Contrairement à l’asphalte ou à l’enrobé qui retiennent l’eau, ce matériau la laisse s’infiltrer dans le sol en respectant son cycle naturel. De quoi permettre d’hydrater la terre et contribuer à alimenter les nappes phréatiques.

Côté confort, la douce granularité du béton drainant permet de marcher pieds nus aisément et sans se brûler aux plus fortes heures du jour puisque, comme il est respirant, il ne retient pas la chaleur.

Bien que le béton drainant soit moins esthétique qu’une plage de piscine en bois ou en carrelage, un panel de coloris, de tailles de granulats et de types de joints de dilatation permet aujourd’hui de personnaliser cette surface par rapport à vos envies.

Une solution économique.

Autre atout, et non des moindres : le coût. Moins cher à l’achat que d’autres matériaux, ce revêtement a en outre une longue durée de vie et n’a pas besoin de beaucoup d’entretien.

S’il est le plus souvent posé par des professionnels, certaines entreprises proposent également des versions prêtes à l’emploi en kit destinées aux particuliers.

Une fois les cailloux, le liant, le pigment et le ciment mélangés, un peu d’huile de coude suffit alors pour créer sa plage de piscine en béton drainant.

Lire aussi : Prism, Votre spécialiste des traitements de sols

La cuisine et le bricolage

De l’eau, un peu de farine et une casserole…

Voilà les nouveaux outils que vous pourrez conserver dans votre atelier.
Il existe de nombreuses situations où l’utilisation de colle peut s’avérer indispensable : difficile par exemple de s’en passer pour poser du papier peint.

Cependant, alors que les rayons des grandes surfaces de bricolage se remplissent de peintures de plus en plus écologiques, les colles continuent à contenir nombre de produits chimiques.

Pour aller au bout d’une démarche soucieuse de l’environnement, une solution existe : fabriquer soi-même sa colle.

Différentes recettes, à base de produits naturels, s’appuient sur des techniques anciennes.

Certaines datent même de l’Antiquité et ont eu maintes fois l’occasion de faire leurs preuves.

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Avec de la farine

La colle « naturelle » la plus connue est à base de farine. Si la farine de seigle (complète) est souvent préconisée pour cet usage, la simple farine de blé, présente dans tous les placards, sera aussi efficace.

Dans une casserole, mélangez un verre de farine, avec une cuillère à soupe de sucre et délayez le tout avec un peu d’eau, en éliminant les grumeaux.

Faites chauffer à feu doux, en ajoutant peu à peu de l’eau, de manière à obtenir la consistance d’une sauce béchamel un peu épaisse.

Versez ensuite dans un bocal fermé, que vous pourrez conserver pendant trois ou quatre jours.

Cette quantité est parfaite pour un simple atelier bricolage ; pour encoller des murs, multipliez-la en fonction de la taille de votre plus grande casserole (il vaut mieux commencer par de petites quantités pour gérer les doses nécessaires).

De l’essence de térébenthine, insecticide, peut également être ajoutée à la préparation, ainsi que de l’extrait de pamplemousse, bactéricide.

Le sucre, qui a un effet retardateur de prise, est facultatif : évitez-le si vous souhaitez que votre colle sèche rapidement. Utilisez ensuite votre fabrication comme n’importe quelle colle du commerce.

Mais aussi…

Il existe également des recettes qui utilisent d’autres ingrédients. Vous pouvez ainsi récupérer du riz trop cuit en conservant et en filtrant son eau : l’amidon qui y est dilué est très efficace. Le liquide obtenu, recuit, doit être blanc et épais. Cette technique est très connue en Asie et peut également remplacer les vernis-colles : en séchant, l’eau de riz devient transparente. La caséine contenue dans le lait permet également de coller ensemble des papiers ou de les poser sur du verre. Pensez cependant à y ajouter des huiles essentielles qui repousseront les mites alimentaires

Iñaki Alzuyet, artisan peintre

Que vous soyez un particulier ou un professionnel, l’entreprise Alzuyet à Dantxarinea s’occupe de tous vos travaux de peinture, décoration murale, revêtement intérieur, pose de plaques de plâtre, isolation thermique de façade, peinture ignifuge ou encore travaux de maçonnerie second œuvre, sur le Pays basque français et espagnol ainsi que sur le sud des Landes depuis 1997.

