Chauffage : les équipements les plus économiques

Cet hiver, passez le cap et investissez dans un appareil de chauffage plus économique et plus écologique. Vous réduirez ainsi votre facture énergétique tout en protégeant la planète !

Chaque année, lorsque les premiers frimas arrivent, c’est le même casse-tête : la majorité des Français se demandent comment faire des économies de chauffage.

Avec la hausse constante du prix des combustibles, alléger sa facture énergétique devient en effet l’objectif principal de la plupart des foyers. Et si l’on peut réduire son empreinte écologique par la même occasion, c’est tout bénef ! Ainsi, il est tout à fait possible de ne plus payer plein pot à condition de faire un petit investissement de départ…

Le poêle à bois

Parmi les équipements de chauffage les plus économiques, le poêle à bois est certainement le plus intéressant. En effet, le bois est actuellement le combustible le moins coûteux du marché, puisqu’il est environ 30 % moins cher que le gaz ou le fioul. En moyenne, son prix varie entre 0,03 et 0,06 € par kWh, contre 0,12 et 0,14 € par kWh pour l’électricité par exemple. Son rendement est compris entre 60 % et 93 % pour une utilisation avec des granulés, contre 80 % maximum pour une cheminée avec insert. Ce n’est donc pas pour rien si six millions de ménages ont déjà sauté le pas en s’équipant d’un poêle à bois !
C’est aussi une solution écologique car le bois rejette peu de CO2 et il s’agit d’une énergie renouvelable. En effet, la filière est organisée par l’Office national des forêts (ONF), qui gère une production issue exclusivement de forêts exploitées durablement.
Évidemment, le prix d’un poêle à bois reste un investissement important puisqu’il faut débourser entre 3 000 et 10 000 € en fonction des modèles.

La chaudière à condensation

Autre option pour les foyers qui utilisent le gaz : la chaudière à condensation. Celle-ci assure aussi bien le chauffage que la production d’eau chaude sanitaire. En effet, elle fonctionne en brûlant le gaz, ce qui produit de la chaleur, et utilise la vapeur d’eau contenue dans la fumée pour la refroidir et la transformer en liquide. Ce système deux en un permet alors de réduire sa consommation de gaz de 10 à 25 %. Comptez environ 3 000 € pour une chaudière à condensation.

La pompe à chaleur

C’est un peu l’appareil à la mode, mais il faut dire que la pompe à chaleur air-eau est l’une des plus économiques ! En effet, pour 1 kWh consommé, elle vous restituera 3 kWh d’énergie. Un véritable petit tour de passe-passe qui vous permettra de diviser par trois ou quatre votre consommation énergétique ! Elle a aussi comme autre atout d’être écologique car elle capte les calories extérieures pour les transformer en énergie. Elle ne pollue donc pas et ne rejette pas de fumées toxiques. C’est aussi malheureusement l’un des appareils les plus chers à l’achat car il faut compter environ 12 000 € pour une pompe à chaleur mixte.

Le chauffage solaire

Enfin, pour chauffer sa maison gratuitement, rien ne vaut le chauffage solaire ! S’il faut investir au départ dans des panneaux thermiques, cet achat est rapidement rentabilisé (quelques années à peine), permettant de couvrir jusqu’à 70 % des besoins de chauffage d’une maison.

Si l’énergie créée est gratuite et inépuisable, il faut en revanche prévoir un système complémentaire ou d’appoint (chaudière à condensation ou pompe à chaleur par exemple) qui prendra le relais.

Quelques critères à prendre en compte

Évidemment, la rentabilité d’un équipement de chauffage économe dépendra aussi et surtout de votre habitat. En effet, pour qu’il soit pleinement efficace, votre maison doit être correctement isolée et limiter les déperditions de chaleur. Avant de penser à changer son système de chauffage, il est donc conseillé de faire un point et d’envisager des travaux d’isolation. Le lieu d’habitation aura également son importance. Par exemple, les panneaux solaires et les pompes à chaleur sont plutôt déconseillés dans les régions froides et davantage adaptés dans les contrées ensoleillées.

Lire aussi : Bien entretenir sa cheminée ; Réchauffer son intérieur ; Bien régler son climatiseur ; Poêles Granuleco ; Chauffage : les équipements les plus économiques

Bien entretenir sa cheminée

Ah le bruit des bûches qui crépitent et la douce odeur du feu de bois… Romantique et cocooning à souhait, la cheminée fait rêver beaucoup de gens. Un atout charmant qui nécessite un entretien régulier pour ne courir aucun risque.

L’hiver, lorsque le froid et le mauvais temps envahissent l’extérieur, quoi de mieux que de se pelotonner devant un bon feu de bois ? Pour les chanceux qui en possèdent une ou ceux qui souhaitent en installer, il ne faut pas oublier qu’une cheminée n’est pas un simple gadget : elle demande un minimum de travail et comporte des risques réels d’incendie si elle n’est pas correctement entretenue. Alors, pour buller tranquille, on se remémore quelques recommandations d’usage.

Une installation fiable

La pose d’une cheminée à foyer fermé ne s’improvise pas ! Si vous souhaitez en placer une dans votre habitation, ne négligez pas votre sécurité et celle de votre entourage et faites appel à un spécialiste, qui procédera à une installation techniquement conforme : conduit estampillé NF, distance de sécurité, etc. Cela vous évitera bien des problèmes plus tard.

Le ramonage obligatoire

Afin d’éviter tout risque d’incendie et d’intoxications au monoxyde de carbone, les conduits de votre cheminée doivent être ramonés une ou deux fois par an. Cela varie en fonction du règlement sanitaire départemental de votre commune, consultable en mairie.
En effet, après une saison de chauffe, ils sont encrassés par la suie et des goudrons inflammables, qui s’y sont accumulés. On évite aussi un gaspillage d’énergie et on aide à lutter contre la pollution en réduisant les émanations toxiques.
Mais attention, le ramonage est une affaire de spécialiste ! Seul un ramoneur certifié peut procéder à cet entretien indispensable qui nécessite des outils particuliers et un vrai savoir-faire. Une fois la cheminée bien nettoyée, il vous remettra un certificat à conserver précieusement puisqu’il est indispensable à notre assureur en cas de sinistre.
À noter : le ramonage est à la charge du locataire et son prix se situe généralement entre 40 et 80 €. Si vous passez outre cette obligation, vous êtes passible d’une amende forfaitaire pouvant atteindre 450 €.