Façades

• Nous disposons de tout l’équipement nécessaire, avec notre propre camion et nos échafaudages homologués, ce qui évite au client à supporter les frais de location de ces éléments et nous permet de lui proposer un devis compétitif.
• Nous prenons en charge également les travaux de réparation des fissures et des trous des parements, en évitant ainsi d’avoir recours à d’autres professionnels du bâtiment.
• Nous offrons une large gamme de couleurs, classiques et modernes.
• Les produits que nous utilisons tant pour le bois que pour les murs des façades sont imperméables et très respirables, compte-tenu des conditions climatiques humides de la zone où nous travaillons.
• Les produits que nous utilisons sont classés D3, garantissant l’absorption des mouvements de dilatation et de contraction du support et évitant la réapparition des fissures.

Intérieurs

• Toutes nos interventions sont faites avec le maximum de professionnalisme, en garantissant la protection et le nettoyage des zones de travail, en veillant à respecter au maximum toutes les normes de santé-sécurité et d’hygiène, et surtout en recherchant le maximum de satisfaction de nos clients.
• Avec les dernières tendances comme référence et les recommandations d’un peintre professionnel, nous offrons au client notre conseil pour choisir les couleurs, les textures et les brillances les plus adéquates pour la décoration intérieure: murs, plafonds, portes, escaliers, bordures, etc.
• Les produits que nous utilisons sont très lavables et avec des propriétés anti-condensation.

Laquage et vernissage de menuiserie et mobilier dans cabine de peinture

À la recherche constante de la meilleure finition et finesse, les travaux de peinture sur les portes, volets, balustrades et meubles qui peuvent être amenés à l’atelier sont faits au pistolet dans une cabine prévue spécialement pour ce type de travail, ce qui permet d’obtenir une finition de qualité supérieure.

Peinture industrielle

• Nous proposons un large éventail de traitements spécifiques pour tout type de nécessités industrielles.
• Peinture époxy ou polyuréthanne, signalisation au sol, protection contre l’oxydation et la corrosion avec des peintures anti-oxydantes, protection contre le feu avec peinture ignifuge ou intumescente pour les centres commerciaux, garages ou bâtiments industriels.

Entretien de toitures

• Nous réalisons aussi le nettoyage de toitures, en les débarrassant de mousses, lichens et autres parasites microscopiques, avec l’application d’un produit spécial pour l’auto-nettoyage et l’imperméabilisation des tuiles, garantissant ainsi la durabilité et la propreté de la toiture.

Écologie

• En tenant compte toujours de la santé et de l’environnement, nous utilisons des matières avec le label européen “Ecolabel”, délivré par « Afnor certification », en vue de garantir un haut niveau d’exigence dans la protection environnementale pendant toute la durée de vie du produit.
• Les labels “Excell zone verte” » et “Excell +” garantissent l’innocuité des peintures dans des environnements sensibles des secteurs agroalimentaires et du logement.

Vous souhaitez un conseil ou un devis, contactez l’entreprise de Peinture Alzuyet au 0034 659 862 417.
www.pinturas-alzuyet.com

Voir aussi ces articles : Les couleurs de Méline ; La peinture au bout du rouleau ; La peinture plus belle au naturel

La peinture plus belle au naturel

De plus en plus efficaces, les peintures écologiques, beaucoup moins nocives pour l’environnement et la santé, détrônent désormais sans mal les produits classiques.

À l’heure où la green attitude est de rigueur, les peintures écolos ont évidemment le vent en poupe ! Et cela tombe bien puisque toute rénovation passe forcément par la case « peinture ». Les bricoleurs avertis n’hésitent donc pas à choisir des produits plus respectueux de l’environnement et de notre santé. Que contiennent-ils vraiment et sont-ils aussi efficaces ? On vous dit tout…

Zoom sur la composition

Là où les peintures classiques contiennent jusqu’à 30 g de composés organiques volatils (COV) ainsi que du plomb et du chrome contenus dans les pigments, la peinture écologique, elle, affiche une composition beaucoup plus « clean ».

La plupart du temps, il s’agit de peintures acryliques, diluables à l’eau, et dont le taux de COV est très minime.

En effet, « naturel » ne signifie pas forcément exempt de tout composé toxique.

Selon la réglementation, les pots de peinture écologique peuvent être estampillés comme tels si 95 % de leurs composants le sont aussi.

De la même façon, la mention « sans COV » ne veut pas dire que la peinture n’en contient pas du tout mais qu’elle en comporte moins de 5 g par litre.

Ainsi, ces produits écolos sont fabriqués à partir d’huiles végétales (lin, ricin, lavande…) et d’éléments bio (chanvre, craie, kaolin, dolomie, poudre de marbre…).

Les colorants sont des pigments minéraux ou bien des terres, et des élastifiants naturels, tels que la gomme arabique ou le latex, peuvent être ajoutés pour améliorer l’élasticité du produit.

Si ces peintures ont longtemps souffert d’une mauvaise réputation, elles offrent aujourd’hui un panel de coloris très diversifié. On les trouve également dans toutes les finitions possible : mate, brillante ou satinée. D’autres promettent même de dépolluer votre intérieur en captant les particules polluantes, notamment le formaldéhyde, et en les transformant en molécules inertes.

Identifier les peintures naturelles

Mais devant la panoplie de peintures disponibles en magasin et face à des marques qui trichent parfois en proposant des produits pas si écologiques que ça, il est parfois difficile de ne pas s’emmêler les pinceaux. Pour être sûr de faire le bon choix, guettez les logos sur les pots.

Le premier, « NF Environnement », est un label qui concerne le marché français, tandis que « l’Écolabel » est européen. Tous deux assurent au consommateur que le produit est fiable quant à sa composition et à sa performance.

Le label européen « Natureplus », lui, s’affiche sur les produits de construction et d’aménagement et reste soumis à des contrôles sanitaires et environnementaux stricts. Enfin, la mention « Peinture nature » est, elle, autorisée par Ecocert et certifie que 100 % des composants sont naturels.

Avantages et inconvénients

Si vous hésitez encore à opter pour des peintures écologiques, sachez que celles-ci offrent une qualité de finition équivalente aux produits classiques. Elles ont même un pouvoir couvrant supérieur et leur microporosité leur permet d’être perméables à la vapeur d’eau.

Elles subissent donc moins les effets de l’humidité dans le temps et le risque d’écaillement est faible. Bref, les peintures naturelles n’ont rien à envier aux peintures synthétiques, même pas leur prix, puisque les produits écologiques ne sont pas plus chers que des peintures classiques de bonne qualité.

Voir aussi ces articles : Les couleurs de Méline ; La peinture au bout du rouleau ; Iñaki Alzuyet, artisan peintre

Une bobine d’astuces pour camoufler ses câbles

Vous ne pouvez plus voir en peinture tous ces fils électriques qui polluent votre espace visuel ?
Heureusement pour votre déco, il existe plein d’astuces originales et modernes pour les faire disparaître.
Couvrez ces câbles que je ne saurais voir ! Très inesthétiques, les fils électriques n’en finissent plus de peupler nos intérieurs.

Salon, entrée, chambre et compagnie, ces cordons disgracieux ont le don de gâcher une déco minutieusement étudiée. Heureusement, il existe des tas de solutions originales pour remédier à ce détail qui tue…

Les solutions classiques

Entre le fil de la télévision, celui de la box internet, le téléphone, les luminaires, bref toute la panoplie électrique, ranger tout ce barda devient un véritable casse-tête !

Si vous préférez pouvoir tout dissimuler et ne plus rien laisser apparaître, le mieux est de cacher les câbles derrière les plinthes. On peut encore les intégrer dans les murs, mais cette solution n’est possible que si vous prévoyez de faire de grosses rénovations. Et là, c’est encore une autre paire de manches…

Autre idée : se servir de ses meubles pour tout camoufler. Ils permettent en effet de dissimuler les consoles, les box internet etc., et bien souvent, une ouverture est prévue à l’arrière afin de faire passer les fils.

Vous pouvez encore utiliser des boîtes décoratives, fendues sur le devant ou le dessus, pour cacher seulement la longueur de vos câbles et connectez vos appareils en un tour de main.

Des accessoires en pagaille

S’il ne vous est pas possible de faire disparaître comme par magie tous ces cordons électriques, trouvez quelques accessoires amusants pour réorganiser tout ce bazar. Les magasins de déco regorgent d’objets originaux et farfelus.