Un gros nettoyage de printemps

Pour que la cheminée fonctionne correctement et plus longtemps, le ramonage seul ne suffit pas. Après la saison froide, ou juste avant de remettre votre cheminée en route pour l’hiver, il est important de bien la préparer, alors on fait le grand nettoyage : foyer, vitres, plaques en fonte, manteau, tout doit y passer !
On commence par aspirer le corps de chauffe pour enlever le reste des cendres, puis on s’attaque aux taches à l’aide d’une brosse imbibée de vinaigre et d’eau. On réitère l’opération jusqu’à ce que le foyer soit parfaitement propre.
Pour enlever la rouille de la plaque en fonte, on la frotte à l’aide d’un tampon abrasif, puis on la badigeonne avec un peu d’huile, qu’on laisse reposer 48 heures. Enfin, pour la protéger des salissures et des traces, on passe un chiffon imprégné d’huile de vaseline, une méthode qui servira aussi pour les vitres.

Un entretien régulier

Tout au long de l’hiver, les bûches génèrent des cendres, qui, si elles sont trop nombreuses, empêchent la combustion de se faire correctement et peuvent déformer la grille du foyer. Vous devez les retirer régulièrement à l’aide d’une petite balayette ou d’un aspirateur. Petite astuce écologique : récupérez les cendres en surplus et frottez-les, avec du papier journal, sur la vitre du foyer pour la nettoyer !

On n’oublie pas le manteau !

Qu’elle soit ancienne ou moderne, en brique ou en pierre, la cheminée doit avoir un manteau nickel. Pour venir à bout des traces de suie, il vous faudra un peu d’huile de coude. Munissez-vous d’une brosse bien dure et d’eau additionnée de bicarbonate ou de cristaux de soude et frottez énergiquement. Un produit spécial four décapera également les taches. Les manteaux en marbre nécessitent un nettoyage délicat à l’eau savonneuse, alors que ceux en brique s’entretiennent grâce à de la cire incolore ou à de l’huile de lin, qui ravive la couleur.

Focus : Choisir le bon bois

Pour éviter que la cheminée ne s’encrasse trop, on ne met pas n’importe quel bois à brûler. On le choisit bien sec et propre, sans champignons ni moisissures. Même si tous les bois peuvent être consumés, on privilégie les espèces de feuillus durs tels que le chêne, l’orme, le hêtre, le châtaignier ou encore les arbres fruitiers. Acheter du bois de chauffage certifié NF vous permettra de connaître la qualité et les caractéristiques de chaque type d’essence.
On évitera les résineux, le contreplaqué, l’aggloméré, le bois traité, vernis ou peint, qui se consument difficilement et ont tendance à encrasser rapidement les conduits, tout comme le bois humide, qui dégage de l’eau, donc plus de fumée et de gaz carbonique. Enfin, petit rappel : on ne jette pas d’ordures ménagères dans une cheminée !

Balançoire d’intérieur, la touche ludique

Tout droit sortie de l’univers enfantin, la balançoire s’invite dans la maison, aussi bien dans le coin des enfants que celui des parents. À la fois objet récréatif et étagère suspendue originale, elle a tout pour plaire !

Oubliée la vieille balançoire en plastique au fond du jardin sur laquelle on se balançait des heures étant petit ! L’objet fétiche de notre enfance n’est pas pour autant relégué aux oubliettes ; il entame simplement une petite métamorphose déco pour s’installer dans nos intérieurs et donner une touche de folie à l’ambiance. Tel le siège suspendu, c’est l’accessoire chouchou du moment !

Un accessoire poétique

Replongez en enfance et laissez s’exprimer votre syndrome de Peter Pan ! La balançoire s’impose comme l’élément léger et poétique à placer dans son home sweet home. À la fois aérienne et empreinte de nostalgie, elle fait la différence en comblant l’espace, en décorant le plafond et en restant un objet de distraction pour petits et grands.
Avec une déco industrielle, bohème, scandinave ou encore campagne chic, elle se fond dans tous les décors, de la cuisine au salon, en passant par la chambre parentale et celle des enfants. C’est en effet dans cette dernière qu’elle remplira tout son rôle : propice à l’amusement et au jeu, la balançoire ravira tous les bambins, qu’elle soit simple ou plus sophistiquée.

Le grand détournement

Mais l’atout déco de la balançoire, c’est qu’elle peut aussi être détournée de son objectif premier. En effet, on peut s’inspirer de cet objet pour le transformer en petit mobilier, facile à faire soi-même pour les bricoleurs dans l’âme. Façon do-it-yourself (DIY) ou prête à être posée, elle se métamorphose tantôt en étagère pour exhiber ses plus belles plantes et ses bibelots, tantôt en table de chevet à côté du lit pour y empiler les livres. C’est un vrai rangement atypique qui insuffle un vent de légèreté dans la pièce où il trône…

Difficultés liées à l’installation

Installer une balançoire chez soi n’est pas forcément une sinécure. Avant toute chose, il est primordial de vérifier la solidité du plafond et de s’assurer que le matériau supportera une charge lourde. On peut également décider de la fixer à une poutre, dans les mêmes conditions. Attention aussi, certaines balançoires achetées dans le commerce n’ont qu’un objectif décoratif et ne sont pas conçues pour qu’on y grimpe. Si vous souhaitez un modèle qui ne soit pas qu’un élément de déco, il faudra passer par la case « bricolage ».

Aérovoltaïque, le nouveau photovoltaïque

S’il se confond facilement avec le photovoltaïque, l’aérovoltaïque a l’avantage de chauffer et de ventiler l’habitat en plus de produire de l’électricité. C’est en revanche une installation coûteuse dont le rendement énergétique reste à améliorer.

Si le photovoltaïque est désormais une technologie bien connue et en constante progression depuis plusieurs années, l’aérovoltaïque s’impose comme le petit nouveau en matière d’énergie solaire. Ce système hybride combine l’efficacité des panneaux photovoltaïques et thermiques pour à la fois produire de l’électricité et chauffer l’habitat. Cette innovation a ainsi pour prétention d’exploiter 80 % du potentiel solaire au lieu de 20 % pour le photovoltaïque seul. Une solution intéressante mais qui reste encore très coûteuse…

Un système deux en un

L’aérovoltaïque permet de fournir de l’électricité dans la maison, mais également de récupérer l’énergie thermique produite par les rayons du soleil pour chauffer l’habitation. Avec cette méthode, les deux faces du panneau solaire sont optimisées pour multiplier ses performances. Ainsi, elle permet d’augmenter la production d’électricité de 10 % par rapport à un équipement photovoltaïque classique. Elle offre aussi un système de rafraîchissement de l’air l’été, car elle combine les fonctions de chauffage et de climatisation. Enfin, cette technologie permet de ventiler l’habitat et de le purifier, en filtrant l’air extérieur insufflé à l’intérieur du logement.

À quel prix ?

Si l’aérovoltaïque est un système tout-en-un plutôt intéressant pour réduire sa facture énergétique, c’est toutefois une installation très coûteuse, bien plus d’ailleurs que le photovoltaïque.

Le prix correct de cet aménagement oscille entre 15 000 et 18 000 € TTC pour des panneaux offrant 3 kWc (kilowatt-crête, l’unité de mesure de ces kits solaires), environ 24 000 € pour un 6 kWc et 40 000 € pour un 9 kWc. Évidemment, tout dépend ici du matériel posé, des difficultés liées à l’installation et des entreprises qui sont encore très peu nombreuses à proposer ce type de panneaux solaires, et donc très peu compétitives.

Quelle rentabilité ?

Tout comme le photovoltaïque, la rentabilité de votre équipement aérovoltaïque va d’abord dépendre de votre lieu d’habitation. En effet, la production d’énergie sera plus performante si votre maison bénéficie d’un ensoleillement important tout au long de la journée et de l’année.

De même, l’isolation de votre habitat va beaucoup jouer : les logements anciens ont davantage tendance à minimiser les effets bénéfiques de ce type d’aménagement, à l’inverse des logements neufs ou rénovés répondant aux normes RT2012.
Quant à l’aspect financier, l’Ademe a réalisé une étude démontrant que les économies pour le chauffage sont seulement de 3 à 10 % pour les maisons anciennes et jusqu’à 27 % dans le neuf. Aussi, il ne faut pas vous attendre à rentabiliser votre investissement avant sept ou huit ans après la pose des panneaux solaires.
Il faut donc bien penser l’aérovoltaïque comme un système complet qui permet de faire des économies d’électricité et de chauffage, mais surtout qui offre en supplément une meilleure qualité de l’air intérieur et un effet de climatisation l’été. Si seules les performances énergétiques vous intéressent, il est plus judicieux de se tourner vers le photovoltaïque, moins cher et plus compétitif à l’heure actuelle.

Un équipement éligible au crédit d’impôt

Depuis 2014, le photovoltaïque ne bénéficie plus du crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE). Ce n’est heureusement pas le cas pour l’aérovoltaïque qui vous permet de déduire de votre impôt sur le revenu une partie des dépenses engagées pour l’installation de cet équipement. En revanche, le montant maximum accordé est de 1 200 € jusqu’à la fin de l’année 2019. Une somme très modique pour un aménagement qui coûte plusieurs milliers d’euros…

Lire aussi : Bien entretenir sa cheminée ; Réchauffer son intérieur ; Bien régler son climatiseur ; Poêles Granuleco ; Chauffage : les équipements les plus économiques

Feuilletez le mag n°18

Automne hiver 2019/2020

Idées au logis

Retrouvez ici tous les articles du magazine Idées au logis : magazine haut de gamme semestriel gratuit, dédié à la construction, à l’aménagement intérieur, extérieur et à la décoration au Pays Basque et dans les Landes. Une sélection des tendances habitat, des meilleurs artisans et commerçants du Pays Basque et des Landes.

Retrouvez nos magazines dans nos nombreux points de diffusion (lien à ajouter vers la carte de diffusion bientôt présente sur le site Caméléon communication)ou sur abonnement.

Décoration et habitat Pays Basque et Landes

Aménagement extérieur, paysagiste, terrasse, piscine, spa, stores, véranda Pays Basque et Landes

Aménagement intérieur, meubles, cuisine, dressing, peinture, chauffage, climatisation, carrelage Pays Basque et Landes

Construction maison Pays Basque et Landes

Lire aussi : Magazine n°19 ; Magazine n°18 ; Feuilletez le Magazine N°17

Feuilletez le Magazine N°17

Printemps été 2019

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la cabane aux grillades

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Quels matériaux pour mon bardage ?

BARDAGE BOIS

Le bardage est un parement extérieur ou intérieur qui isole, protège et embellit l’habitation. Les matériaux employés sont nombreux et dépendent du projet et du budget de chacun. Petit tour d’horizon.

Si sa première fonction est d’isoler et de protéger du froid, des UV, des intempéries et des chocs, le bardage est également un élément de décoration à part entière. Le matériau à utiliser ne sera pas le même pour l’aménagement d’un toit-terrasse ou pour la rénovation d’une façade.

Pour se décider, on prendra en compte certains critères, en commençant par la performance : quelle isolation thermique et quelle longévité souhaitons-nous obtenir ? Quel est l’effet esthétique recherché, moderne ou authentique ? Au niveau de l’entretien, est-on prêt à investir du temps et de l’argent pour prendre soin d’un matériau particulier ou choisit-on la facilité ?

Enfin, le coût peut varier énormément en fonction des matériaux mais aussi des accessoires et de la technicité de la pose. Verticale, horizontale, oblique, emboîtée ou à claire-voie, voici tout ce qu’il faut savoir…

Le bardage en bois : traditionnel et varié

Très employé par nos ancêtres mais aussi dans les pays nordiques et certaines régions des États-Unis, le bardage en bois est plus que jamais dans l’air du temps. Écologique et recyclable, il minimise l’empreinte carbone et charme par son authenticité. Un toucher chaleureux, des couleurs et des veinages uniques apportent beaucoup d’originalité et de naturel à la maison, qui se veut à la fois traditionnelle et contemporaine. Faisant le bonheur des architectes, il se décline sous plusieurs formes : en clins, en panneaux ou en bardeaux. Il peut être massif, contrecollé ou un dérivé de la matière brute. On a le choix entre de nombreuses essences de bois, aux aspects et aux propriétés variées, qui sont répartis en cinq classes d’emploi, du plus fragile au plus résistant. Par exemple, l’épicéa, le Red Cedar, le pin douglas, le pin maritime, le peuplier, le mélèze ou le châtaigner, tous de classe 4, supportent un taux d’humidité supérieur à 20 % et sont donc à privilégier pour les façades exposées au nord, tout comme le teck, star des aménagements extérieurs.
Selon son essence, le bois est bon marché et accessible. Idéal pour un intérieur cosy type chalet, il nécessite en revanche un entretien régulier, surtout à l’extérieur.

Le bois composite et le PVC : modernes et pratiques

Conçu avec des essences de bois associées à des résines ou d’autres matériaux, le composite est ultrarésistant et imputrescible. Offrant une large gamme de couleurs, il ne grisera pas avec le temps et résistera très longtemps.
Attention toutefois à privilégier les produits sans composé chloré ou composés organiques volatils, cancérigènes et polluants, pour préserver l’environnement !
Pour isoler et looker l’intérieur de la maison, optons pour le PVC ou le polystyrène. À coller directement au mur ou à poser sur une armature, ils offrent un large choix de coloris et de motifs. Leur poids plume est également parfait pour faire un faux plafond. Dehors, le PVC a plusieurs avantages : moins onéreux, il est facile à poser et ne nécessite aucun entretien.

L’acier, la terre et les autres

Pour un aspect design et contemporain, on peut se tourner vers l’acier galvanisé, de plus en plus utilisé dans les constructions modernes.