On connaît bien sûr les enrouleurs en forme d’animaux, de bonshommes etc. que l’on pourra utiliser dans une chambre d’enfant, notamment pour garder un bureau bien ordonné. Ceux-ci permettront en plus de ne plus emmêler tous les fils. Dans les chambres, pour camoufler les câbles des lampes de chevet par exemple, optez pour des crochets adhésifs, collés à l’arrière du meuble. Les cordons ne dépasseront plus d’un iota !

Des astuces DIY

Et si, finalement, on trouvait de belles idées pour mettre en valeur ces fils électriques au lieu de vouloir à tout prix les masquer ?

Avec un peu de masking tape coloré, amusez-vous à enrouler les cordons pour leur donner un peu plus de peps.

Vous pourrez ainsi les assortir à votre déco en créant des motifs noirs et blancs ou pastel par exemple.

Sur le même principe, vous pouvez préférer de la corde, de la laine ou du tissu au scotch pour un résultat aussi original qu’étonnant.

Enfin, si vous vous sentez une âme d’artiste, vous pouvez utiliser un long câble (celui d’une lampe par exemple) pour dessiner un motif sur le mur.

Pour le faire tenir, il vous suffira de l’épingler avec des punaises de la même couleur que celle du fil. Celui-ci deviendra ainsi un véritable objet déco !

Le cannage fait un carton

De retour en décoration, le cannage séduit à nouveau, aussi bien les designers que les particuliers qui l’apprécient pour son côté naturel et son charme résolument vintage.

C’est un peu la madeleine de Proust de la déco ! Art ancestral apparu au début du XVIIIe siècle, le cannage est un procédé intemporel qui n’a cessé de revenir sur le devant de la scène au fil des décennies.

Remarquable par son tissage de fibres végétales – du rotin la plupart du temps –, le cannage laisse apparaître les fils de chaîne et les fils de trame pour créer un motif graphique ajouré.

Aujourd’hui, entre la tendance tropicale, le retour en trombe de l’Art déco et des matériaux naturels, ce dernier est pleinement dans l’air du temps. Itinéraire d’une technique séculaire qui n’a pas pris une ride…

Des salons royaux au design moderne

C’est aux Anglais et aux Hollandais que le cannage doit sa belle popularité ! Importée en France il y a déjà quatre siècles, cette technique de tissage a fait les beaux jours des derniers rois de France et du Second Empire avant de tomber complètement en désuétude.

Le cannage habillait alors les chaises, les fauteuils et les têtes de lit des maisons cossues.

Mais après des siècles de gloire, il faudra attendre l’aube du XXe siècle et les balbutiements des grands courants de design, notamment le Bauhaus, pour qu’il fasse à nouveau son apparition dans nos intérieurs.

On pense évidemment à l’iconique chaise N° 14 de Michael Thonet, plus connue aujourd’hui sous le nom de « chaise bistrot ».

D’autres aussi, à l’instar de Marcel Breuer et sa chaise Cesca B64, contribueront à faire du cannage un élément incontournable et indémodable.
Nature et rétro

Aujourd’hui tendance, et même carrément design, le cannage revient au goût du jour et séduit à nouveau grâce à son authenticité et à son versant artisanal.

Pour preuve, on ne voyait que lui en septembre dernier, au salon Maison & objet !

Les maisons d’édition et les jeunes créateurs s’emparent en effet de ce tressage singulier, naturel et robuste pour le mêler à d’autres matières et accessoires plus contemporains : velours, miroirs, laiton, cuivre ou encore métal. Le cannage a su se rendre moderne dans l’esprit des designers tout en conservant son charme vintage qui plaît tant.

Dans nos intérieurs, on l’apprécie pour son élégance et le confort qu’il procure à nos assises.

Aussi à l’aise dans une déco nature que dans une ambiance exotique ou un style campagnard, il s’associe sans mal à du hêtre, des couleurs pastel et des matières molletonnées.

On le retrouve encore en trompe-l’œil sur le papier peint ou sur les textiles, notamment les tapis.

Sur les luminaires, il fait également des merveilles : suspensions et appliques tissées laissent en effet filtrer la lumière avec beaucoup de douceur, tout en créant des motifs géométriques piles dans la tendance.

Et pour les amateurs de do-it-yourself, le cannage se déniche en lés déjà cannés, indispensables pour restaurer des meubles anciens ou fabriquer des créations sur mesure uniques.