Décliné en plusieurs formes – plaques, tôles planes ou nervurées — et en de nombreux coloris, il est très résistant aux intempéries, aux UV et est ultra-durable dans le temps. Les moins : relativement cher, il peut être bruyant par temps de pluie battante et se marie mal avec les maisons anciennes.
Pour un effet naturel et ancien, citons entre autres le bardage en terre cuite, peu utilisé mais naturel et résistant au gel et au feu, le bardage en pierre naturelle (basalte, marbre, ardoises) absolument superbe ou encore le bardage en béton, moins esthétique mais très isolant.

Bien protéger son bardage

Le bois non traité grise toujours avec le temps. Si l’on veut garder la même nuance, on peut le traiter tous les deux à quatre ans avec une lasure incolore ou légèrement teintée qui maintient la couleur naturelle. On peut également protéger le bardage avec une peinture extérieure. Un traitement contre la rouille est obligatoire pour l’acier. La pierre et la terre cuite ne nécessitent quant à eux pas d’entretien particulier. Enfin, avec l’arrivée des produits composites, on a une meilleure résistance aux UV et aux intempéries.

Lire aussi : Quel toit ? ; Durou & fils ; Assurance ; Cocoynacq ; Quel portail

Entreprise du Paysage Pépinière Brethes

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Ce qu’il faut savoir

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Dotés de la main verte, c’est assurément un paradis verdoyant qui s’ouvre à vous ici. Le tout, comme ils disent « à prix logique », c’est-à-dire sans le coup de bambou, mais d’une qualité certifiée.

Le plus, c’est la qualification de « paysagiste », susceptible d’aménager vos parcs et jardins, airials, abords de piscines, avec élégance et savoir-faire. Tout le talent de l’artisan, dont on relève ici le socle commun étymologique avec celui de l’arti-ste

Un parfum de roses, sans les piquants

Didier Brethes propose à ses clients la création et l’entretien des aménagements extérieurs : jardins, parcs, espaces verts. Nos professionnels de la pépinière assurent tous vos travaux de plantation d’arbres, fleurs, etc. Nous réalisons la taille de haies pour vos jardins chez les particuliers.

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À la pépinière, vous retrouverez un assortiment unique d’arbres d’ombres, fruitiers, à fleurs, conifères, arbustes, plantes de terre de bruyère, rosiers, arbustes méditerranéen : oliviers, palmiers. Pour en savoir plus sur nos productions et nos aménagements de jardins et de parcs, Cathy et Didier vous conseillent pour l’achat de vos végétaux. Vous découvrirez nos productions en plein air.

Pépinières Brethes
56 Chemin des Oiseaux
BENQUET – 06 08 31 99 50
www.pepiniere-brethes-paysagiste.fr
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Lire aussi : Un potager d’intérieur ; Envie de jardin au printemps ; Paysagiste Pépinière Brethes

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DAX – 05 58 56 30 40

37, Rue du Pont Neuf
CASTETS – 05 58 35 50 30

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LABENNE – 05 24 33 82 90

www.maisonsdenfrance-dax.fr

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Conseils d’expert pour bien régler son climatiseur

En été, régler convenablement sa clim est essentiel pour des raisons de confort thermique comme pour des questions de consommation énergétique. Ce réglage peut toutefois s’avérer un véritable casse-tête. Vous vous réjouissez des beaux jours qui arrivent… mais pas des températures caniculaires. Il fait si chaud que vous passez vos mois d’été cloîtré à l’intérieur, prostré sur le canapé et volets fermés.

Un système de climatisation peut alors être une solution efficace… à condition de bien savoir le faire fonctionner. Suivez les recommandations de notre expert pour optimiser l’efficacité de votre climatiseur et garder votre maison fraîche malgré la chaleur estivale.

Quel appareil choisir ?

Avant même de s’intéresser aux réglages, il convient de choisir un climatiseur adapté à son logement et à ses besoins. L’un des éléments déterminants est de sélectionner le bon dimensionnement selon la taille de la pièce à climatiser.

« Généralement, pour une hauteur sous plafond standard de 2,50m avec une isolation de type années 1980-1990, on prend une puissance d’environ 80 watts par m2 » recommande Joachim Pommeret. Par exemple, pour une chambre de 10 m2, mon appareil doit pouvoir restituer 800 watts. Si l’on choisit un appareil moins puissant, on lui en demandera trop et il va s’user prématurément. Idem avec un climatiseur trop puissant, qui se mettra en permanence en arrêt, ce qui finira par l’endommager. « En revanche, dans les maisons récentes qui, construites selon les normes de la RT2012, sont donc mieux isolées, on sera plutôt sur un ratio de 40 à 50 watts par mètre carré ». Autres paramètres à prendre en ligne de compte : l’exposition du bâtiment et la surface vitrée. Dans une pièce de style véranda, le soleil va taper plus fort et il faudra donc un appareil plus puissant.

Quelle est la température idéale ?

Trop souvent, les usagers règlent leur climatiseur sur l’option la plus froide possible, sans se soucier de la température extérieure.

Cette erreur très commune peut avoir des conséquences sur votre bien-être mais aussi sur votre consommation d’énergie et donc votre facture.

Le bon réglage ? « En journée, on évite d’avoir un décalage de plus de 6 ou 7 degrés par rapport à l’air extérieur », explique Joachim Pommeret. « Cela permet d’éviter un changement trop brutal ».

Ainsi, s’il fait 35 °C dehors, on règle notre climatiseur au plus froid sur 28 °C. Mieux vaut ne pas risquer un choc thermique désagréable et gâcher vos vacances d’été avec un gros rhume ! La nuit, même s’il est difficile de dormir lorsqu’il fait trop chaud, on évitera de programmer son appareil en dessous de 3 ou 4 degrés par rapport à la température extérieure. Cela suffira à vous assurer un bon confort.

Où placer mon climatiseur ?

possible, la circulation de l’air ne doit pas être entravée. On ne place donc pas de meuble – bibliothèque, placard… – devant son climatiseur pour ne pas gêner la diffusion du froid.

Enfin, même si cela semble évident, veillez à bien fermer vos portes et ouvertures lorsque vous allumez votre climatiseur. Sinon, cela reviendrait littéralement à jeter votre argent par les fenêtres !

Lire aussi : Bien entretenir sa cheminée ; Réchauffer son intérieur ; Bien régler son climatiseur ; Poêles Granuleco ; Chauffage : les équipements les plus économiques

L’éco-prêt à taux zéro voit plus grand 

Pour inciter les ménages à calfeutrer leur logement et à en finir avec les courants d’air, l’État a renforcé le dispositif de l’éco-prêt à taux zéro.

Tour d’horizon des changements

À chaque nouvelle loi de finances, ses ajustements de dispositifs existants. Et la mouture 2019 ne fait pas exception à la règle ! Entre autres modifications, le législateur a notamment prorogé l’éco-prêt à taux zéro, dit éco-PTZ, jusqu’en 2021. L’occasion, au passage, d’élargir un peu plus ce crédit à taux nul destiné à financer vos travaux de rénovation énergétique. On fait le point.