Comment trouver la perle rare ?

Il fut un temps où le mobilier en cannage était de tous les intérieurs ! Un peu comme le Formica, ses lointaines heures de gloire ont permis de disposer de tout un tas de meubles vintage et authentiques que l’on peut aujourd’hui chiner dans les brocantes.

Évidemment, ces pièces d’origine ont un coût non négligeable, pas forcément à la portée de tous les fous de déco. Pas de panique ! Les grandes enseignes ont revu et corrigé leurs collections pour proposer des meubles en cannage tout à fait dans l’air du temps et à prix plus abordable.

Se cacher des regards indiscrets

Que ce soit pour profiter d’un barbecue entre amis ou pour faire bronzette sur son transat, se protéger des regards extérieurs est indispensable lorsqu’on dispose d’un balcon ou d’une terrasse.

Pour vivre heureux, vivons cachés !

Il n’y a en effet rien de pire que de se rendre compte que votre voisin passe sa journée à vous zyeuter tandis que vous vous prélassez tranquillement sur votre transat…

Disposer d’un balcon ou d’une petite terrasse est un luxe et un privilège, mais le vis-à-vis peut vite gâcher le plaisir de profiter de son extérieur. Voici donc comment préserver votre intimité des regards indiscrets…

Opter pour des canisses

Pour s’épargner une trop grande promiscuité avec ses voisins, la première solution, et la plus classique, est d’opter pour des canisses. En bois, en paillon ou en PVC, elles constituent d’excellents brise-vue car elles sont faciles à installer et bon marché.

Bémol : comparées à toutes les possibilités d’aménagement extérieur existant aujourd’hui, les canisses sont beaucoup moins modernes. De plus, leur durée de vie reste très limitée car elles supportent mal le vent, les intempéries et les UV.

Autre option : se tourner vers les claustras

Très tendance ces dernières années, ces panneaux occultants, qu’ils soient en bois, en bambou tressé ou encore en métal, permettent d’aménager son petit extérieur tout en apportant une touche déco supplémentaire. Plus solides et plus esthétiques que les canisses, ces cloisons permettent en outre de gagner de la place.

Miser sur le végétal

Envie d’un peu plus de nature ? Misez sur le végétal qui vous permettra d’éviter le vis-à-vis tout en préservant la luminosité. Quelques plantes vertes, disposées dans de jolis pots, peuvent en effet suffire à garder vos distances avec le voisinage.

Pour créer un cocon intimiste et luxuriant, privilégiez les végétaux au feuillage dense ou les arbustes persistants qui conservent leurs feuilles toute l’année.

Si vous désirez plutôt une ambiance « minijungle », préférez les hauts branchages et les plantes exotiques telles que le bambou. Elles résistent aussi bien à la chaleur qu’au froid et traversent donc toutes les saisons sans ciller.

Enfin, vous pouvez combiner claustra et végétaux grâce aux plantes grimpantes. Il suffit de mettre en place des cadres en bois sur lesquels vous ferez pousser des végétaux grimpants, du lierre notamment. Mais attention à l’entretien qui peut s’avérer fastidieux…

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ADEMO

ADE-MO… Basée à Hossegor, Ade Mo est une société qui est née en 2016 du constat que l’acte de construire se complexifiait. Depuis elle n’a cessé de se mettre au service des Maîtres d’Ouvrage, afin de les accompagner dans leur projet et de leur apporter son expertise.

Assistance à Maîtrise d’Ouvrage

AMO : QU’EST-CE QUE C’EST ?

Il vous accompagne tout au long du projet pour assurer son parfait achèvement en respectant le budget et le délai !

Dans le cadrage du projet

AMO
. Définition des besoins
. Rédaction du cahier des charges
. Définition d’un budget prévisionnel
. Aide à la sélection d’un architecte
. Recherches de financement
. Montage des dossiers administratifs

Dans la conception du projet

AMO
. Conseil et négociation pour les missions techniques : BET/SPS/Géomètre,…
. Dossier assurance construction
. Relecture DCE
. Contrôle budgétaire : le projet entre dans l’enveloppe fixée.