Les bénéficiaires potentiels

À l’inverse d’une kyrielle de subventions soumises à des conditions de ressources, l’avantage de ce programme est qu’il est ouvert à tous les propriétaires, occupants ou bailleurs, indifféremment de leurs revenus. Même les copropriétaires y ont droit depuis 2014, à travers l’octroi d’un prêt collectif.

Quant aux foyers modestes, ils peuvent coupler les aides du programme « Habiter mieux » de l’Agence nationale de l’habitat avec un microcrédit accompagné, afin de financer à un taux nul le reste à charge de leurs travaux. Enfin, l’éco-prêt peut aussi se cumuler avec le crédit d’impôt transition énergétique.

Côté logement, en revanche, il s’agit ici de cibler les habitations les moins bien isolées et par conséquent les plus anciennes. C’est pourquoi l’éco-PTZ ne concernait jusqu’à présent que les résidences principales construites avant 1990. Mais c’était compter sans la loi de finances pour 2019 qui met ce principe aux oubliettes ! À compter du 1er juillet 2019, ce dispositif sera ouvert « à tous les logements achevés depuis plus de deux ans ».

Moins de travaux à prévoir

Le point le plus fâcheux de l’éco-prêt concerne le chantier. Pour bénéficier de ce coup de pouce, les ménages avaient auparavant trois possibilités.

D’abord, réaliser un bouquet de travaux, en combinant au moins deux des six catégories suivantes : isolation thermique de la toiture, des murs donnant vers l’extérieur, des portes et des fenêtres, installation ou remplacement d’un chauffage, d’une production d’eau chaude sanitaire ou d’un système utilisant les énergies renouvelables.

Seconde option : choisir d’atteindre un certain niveau de « performance énergétique globale ». Il s’établit à 150 kWh/m² par an si votre consommation d’énergie était de plus de 180 kWh/m² annuels avant chantier ou de 80 kWh/m² par an si elle était de moins de 180 kWh/m².

Dernière possibilité : procéder à des travaux de réhabilitation du système d’assainissement non collectif par des dispositifs ne consommant pas d’énergie.

À partir du 1er mars 2019, la condition de bouquet de travaux est cependant supprimée ! La réalisation d’un seul de ces chantiers permet donc également de prétendre à cette aide.

De plus, dès le mois de juillet, l’isolation des planchers bas sera elle aussi prise en compte.

Dans tous les cas, rappelons qu’il faut faire appel à une entreprise labellisée RGE (« reconnu garant de l’environnement ») pour réaliser ces rénovations.

La question du remboursement

Le montant de ce crédit à taux nul peut atteindre 30 000 € maximum. Et alors qu’il fallait le rembourser sur dix ou quinze ans, la durée d’emprunt sera uniformisée à quinze ans pour tous les éco-prêts en juillet. La demande peut d’ailleurs être faite en même temps que celle d’un crédit classique visant à acheter un logement ancien. La proposition d’éco-PTZ de la banque sera alors intégrée à l’offre globale.

Bien qu’un seul éco-prêt puisse être accordé par logement, rappelons enfin qu’il est possible d’obtenir une enveloppe de financement complémentaire lorsque le premier chantier était d’un montant moindre que le plafond légal.

Néanmoins, à partir de juillet, il faudra attendre cinq ans, et non plus trois, après la fin des travaux précédents pour y prétendre.

À savoir : pour tout renseignement, vous pouvez contacter un conseiller de la plateforme officielle Faire (anciennement Rénovation info service) au 0 808 800 700 (prix d’un appel normal).

Lire aussi : Adresses utiles ; Éco-prêt

Psycho test : Avez-vous la main verte ?

Plantes et fleurs habillent nos intérieurs, nos terrasses ou nos jardins et nombreux sont ceux qui les trouvent esthétiques ou même relaxantes. Mais pour en posséder, encore faut-il être capable d’en prendre soin. Avec ce test, découvrez si vous avez la main verte…

Gardening - Gardener Planting Pansy With With Flowerpots And Tools

1/ Vous êtes plutôt…
A/ Salopette et chapeau de paille
B/ Jean boy-friend et chapeau melon
C/ Jupe crayon et lunettes de soleil

2/ Dans votre salon, il y a…
A/ Cinq grands pots en terre cuite contenant des plantes vertes
B/ Deux petits pots de fleurs en plastique
C/ Un bouquet de fleurs dans un vase en verre

3/ Quand vous occupez-vous de vos plantes d’intérieur ou de votre jardin ?
A/ Tous les jours
B/ Tous les week-ends
C/ Deux fois par mois, voire moins

4/ Quel jardin vous fait le plus rêver ?
Choisissez parmi ces 3 images.

5/ Vous préférez que vos mains soient en contact avec…
A/ De la terre
B/ De l’eau
C/ Des cailloux

6/ Pour votre anniversaire, vos proches vous offrent un bonsaï de votre âge…
A/ Je cherche toujours la place idéale pour ce petit trésor !
B/ Quelle belle attention, c’est original !
C/ J’aurais préféré qu’ils m’invitent au restaurant !

7/ Dans votre jardin, que ressentez-vous ?
A/ De la joie
B/ De la sérénité
C/ De l’ennui
8/ Quel salon préférez-vous ?
Choisissez entre ces 3 images…

9/ Parmi ces trois mots, lequel décrit le mieux une plante pour vous ?
A/ Vie
B/ Nature
C/ Forêt

10/ Lors d’un voyage en Chine, vous découvrez une nouvelle variété de fleurs…
A/ Je les admire longuement, malheureusement, elles risquent de ne pas survivre dans mon jardin
B/ J’achète ces fleurs en magasin pour les planter dans mon jardin
C/ Je prends ces fleurs en photo, elles sont jolies tout de même

11/ Les plantes, vous les préférez…
A/ Dans la terre
B/ Dans un pot
C/ En plastique

12/ Le sol idéal dans un jardin, c’est…
A/ Du gazon naturel
B/ Un plancher naturel
C/ Du gazon synthétique

Vos résultats

Majorité de A : Vous avez la main verte !
Les plantes n’ont absolument aucun secret pour vous. Non seulement vous aimez prendre soin de la végétation, mais, en plus, vous avez un feeling indéniable pour faire pousser vos protégées et les aider à s’épanouir. Vous ne laissez périr aucune de vos petites merveilles et toutes se portent le mieux du monde. Aucun doute, vous êtes fait(e) pour cela.

Majorité de B : Vous aimez les plantes, mais elles ne vous le rendent pas !
Vous aimez profondément la nature et la zénitude qu’elle vous procure. Pourtant, même si vous appréciez la compagnie des plantes, celles-ci ne vous rendent pas toujours le fruit de vos efforts. Malgré tous vos soins, vous maîtrisez mal l’art du jardinage et rencontrez toutes les difficultés du monde à faire fructifier votre petit lopin. Un conseil, misez sur les variétés robustes, comme les cactus et les succulentes qui demandent très peu de soins.

Majorité de C : Pas le moindre atome crochu entre vos plantes et vous !
Vous n’aimez pas vous occuper de votre jardin. La nature, c’est sympa, mais vous vous ennuyez vite parmi tous ces végétaux immobiles et muets. Vous ne voyez pas l’intérêt de passer des heures à jouer du sécateur. Vous préférez occuper votre temps autrement, et c’est votre droit. Les fleurs ne vous en voudront pas, elles doivent être aimées pour être bien soignées. Rassurez-vous, il y a d’autres moyens de profiter de la nature, en se baladant par exemple !

Une terrasse façon hacienda

Avec les beaux jours qui s’annoncent, on a tous envie de chaleur et d’exotisme.

Et si, pour pousser le rêve jusqu’au bout, on donnait à la terrasse un air d’hacienda venu tout droit d’Amérique latine ?

Terrasse façon hacienda - Mexican flower garden

Le style hacienda, inspiré des grandes maisons ou exploitations agricoles hispaniques, est tout sauf sobre. À la fois festif et convivial, il invite, par un jeu habile de couleurs joyeuses et d’imprimés graphiques, au farniente et aux longues soirées estivales entre amis.

Un esprit coloré et muy caliente qui donne envie de chevaucher à travers les grands espaces américains, histoire de se sentir bien sans aller trop loin…

Les couleurs sont partout

Pour faire venir le Mexique jusqu’à nous, rien ne vaut une décoration épicée. Le travail des couleurs est donc primordial. Vives, chaudes et gaies, elles doivent inspirer le bonheur de vivre, la chaleur et le soleil. On mise donc sur un camaïeu de tons ocre et orange. Le terra cota, le fuchsia, le jaune ou encore le vert sont les teintes de prédilection. La couleur est partout : sur les murs, les coussins et les cache-pots. Les tapis sont multicolores et rayés, les tissus se parent de motifs ethniques et aztèques ou encore de fleurs brodées au format XXL.
Dernière astuce : quand on reçoit du monde, on n’oublie pas de choisir une vaisselle adéquate ! Elle doit être dans le même esprit, colorée et stylée.

Des matières naturelles

Pour un esprit rustique, le naturel s’invite dans l’hacienda. Le mobilier est en bois brut ou en rotin, une matière naturelle et intemporelle qui vieillit plutôt bien au fil des années. Directement inspirés de l’artisanat des peuples latino-américain, les accessoires tressés à la main sont ultra-tendance.

Paniers, corbeilles et tenates traditionnelles sont réalisés en rotin, en osier ou en bambou. Naturels ou colorés, ces rangements esthétiques et pratiques rappellent le savoir-faire ancestral de toute une culture.
En outre, le mélange de matériaux bruts donne le ton : les pierres, le bois, la terre cuite, le métal non peint et les carreaux de faïence s’invitent sur la terrasse.
le sol sont de mise. On n’hésite pas non plus à mixer les éléments de mobilier de jardin colorés : plus il y a de vie, mieux c’est !

Pour végétaliser le tout, on agrémente l’espace de cactus et autres plantes grasses typiques du climat désertique. Au niveau du sol, le charme authentique des azulejos, ces carrelages de faïence artisanaux décorés de motifs géométriques ou figuratifs, donnera du cachet à l’espace. Pour une ambiance plutôt ranch, on opte pour le bois et quelques tapis chatoyants. On peut aussi miser sur un parterre de pierres et autres graviers blanchis, qui réfléchiront la lumière du soleil !

Comme au Mexique

Pour donner à sa terrasse une allure de patio mexicain, on peut ajouter des objets typiques du pays. On apportera ainsi un peu de la chaleur du désert et des mythes du pays avec des sombreros et des calaveras, ces petits crânes colorés emblématiques du jour des morts et de la culture mexicaine.

Si le style hacienda s’inspire majoritairement de la culture hispanique, il emprunte certaines influences américaines à l’esprit western et ranch.

On peut ainsi accrocher au mur un crâne de buffle ou un piège à rêve en macramé. On n’oublie pas de s’aménager des zones d’ombre avec des voiles tendues ou des pergolas en canisses.

Pour donner un côté intimiste aux soirées d’été, de petites lanternes ou des guirlandes lumineuses, en forme d’ananas par exemple, seront du plus joli effet. Bienvenido a casa !

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Un studio dans le jardin pour les amis

Les constructions modulaires ont le vent en poupe !

Grâce à ces studios en kit, vous pouvez ajouter une dépendance à votre logement en un tour de main, pour y installer un bureau, une chambre d’ami ou une chambre d’hôtes.

GreenKub, société spécialisée, dresse le profil des adeptes de cette solution.

Plutôt que d’entreprendre de lourds travaux de construction, les propriétaires en manque de place peuvent opter pour une alternative plus économique : la construction modulaire.

Le concept : un local préfabriqué et parfaitement isolé, qu’il ne vous reste plus qu’à monter. Qui sont les clients de ce genre d’alternative ? C’est ce qu’a voulu savoir GreenKub, une entreprise spécialisée dans les constructions modulaires en bois.

D’après cette enquête, 47,5 % des acheteurs ont entre 45 et 60 ans, période transitoire durant laquelle la maison est souvent surpeuplée.

Alors que toutes les chambres du domicile sont déjà occupées, ce studio indépendant monté dans le jardin permet avant tout d’héberger des amis ou de la famille dans plus de 43 % des cas.

Dans une moindre mesure, il peut aussi servir de bureau ou être loué à l’année.

Un investissement réalisé le plus souvent sans crédit.

Et pour cause puisque Greenkub promet un coût 60 % moins cher qu’une extension classique.

Lire aussi : Le retour en vogue du bois ; Quel toit ? ; Charpente Cocoynacq ; Scierie Graciette Bois40 ; Quand le rondin fait la déco

Tout savoir sur la baignade BIOlogique

Pour ne plus sortir de l’eau les yeux rougis et le corps plein de démangeaisons, immergez-vous dans une baignade biologique. Se dispensant de tout adjuvant chimique, ces bassins naturels ont seulement recours au pouvoir filtrant des plantes.

Comment ça marche ?