ARCHI
. Réalisation APS/APD
. Rédaction DCE
. Réalisation des autorisations administratives

MOE
. Rédaction DCE
. Réalisation des AO entreprises administratives

Dans l’exécution du projet

AMO
. Contrôle de la MOE
. Suivi financier
. Suivi hebdomadaire du chantier

ARCHI
. Suivi architectural

MOE
. Coordination des différentes entreprises
. Suivi du planning / du chantier

Dans la clôture du projet

AMO
. Assistance aux opérations de réception
. Suivi des malfaçons
. Suivi DOE, DIUO
. Clôture du dossier financier
. Gestion de la période de garantie de parfait achèvement

MOE
. Opération de réception
. SAV

10 rue de la Forêt, 40150 Soorts-Hossegor
06 51 34 32 92
a.moindrot@ade-mo.fr
www.ade-mo.fr

Le poêle à granulés : les avantages

Il fait de plus en plus d’adeptes. Esthétique, performant et facile d’utilisation, le poêle à granulés, ou à pellets, s’invite dans les salons des particuliers.

Dans la famille des appareils calorifères, on demande le poêle à granulés ! Utilisé comme chauffage principal ou d’appoint, ce cousin du poêle à bois apporte chaleur et confort à nos intérieurs pour un hiver tout doux. On vous en dit un peu plus.

Comment ça fonctionne ?

Alors que le poêle classique utilise des bûches de bois, le poêle à pellets utilise le même combustible sous une autre forme. La matière première provient de la poussière et des copeaux issus des scieries. Ces petits granulés compressés de 2 cm sont livrés par sacs ou en vrac par un camion-souffleur. Le poêle peut utiliser trois technologies.

Il peut être à convection (de plus en plus rare), à air pulsé (qui marche grâce à un ventilateur) ou encore hydraulique (raccordé à des radiateurs à eau ou à un plancher chauffant). Le concept : une vis sans fin approvisionne le brûleur, via une résistance électrique, en puisant les granulés directement dans un réservoir, appelé silo de stockage, qui doit être rempli régulièrement.

Un ventilateur apporte l’oxygène nécessaire à la combustion. Les fumées sont évacuées par un conduit de cheminée ou, pour les modèles dits « à ventouse », horizontalement, à travers le mur le plus proche.

Une énergie propre

Fabriqués à partir de résidus inutilisés des scieries, les granulés de bois – énergie par essence renouvelable — sont écologiques et considérés comme plus propres que les bûches, de par leur combustion plus complète.

Seul bémol : la production n’étant pas assez importante en France, une partie peut être importée d’Espagne et du Portugal. S’il est bien réglé, le poêle à pellets ne rejette pas de polluants à l’intérieur et émet peu de fumée à l’extérieur.

Autres avantages : un ramonage moins fréquent qu’un poêle à bois et un niveau d’émissions de gaz à effet de serre réduit.

Un appareil performant

Au niveau de la chaleur, le poêle à granulés produit généralement a un très bon rendement, de 80 à 95 % en moyenne selon les données des constructeurs. Les appareils de nouvelle génération labellisés Flamme Verte garantissent un rendement minimal de 85 %. On peut régler la température et la vitesse d’acheminement des pellets vers la chambre de combustion.

Un autre point positif concerne son autonomie, pouvant aller jusqu’à plusieurs jours. Contrairement à une cheminée ou un poêle classique, il peut être alimenté de matière automatique, être programmé pour démarrer tout seul, voire à distance, et se recharge moins souvent.

S’il est complexe, il reste néanmoins facile à utiliser : on appuie sur un bouton, il démarre et chauffe rapidement la pièce. À noter que certaines chaudières utilisent aujourd’hui la même méthode, permettant de réduire jusqu’à 30 % les factures de chauffage.

Un combustible peu onéreux

Au-delà du confort d’utilisation, se chauffer avec ce type de poêle permet de réduire la facture énergétique d’un foyer car les granulés font partie des sources énergétiques les moins chères, après les bûches.

Cela peut être également une bonne option si vous devez remplacer une ancienne chaudière qui marche au gaz ou au fioul, plus gourmands en matière de prix.

Le saviez-vous ?

Si vous optez pour ce type de produit, sachez que vous pouvez solliciter des aides telles que la prime énergie, les dispositifs de l’Anah ou encore bénéficier d’un crédit d’impôt. Pour plus d’informations, visitez le site du service public : www.faire.fr

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