Pour beaucoup, se baigner en milieu naturel promet des sensations inégalables. Seulement, entre le spectre de la pollution, la prolifération des algues ou tout simplement les difficultés d’accès à l’eau, le plaisir promis par cette immersion tourne trop souvent à la déception. La piscine incarne en comparaison une alternative beaucoup plus sûre, choisie par de nombreux foyers. Toutefois, la liste des produits chimiques nécessaires pour maintenir le parfait équilibre de ce bouillon de culture soulève immanquablement la question de la nocivité. Dans ces conditions, la moindre des prouesses de la baignade biologique est de parvenir à concilier bonheur des bains à volonté et espace totalement purifié. Cette union du naturel et de l’artificiel est autorisée par divers aménagements techniques et une maîtrise de la flore, tenue pour agent filtrant.

Par l’intermédiaire de quelques plantes soigneusement sélectionnées, la baignade biologique s’éloigne de la palette des biocides formant l’ordinaire des piscines classiques pour mieux se rapprocher du modèle de l’étang. Une étendue d’eau qui, si elle intègre effectivement sa zone verte, a été entièrement repensée. Ainsi, la baignade biologique se divise-t-elle en plusieurs parties.
La première, très importante pour les nageurs, est dévolue à la baignade. Un muret la sépare de la zone de filtration. C’est ici que l’eau est régénérée naturellement, via un ensemble de plantes aquatiques. Ce semis comprend des variétés qui vont se nourrir des impuretés en suspension dans l’eau, tel le jonc ou le roseau, tandis que d’autres auront une vocation uniquement décorative. Une troisième zone, dite « de régénération », est accolée aux deux premières.
Sa fonction est d’oxygéner l’eau avant que celle-ci ne rejoigne le bassin de baignade. En plus des indispensables pompes et autres jets, ces espaces peuvent être complétés de divers appareillages, tels que des filtres spécifiques, afin de conserver l’eau la plus pure possible.

Combien ça coûte ?

Pour être opérationnelle, une baignade biologique ne réclame guère plus d’investissements qu’une piscine classique. Elle ne demande pas non plus beaucoup plus d’espace, puisqu’elle occupe une fois et demie la superficie de ses homologues moulés ou bétonnés. Cette spécificité fait de ce concept une solution tout à fait adaptable aux particuliers. Par extension, pas besoin d’être localisé en rase campagne pour profiter de ces bassins, de nombreux modèles ayant d’ailleurs été aménagés en zone urbaine.

Ceux-ci peuvent au demeurant adopter toutes les formes possibles, depuis le modelé de la piscine classique jusqu’à des architectures beaucoup plus singulières. Si elle attire naturellement toute une faune sympathique, à l’instar des grenouilles et autres crapauds, l’entretien d’une piscine biologique en appelle davantage aux joies du jardinage qu’aux vicissitudes de l’apprenti chimiste. Il est en effet nécessaire de maintenir l’équilibre de ces piscines bio, afin d’y préserver une eau limpide et une flore prospère, soit autant de preuves de la bonne santé de cet espace.

En conclusion, si la baignade biologique offre les mêmes avantages que la piscine, elle assure en retour un plaisir supplémentaire, celui de la pureté, allié à une satisfaction esthétique et au plaisir d’entretenir son petit écosystème…

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Les piscines Roche ; Les piscines Courrej ; Un fond mobile pour ma piscine ; Quand les piscines sont à la mode ; Tout savoir sur la baignade BIOlogique

Cuisine, exit les poignées

Toujours plus minimalistes et ergonomiques, les cuisines se débarrassent du superflu pour ne conserver que l’essentiel.

La dernière tendance ? Les placards sans poignées pour gagner en confort et en esthétisme.

La tendance des cuisines ouvertes à l’américaine a permis aux fabricants de revoir totalement le design de ces dernières.

Puisqu’elles sont désormais décloisonnées et intégrées au salon ou à d’autres pièces de la maison, il a fallu épurer leur style tout en conservant le côté pratique et ergonomique.

Dans cette optique, les cuisines sans poignées sont désormais légion. Les portes de placards se dénudent et se font plus discrètes tout en restant très fonctionnelles.

Pour un design totalement épuré

Ouverte sur le séjour ou la salle à manger, la cuisine est désormais une pièce à vivre multifonctions, où les frontières entre les différents espaces se floutent.

Pour accompagner cette modernité, les placards de cuisine se font sobres et les poignées s’effacent. Résultat, le mobilier est en parfaite harmonie avec le reste de la décoration pour un ensemble cohérent et épuré. Ces cuisines nouvelle génération apportent une touche de fraîcheur à nos intérieurs.

Dotés d’un système poussoir ou d’une ouverture électrique, ces placards sans poignées permettent de ne pas encombrer le design de la cuisine et d’afficher des lignes pures. Un style minimaliste qui accompagne des surfaces lisses et se débarrasse du superflu.

Un système ergonomique

Outre ses atouts esthétiques, la cuisine sans poignées a aussi des qualités ergonomiques. En simplifiant l’ouverture et la fermeture du mobilier, elle apporte un confort optimal et un gain de temps appréciable pour ceux qui passent beaucoup de temps derrière les fourneaux.

C’est aussi beaucoup plus hygiénique. Pour actionner l’ouverture des placards, il existe deux systèmes : un « push-pull » qui s’actionne d’une simple pression sur la porte. Il s’agit d’un mécanisme invisible, inséré directement dans les tiroirs ou les armoires. Seul bémol : ici, les façades du mobilier seront particulièrement sensibles aux traces de doigts et nécessiteront un nettoyage régulier.

Second système : l’ouverture électrique qui consiste à installer à l’intérieur du meuble un bras électrifié qui ouvre la porte à votre place. Une option très utile et pratique lorsqu’on a les mains prises !

Dans tous les cas, avant de vous lancer dans l’achat de ce type de mobilier, pensez à vérifier que la configuration de votre cuisine dispose d’assez de place…

Lire aussi : Le retour en vogue du bois ; Quel toit ? ; Charpente Cocoynacq ; Scierie Graciette Bois40 ; Quand le rondin fait la déco ; Doc du meuble ; Installation d’une cuisine ; Cuisine exit les poignées

Le retour en vogue du bois

Écologie, authenticité et naturel ont permis au bois de faire son grand retour dans notre décoration. Si la tendance scandinave et ses bois clairs sont en bout de course, les essences foncées et brutes font un carton.

Vague écolo, envie d’un retour au naturel ou overdose de plastique et de métal, le bois fait un retour fracassant dans toutes les pièces de la maison. Exit cependant le bois blanc et le style scandinave, la tendance est aux essences sombres et brutes.

Débarrassées de leur rusticité, elles inspirent désormais les designers et les artisans inscrits dans la mouvance du « slow design ».

Relégué au rayon des antiquités, le bois a longtemps été boudé au profit de matières plus innovantes et plus contemporaines.

Aujourd’hui, le bois prend sa revanche et revient sur le devant de la scène.

Lassées du style scandinave, les tendances déco misent désormais davantage sur les essences sombres qui donnent une touche cosy au salon et de la noblesse à la cuisine.

En première ligne, les bois exotiques tels que le teck ou le wengé qui connaissent un véritable boom. Assez rares, robustes et appréciées pour leurs tons foncés, ces variétés s’imposent comme des matériaux d’excellence dont l’élégance naturelle saura se mêler à des couleurs claires telles que le blanc ou le gris souris. Longtemps supplanté par le chêne, le noyer retrouve aussi toutes ses lettres de noblesse.

De plus en plus plébiscitée par les designers, cette essence de bois réchauffe l’intérieur et donne au mobilier une touche d’authenticité grâce à son veinage particulier. Le noyer est partout : sur les buffets, les tables basses, les bibliothèques, les chevets ou les fauteuils bien confortables.

À l’aise avec la couleur, ce matériau se marie parfaitement avec le rouge, le bleu pétrole, l’or, le cuivre ou l’alu brossé. Il s’accorde encore très bien avec le mobilier de style industriel, le parquet, les moulures, le velours et les motifs tropicaux ou luxuriants.

Brut et authentique

Retour à l’essentiel et stop au superflu avec le bois brut ! À peine travaillé et poncé, il s’immisce dans les créations design. Le contreplaqué ainsi que l’OSB (des particules de bois compressées et collées) inspirent les créateurs de par leurs nombreuses qualités. Résistants à l’humidité, peu coûteux et customisables à l’envi, ils représentent des matériaux de premier choix.

On retrouve ainsi surtout le bois brut dans les intérieurs au mobilier do-it-yourself pour son côté authentique et naturel. À l’aise avec le vintage, on le mariera de préférence avec des tons brique, cognac, moutarde ou bleu pétrole. Pour une ambiance plus contemporaine, le blanc brillant ou le noir seront plus adaptés.

Lire aussi : Le retour en vogue du bois ; Marius Aurenti

Quand le rondin fait la déco

Rustique, authentique et naturel, le rondin de bois a le vent en poupe cet hiver. On le retrouve partout, dans les accessoires comme sur le mobilier.

Puisque le printemps n’a pas encore frappé à nos portes, il est encore temps de puiser dans les grands classiques de l’hiver pour rendre sa déco plus douillette. Si le bois, naturel et chaleureux, n’en finit plus de peupler nos intérieurs, c’est plus particulièrement le rondin qui s’invite comme élément indispensable d’un style hivernal réussi. En petit mobilier ou en accessoire, il réchauffe l’ambiance et donne une touche d’authenticité incomparable.

Un grand détournement

La tendance organique a remis le rondin de bois au goût du jour, si bien qu’aujourd’hui, il prend ses quartiers dans toute la maison. On le retrouve d’abord dans le salon, en table basse, comme tabouret ou sur les pieds des luminaires. Dans la chambre, il se métamorphose en chevet et donne une autre dimension à la pièce lorsqu’il se transforme en tête de lit.

Dans la salle de bains, il invite à la zénitude absolue.
Économique et original, le rondin fait partie de ces objets faciles à détourner.

On le retrouve en effet là où on ne l’attend pas forcément, notamment en sticker sur les interrupteurs, en dessous-de-plat très nature ou en patères sur les murs.

Bougies ou coussins font également partie de ces accessoires où le rondin de bois a toute sa place.

Retour aux sources

Si cet élément phare de la déco hivernale n’a rien de bien nouveau, il s’accorde en revanche avec les tendances du moment qui invitent à un juste retour aux sources. Brut, peint en blanc, laqué, cérusé, avec ou sans écorce, il se fond aussi bien dans les intérieurs scandinaves que dans ceux d’inspiration montagnarde.

Pour une ambiance chalet ou un esprit bûcheron, on mixe le rondin de bois avec des plaids à carreaux, des tapis et des coussins imitation peau de bête, mais aussi des couleurs comme le blanc, le noir ou le rouge pour un style plus contemporain.

Avec une décoration nordique, le rondin s’associe à des coloris tendres et pastel (beige, brun clair, bleu dragée, rose poudré…), mais surtout à des matières moelleuses et feutrées telles que la laine ou l’alpaga. L’essentiel étant de toujours miser sur le naturel…

Lire aussi : Le retour en vogue du bois ; Quel toit ? ; Charpente Cocoynacq ; Scierie Graciette Bois40 ; Quand le rondin fait la déco

Un coach pour ma déco

Refaire les peintures, changer le carrelage ou réagencer le mobilier… Avoir des projets de décoration, c’est bien mais les réussir, c’est mieux ! Pour être certain de ne pas vous tromper, faites appel à un coach déco.
Le bon goût en matière de décoration n’est pas un talent inné chez tout le monde. S’il est facile de savoir de quoi on a envie, choisir les bonnes couleurs, les bons tissus ou les motifs adéquats se révèle parfois être une tâche plus absconse.

Ainsi, il y a encore quelques années, les quidams mal à l’aise avec la notion de décoration n’hésitaient pas à faire appel à un tiers. Mais aujourd’hui, avec la démocratisation des émissions télévisées sur le sujet, la tendance du do-it-yourself (« à faire soi-même ») et la crise, il est rare de confier cette besogne à un spécialiste.

Pourtant, l’aide d’un professionnel permet non seulement d’éviter les erreurs ou les fautes de goût mais aussi de gagner du temps.

salon parquet

Un accompagnateur

Nous passons de plus en plus de temps à la maison et se sentir bien chez soi est une évidence. Cette quête de la quiétude passe en partie par le style et l’ambiance de son intérieur.

Pour ceux qui n’ont pas la décoration dans la peau, un coach déco peut être une solution.
Mais n’attendez pas de lui qu’il fasse tout à votre place car son rôle est avant tout de vous accompagner dans votre démarche.

À l’inverse d’un décorateur qui transforme votre home sweet home et s’occupe du suivi du chantier, un coach déco analyse vos besoins et vous conseille dans vos choix de décoration.

Son but est de vous affranchir des diktats de la mode en matière d’habitat et de vous inculquer les règles essentielles en ce qui concerne la sélection des couleurs et l’agencement de l’espace.

Quelles prestations pour quels prix ?

Selon vos attentes, le coach déco peut réaliser des croquis ou des schémas pour créer chez vous l’ambiance de vos rêves. Il peut élaborer un plan pour réaménager votre intérieur, le rendre plus lumineux ou tout simplement plus fonctionnel.

À distance ou directement à domicile, il vous accompagne dans votre projet. Mais faire appel à un professionnel a un coût non négligeable. Sachez que les honoraires des coachs déco sont libres car il n’existe aucune réglementation en la matière.

Si les tarifs dépendent des prestations, ils oscillent généralement entre 50 et 150 € de l’heure. Souvent les spécialistes proposent toutefois des forfaits plus intéressants.

Attention tout de même : la profession non plus n’est pas réglementée et mieux vaut être vigilant dans le choix de votre coach.

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